III Batteries dressées Julien avait naturellement conduit son oncle dans l’hôtel qu’il habitait rue des Grès, cette rue classique du quartier latin. M. Lehérisson fut bien heureux d’y trouver un petit appartement pour les huit jours qu’il voulait passer à Paris avec sa fille. Quand le brave pharmacien d’Orléans eut installé Annibal dans la chambre contiguë à celle de Julien, il prit un air majestueux. – Annibal, dit-il, feu Lecourtois, mon beau-frère, et après lui sa femme, ma sœur chérie, t’ont remis entre mes bras. Je suis ton tuteur, l’administrateur légal de tes biens ; mais j’ai consenti à me séparer de toi pour te lancer dans ce Paris dont… qui… Enfin, j’espère que tu marcheras droit, comme a toujours fait Julien Ducroisier, également fils d’une sœur chérie. J’espère que, à l’exe