(Victoire et son enfant étaient partis pour aller dans la baraque en attendant jusqu'à ce qu'ils ne trouvent une chambre à louer.)
Le soir, König et sa maman discutaient dans la baraque.
Maman : König, je te demande sincèrement pardon de ne rien faire à ton père dès que tu seras grand.
König : non maman, comptes sur moi, car moi-même je savais très bien que c'est Antoinette qui est à la base de tout ça.
Victoire : merci beaucoup pour ta compréhension !
De l'autre côté, Antoinette et Gildas étaient à la maison tout en joie.
Antoinette : chéri, aujourd'hui, je suis très contente de toi.
Gildas : non, ne t'inquiètes pas ! Je t'avais dit que ton bonheur est le mien...donc j'ai fait tout ça, juste pour te voir heureuse.
Antoinette : d'accord mon amour ! Allons dans la chambre !
Une fois qu'ils étaient allés à l'intérieur, ils avaient commencé à f***********r.
Gildas : je dis hein, qu'est-ce tu as mis dans ton vagin ?
Lorsque Gildas avait dit cela, le cœur d'Antoinette battait très fort et elle ne savait même pas comment répondre à Gildas.
Gildas : chérie tu as quoi ? Ou bien c'est la question qui te dérange ?
Antoinette : no..n.. non
Gildas : humm ok il faut savoir que ton vagin est très doux en te faisant l'amour, c'est la raison pour laquelle je t'ai posé cette question.
Lorsqu'elle avait écouté cela, la peur qui envahissait son cœur était partie et elle avait bien répondu à son mari.
Antoinette : c'est ce que vous les hommes, vous dites à toutes les filles, une fois que vous avez couché avec elles non.
Gildas : tu as raison, mais il faut aussi savoir que moi je suis très différent.
Antoinette : qu'est-ce qu'il prouve que toi, tu es différent ?
Gildas : ok il faut me demander tout ce que tu veux pour que je te le prouve.
Antoinette : tu es sûr ?
Gildas : moi je suis prêt à te faire tout ce que tu veux.
Antoinette : ok viens lécher mon vagin !
Gildas : ça c'est très simple comme l'eau à boire.
Antoinette avait bien écarté ses jambes et Gildas avait plongé sa tête entre ses cuisses. Lorsque ce dernier allait lécher le vagin de sa femme, elle lui avait dit de cesser.
Gildas : mais chérie, c'est quoi encore ?
Antoinette : ok maintenant je vois que tu es prêt à faire tout pour moi.
Gildas : je te l'avais dit plusieurs fois non, mais s'il te plaît laisse-moi faire, car j'ai gravement envie.
Antoinette : non il ne faut pas lécher, car ce n'est pas bon.
Gildas : je fais quoi alors ?
Antoinette : si c'est le cas, on fait l'amour, ce serait super.
Gildas avait commencé à embrasser Antoinette sauvagement lorsqu'il avait écouté cela. Gildas était allongé sur le lit et Antoinette était montée sur lui. Elle faisait les mouvements du va-et-vient tout en gémissant.
Antoinette : waouh...my God, vraiment tu es trop super...
Après avoir fait l'amour, ils étaient allés dans la douche pour se laver.
Deux mois après, Victoire avait trouvé une chambre quelque part et dorénavant ils vivaient là-bas. König était très intelligent à l'école ce qui faisait que c'était le directeur même qui s'occupait de son argent de poche et tout ce qu'il avait besoin.
Victoire : mon enfant, chaque matin, nous devons prier pour ce directeur, car sans lui, on ne peut rien faire, malgré que cette baraque aussi est là mais...
König : oui maman tu as raison, peut-être que c'est Dieu même qui nous a envoyé ce directeur pour être nos sauveurs.
Victoire : exactement mon enfant ! Donc je te demande de continuer à travailler dur plus que ça à l'école.
König : il faut compter sur moi maman.
Quelques années plus tard, König était en classe de terminale à l'âge de 16 ans et il travaillait très bien à l'école.
De l'autre côté, Antoinette avait trois enfants. L'aîné avait dix ans et avait fait le cours élémentaire trois fois sans réussite. La cadette avait sept ans et avait dépassé son frère par une classe. Quant à benjamine, elle n'avait qu'un an et demi. Oui, Antoinette avait deux jolies filles et un garçon. Le garçon était très borné dans le domaine éducatif. On dirait qu'il était le plus stupide, idiot, ...etc dans la famille, car tout ce qu'on lui faisait à l'école, il n'arrivait même pas à garder un seul mot dans la tête.
Antoinette était très inquiète par la situation de son enfant et décidait d'en parler à son mari Gildas.
Antoinette : chéri, je ne sais pas si toi aussi tu as fait cette remarque sur notre enfant ou pas.
Gildas : quelle remarque ?
Antoinette : je parle des études de notre fils, ça fait trois ans qu'il est toujours dans la même classe et moi je suis très inquiète et le pire est que sa sœur lui a dépassé.
Gildas : je veux que tes enfants aussi travaillent bien comme König, mais hélas...
Antoinette : il est clair que Victoire avait volé l'intelligence de mon fils, c'est la raison pour laquelle König est très intelligent dans tous les domaines.
Gildas : oui tu n'as pas menti, mais qu'est-ce qu'on va faire alors ?
Antoinette : oh non, toi ne te mêles pas dans cette affaire, moi-même je vais gérer tout.
Gildas : tu es sûre là ?
Antoinette : je dis bien, ne t'inquiètes pas. Victoire croyait qu'elle est forte plus que moi, mais je vais lui montrer que moi Antoinette je suis une femme différente.
Quelques mois plus tard, König était le premier de sa classe lors de l'évaluation. Sa maman était très fière de lui.
Victoire : mon enfant, si tu sais à quel point je suis très heureuse, humm...
König : maman, ne t'inquiètes pas, Dieu est au contrôle et il ne va jamais laisser nous qui sommes ses enfants.
Victoire : exactement mon enfant ! La seule chose qui me rend très heureuse malgré que nous vivions dans cette circonstance, est la stupidité du fils aîné d'Antoinette.
König : hahaha maman, toi aussi hein. Mais pourquoi lui aussi est très idiot comme ça ?
Victoire : je ne sais pas hein mon fils. En tout, cela ne nous concerne pas.
König : faire la même classe jusqu'à trois fois, oh vraiment !
Victoire : je ne sais pas si c'est la paresse ou les choses de sa maman qui lui dérangent.
König : on récolte toujours ce qu'on a semé. Il est bel et bien clair que ce sont les choses de sa maman qui lui dérangent.
Victoire : la seule chose que moi je vais te dire, est de faire beaucoup d'efforts, car le grand défi même est devant toi.
König : maman, je te promets que je serai toujours le premier au bac.
Victoire : j'ai confiance en toi.
Quelques mois plus tard et l'examen du baccalauréat était prévu dans un mois. König apprenait bien ses leçons pour pouvoir être toujours le premier. Parfois, s'il était de retour de l'école, il ne mangeait pas et se concentrait sur ses cours seulement.
Victoire : mais König, tu ne sais pas que tu risques de tomber malade ? Chaque jour cahier, chaque jour cahier..., mais pourquoi tu refuses parfois de manger.
König : hahaha maman, ne t'inquiètes pas.
Victoire : moi je te parle sérieusement et tu te moques de moi ?
König : non maman ce n'est pas ça. Bon j'arrive tout à l'heure pour qu'on puisse manger ensemble.
Victoire : dépêche-toi !
Quelques minutes après, König était allé rejoindre sa maman et ils avaient mangé ensemble.
Une semaine plus tard, Antoinette était allée chez son féticheur pour prendre une astuce qui pourrait lui permettre de faire échouer König à l'examen du baccalauréat.
Féticheur : cette année, c'est toi qui es ma super cliente.
Antoinette : là c'est très bien.
Féticheur : c'est quoi ton nouveau problème ?
Antoinette : comment sais-tu que je suis venue avec un nouveau problème ?
Féticheur : moi je ne fais que mon travail.
Antoinette : d'accord, ça prouve que tu es fort plus que les autres. C'est toujours mon ancienne amie.
Féticheur : tu veux que je la tue ?
Antoinette : non pas maintenant. Le problème actuel est que son enfant est très intelligent à l'école et c'est lui qui est toujours le premier de la classe. Dans trois semaines maintenant, il va passer son examen du baccalauréat et moi je ne veux pas qu'il réussisse à l'examen.
Féticheur : d'accord !! Donne-moi une minute, j'arrive.
Le féticheur frappait son gong en récitant des incantations dans une langue que Antoinette ne connaissais pas.
Féticheur : gbon siké menon na egbon me nko oo... König, König, König, je t'ai appelé trois fois. Gbon siké.....
Le féticheur répétait la même incantation jusqu'à sept fois en appelant le nom de König toujours.
Féticheur : ma super cliente, j'ai déjà fait mon travail et le reste, c'est à toi de le terminer à la maison.
Antoinette : d'accord !
Féticheur : prends cette poudre et le jour qu'il va débuter l'examen, tu te réveilles à minuit en restant nue dans une chambre vide. Tu vas appeler sept fois le nom de cet enfant jusqu'à sept fois sur la poudre. La totalité des noms appelés fait combien ?
Antoinette : ça fait 48.
Féticheur : il faut savoir que tu vas augmenter l'argent, car je vais te faire également la mathématique. Sept fois sept donne 49 et non 48.
Antoinette : moi j'étais toujours nulle en mathématiques depuis mon enfance, c'est pourquoi.
Féticheur : arrêtes tes bêtises devant moi ! Tu es nulle en mathématiques jusqu'à ce que tu ne puisses pas faire la multiplication des enfants ? Vraiment c'est dommage pour toi. Revenons à nos moutons ! Tu vas appeler le nom de König 49 fois sur la poudre et cette pratique se fait durant tous les jours de l'examen. Le dernier jour, tu vas aller devant votre portail en restant toujours nue et tu vas jeter la poudre.
Antoinette : merci beaucoup mon grand féticheur et mon professeur de mathématiques ! Mais pourquoi, tu me donnes toujours la poudre ? On dirait que tu aimes trop la poudre hein.
Féticheur : laisse-moi te donner un secret que bon nombre de personnes ignorent ! Si tu vas chez un féticheur, marabout, etc et ils te donnent la poudre, il faut carrément savoir que tu as trouvé cent pour cent la solution à ton problème.
Antoinette : merci beaucoup mon grand ! Et si je fais tout ça là, qu'est-ce qu'il va lui arriver ?
Féticheur : si tu as bien pratiqué cette astuce, il faut savoir que König sera malade durant tous les jours de l'examen.
Antoinette était quittée chez le féticheur en étant très joyeuse.
Quelques semaines plus tard, l'examen du baccalauréat était prévu dans deux jours. König et sa maman ne faisaient que prier matin, midi et soir.
Le jour j était venu, Antoinette avait pratique son astuce à minuit. Le même jour, König avait senti un malaise dans son organisme, mais il était allé faire son examen.
Antoinette continuait toujours la pratique de son astuce et du jour au jour, le malaise de König ne faisait qu'augmenter. Malgré que König ne se sentait pas bien, mais il continuait toujours de faire son examen comme si de rien n'était et le pire, lui aussi n'avait rien dit à sa maman.
Le dernier jour, König s'était complètement bloqué sur place et il n'arrivait même plus à se lever. La seule chose que sa maman avait faite ce jour, était de prier pour lui du matin jusqu'au soir. Heureusement, König était carrément guéri le soir, mais il avait raté deux matières.
De l'autre côté, Antoinette avait eu la nouvelle que König n'avait pas pu terminer son examen et elle était très contente.
Un mois plus tard, les résultats étaient sortis et malgré que König n'avait pas pu faire deux matières, mais il avait obtenu son diplôme de baccalauréat avec la mention bien. Ce qui était bizarre à tout le monde.
Victoire : rien n'est impossible à celui qui croit... gloire à Dieu !
König : maman, je suis très content et aussi triste.
Victoire : pourquoi tu es triste ?
König : si c'est que j'avais pu faire ces deux matières, j'allais avoir une bourse d'étude, mais hélas.
Victoire : non mon enfant, il faut plutôt remercier à Dieu, car lui-même sait ce qu'il fasse pour nous.
König : d'accord, j'ai compris.
Victoire et son enfant avaient fait une longue prière du remerciement à Dieu pour la réussite de König.
À suivre...