VII-1

2008 Words

VII La famille de Georges Durandeau était en pleine prospérité. Dirigée par les conseils de son bienfaiteur et sous sa surveillance affectueuse, elle acquérait enfin, par son seul travail, l’aisance et le bien-être que, par sa faute, elle n’avait jamais eus. Cormelin faisait des affaires brillantes. Joseph Durandeau menait d’une façon très satisfaisante l’exploitation de sa ferme. Ses écuries pleines de bestiaux, faisaient plaisir à voir. Il avait Compris que l’ivrognerie est un vice horrible et il avait oublié, facilement, le chemin, du cabaret en apprenant celui de l’église. Son frère Philippe donnait à ses fils l’exemple du travail, il ne jouait plus. Par contre, chaque année il augmentait son bien d’une vigne ou d’une belle pièce de terré. La boutique de la veuve Marchand était tr

Free reading for new users
Scan code to download app
Facebookexpand_more
  • author-avatar
    Writer
  • chap_listContents
  • likeADD