Quand elle parut à mes yeux sans aucun vêtement je ne vis pas la moindre tache sur son corps. Quelles épaules, quels bras il me fut donné et de voir et de toucher ! Quel plaisir de presser de mes lèvres les fraises de son sein ! Quel ventre lisse et blanc sous une poitrine impeccable ! Quelles belles hanches ! Quelle cuisse ferme et potelée ! Mais pourquoi dire ici tous ses appas ? Je n’ai rien vu que de délicieux ; et j’ai serré tout contre le mien son beau corps nu. Est-il besoin que je dise le reste ? Épuisés de fatigue, nous avons fini par dormir dans les bras l’un de l’autre. Oh ! puissé-je souvent faire ainsi ma méridienne ! » Quant à Martial, il se borne à célébrer en termes ardents l’habileté passionnelle de quelques femmes bien douées. « Léda ayant déclaré à son vieux mari qu’el