Quatrième dialogueM. LE COMTE DE ***, MADAME DE S…, THÉRÈSE. Présentation. – Tenez, monsieur, voulez-vous m’en croire ? abrégeons les révérences et surtout les compliments, qui vous mettraient tous deux fort mal à votre aise. Voilà ma fille que je vous présente au travers d’une grille ; on vous a dit, dans le monde, qu’elle était si belle ! Eh bien, voilà pourtant tout ce que c’est. Ainsi parle, en femme d’esprit, madame de Se…, et le comte de riposter de son mieux. Thérèse se laisse b****r la main par la fenêtre du parloir, et l’on fixe à huitaine le jour des noces.