IL’aventure de la cheminée tournante a rendu M. de la Popelinière immortel. Son argent, ses relations et ses écrits ne l’avaient rendu simplement que fameux. Il ne serait peut-être pas facile aujourd’hui de reconstruire cette physionomie de financier romanesque, pompeux, despote et dévoré surtout par la passion du bel esprit. Les points de comparaison avec des types de notre époque nous manqueraient presque absolument. La Popelinière a composé beaucoup de prose et de vers. D’abord, c’étaient ses propres comédies qu’il faisait représenter sur son théâtre, où naturellement on les trouvait fort bien tournées ; nous croyons qu’elles sont toutes restées manuscrites. Deux ouvrages seulement de la Popelinière ont été imprimés, Daïra et les Tableaux des Mœurs du temps. Ce sont deux raretés biblio