Troisième dialogueMADAME DE SE…, THÉRÈSE. Madame de Se…, ne précède que de quelques minutes le comte de ***. Elle confirme les paroles de la gouvernante et donne à sa fille, sur la fortune de son futur, des détails où se trahissent les côtés positifs de la Popelinière : – C’est un homme de bonne maison ; il n’a que trente-huit ans, il jouit des biens de feu son père. Ces biens, dont j’ai vu l’état, consistent en deux fort belles terres situées dans le Périgord, en rentes sur la ville et en actions. Tout cela lui compose plus de cinquante mille livres de rente, sans compter une maison à lui, bien étoffée, et où rien ne manque. – Vous êtes financier, monsieur Josse !