XIVBrasserie du Chalet ou brasserie Lang Rassurez-vous : si je vous fais descendre la rue de Rennes, ce n’est point avec la perfide intention de vous présenter à Montépin, qui travaille à ses mixtions de Ponson du Terrail et Boulabert, dans le pieux voisinage de l’église en bois. À deux pas de là, quelques brins de feuillage vert s’échappent entre les barreaux d’une grille : nous arrivons à la Brasserie du Chalet. C’est, du moins, le nom qu’on lit au-dessus de la porte ; mais si vous me demandez de vous parler comme un habitué, je vous dirai plus simplement : nous sommes chez Lang. J’ai connu Lang dans un endroit moins frais à l’œil et moins élégant, – un peu plus loin, dans la même rue, presque au coin de celle de Notre-Dame des Champs. Je ne rappelle pas un souvenir d’hier : c’était à