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I En GrèceDe bonne heure, en Grèce, le b****r charnel et sa technique eurent des historiens précis, documentés aux sources mêmes. Astyanassa, servante d’Hélène, l’épouse de Ménélas, songea la première à classer les différents modes du b****r ; elle écrivit un traité savant sur les postures vénériennes. Après elle, au témoignage de Suidas, Philénis de Samos acquit quelque renommée dans l’enseignement des mêmes exercices. Nous lisons en effet, à la soixante-troisième Priapée : « Une jeune fille – j’ai failli dire son nom – a coutume de venir vers la pyramide d’amour de Priape avec son amant (c*m suo fututore) ; autant de postures Philénis a imaginées, autant elle veut en appliquer, sous peine de s’éloigner encore en rut. » Il semble toutefois qu’il faille attribuer à Polycrate, sophiste at