– Ah ! c’est gémir à me fendre le cœur, dit-il ; vous allez rendre l’âme. Par bonheur le feu n’est pas mort ; patience, patience, laissez-moi vous préparer les quatre fleurs et des figues au lait. C’est un velours. La tante se fit bien prier pour prendre les tisanes ; elle les but lentement, goutte à goutte ; la toux s’étant calmée, elle se plaignit d’un mal qui lui passait dans les reins. – Oh ! si j’avais mes jambes, disait-elle, comme j’irais volontiers vous mettre un peu d’ordre dans votre hangar ! Il n’y a que les femmes pour s’entendre à ranger. Y en a-t-il du remue-ménage par là-bas ! y en a-t-il ! vous ne devez plus vous y reconnaître. Il paraît que c’est plein partout. Et dans une confusion ! – Et d’où le savez-vous ? dit le Sendric. – Qui me l’a chanté ? répondit-elle ; mon p