Au bout d’un instant elle se lève en pieds, et après s’être un peu soignée : “Voyons, dit-elle, si tu es champion à l’épreuve en toutes joutes et combats jusqu’à outrance.” Puis tombant à genoux sur le lit : “Maintenant nous allons combattre à fer émoulu.” Elle tombe aussitôt sur ses genoux en s’arrangeant sur le lit et me tourne le dos. “Çà, beau lutteur, me dit-elle, vous voilà en présence, préparez-vous au combat, avancez ; portez-vous encore plus avant. Vous voyez votre adversaire nu, ne l’épargnez pas ; et d’abord il est à propos de l’enlacer fortement, ensuite il faut le pencher, fondre sur lui, tenir ferme et ne laisser aucun intervalle entre vous deux. S’il commence à lâcher prise, ne perdez pas un moment, e*****z-le et tenez-le en l’air en le couvrant de votre corps et continuant