(Victoire et König étaient quittés dans la maison de Gildas et désormais ils étaient allés vivre dans la maison inachevée.)
#Fin_du_Flashback
Quelques semaines plus tard, König s'était réveillé un matin et avait aidé sa maman avant d'aller à l'école.
Victoire : mon enfant, prends soin de toi à l'école hein et surtout sois prudent.
König : d'accord maman ! Mais s'il te plaît maman, où sont tes parents ?
Depuis que Victoire avait donné naissance à König jusqu'à ce qu'il fût au cours moyen, elle n'avait jamais parlé de lui concernant ses parents et lorsque König aussi lui avait posé cette question, elle était un peu triste.
Victoire : s'il te plaît, vas-y sinon tu seras en retard !
König : je ne vais nul part tant que tu ne m'as pas dit où sont mes grands-parents.
Victoire : d'accord König, je vais te raconter toute l'histoire concernant mes parents, mais ce n'est pas ce matin.
König : pourquoi pas ce matin ?
Victoire : l'histoire est très longue et je ne sais pas si je t'ai raconté ça, tu auras le courage d'aller à l'école ce matin.
König : pourquoi je ne vais pas avoir le courage d'aller à l'école ?
Victoire : parce l'histoire est très touchante et triste.
König : humm ok j'ai compris, mais promets-moi que tu vas me raconter toute l'histoire dans la soirée.
Victoire : je te le promets plusieurs fois. Au revoir et à ce soir !
König était allé à l'école et sa maman ne faisait que pleurer dans la maison, car à chaque fois qu'elle se rappelait de la mort de ses parents et tout ce que les frères de son papa lui avaient fait, cela lui rendait très malaise.
De l'autre côté, Antoinette avait complètement tourné la pensée de Gildas jusqu'à ce que si elle ait dit à son mari de lui laver ses slips, ce dernier aussi faisait cela sans hésiter et c'est grâce à cette poudre magique qu'elle fasse tout ça. Une soirée, Gildas était au salon en regardant un feuilleton et Antoinette était venue s'assoir à côté de lui.
Antoinette : chérie, j'aimerais te demander quelque chose.
Gildas : il s'agit de quoi ma fleur de jasmin.
Antoinette : j'aimerais juste savoir où König et sa maman sont actuellement ?
Gildas : non, moi je ne veux plus entendre parler de ces personnes chez moi.
Antoinette : je sais chéri, mais je veux juste savoir. S'il te plaît dis-le-moi, toi-même tu sais que je t'aime beaucoup non, donc il faut me dire là où ils sont.
Gildas : ok moi aussi je t'aime. J'avais donné la clé de ma maison inachevée à Victoire pour qu'ils puissent continuer leur séjour là-bas. J'espère que tu es satisfaite maintenant non
Antoinette : non je ne suis pas du tout satisfaite. Toi-même, tu sais qu'on a deux enfants donc il fallait garder la clé de cette maison dans le but de partager ces deux maisons à mes enfants non.
Gildas : ces enfants n'ont même pas encore dix ans et tu commences à dire ça ? As-tu oublié que König aussi est mon enfant ? Si c'est à cause de ça que tu sois à côté de moi, je te conseille de partir avant que mes nerfs ne se fâchent.
Antoinette était allée dans la chambre sans savoir pourquoi Gildas avait changé dans un instant. Elle ne savait plus quoi faire et décidait d'aller chez le féticheur encore. Elle avait fait quelques minutes sur la route avant d'aller chez lui.
Féticheur : toi encore ici, qu'est-ce que tu veux ?
Antoinette : la poudre avait bien marché dès le début, mais actuellement, ça ne marche plus.
Féticheur : oh mon enfant, c'est à cause de ça que tu sois là ? Ok ce n'est pas grave. À chaque fois que tu verras que ton mari ne t'obéisse plus, il faut savoir que l'effet de la poudre est diminué, donc c'est à toi d'augmenter le volume d'effet.
Antoinette : comment je vais augmenter le volume d'effet ?
Féticheur : tu vas reprendre la même astuce seulement.
Antoinette : d'accord, donc il me suffit juste de mettre la poudre dans l'eau chaude et boire. En plus, je vais mettre ça aussi dans ma partie intime.
Féticheur : effectivement, tu as de la bonne mémoire.
Antoinette était quittée chez le féticheur avec beaucoup de joies, car elle savait très bien qu'elle allait changer la pensée de Gildas encore.
Le soir, König était de retour et après avoir mangé, il était allé chez sa maman pour écouter l'histoire de ses grands-parents.
König : maman, je suis prêt à écouter l'histoire de mes grands-parents.
Victoire : mon enfant König, lorsque j'étais enfant, Antoinette était ma seule et unique meilleure amie. Nous étions toujours des amies jusqu'à ce que nous avions eu nos baccalauréats ensemble. Après le bac mes parents n'avaient pas de moyen pour m'inscrire à l'université et depuis ce jour, moi-même je commençais à vendre des jus de purs waters. Mais quant à Antoinette, elle avait commencé ses études universitaires, car ses parents ont assez de moyens. Un an après mon baccalauréat, mon papa était mort et grâce à ma mère, j'avais continué toujours mes petits commerces et c'était en ce moment que j'avais rencontré ton père Gildas. Ton père et moi avions passé une bonne année ensemble en étant toujours des amis et le jour que j'avais accepté sa demande d'être sa fiancée, c'est le même jour que ma mère était morte...
Arrivée à ce niveau de l'histoire, Victoire commençait à pleurer.
König : s'il te plaît maman, ne pleures pas ! Et tu n'as pas d'autres familles ? C'est-à-dire les frères ou sœurs de ton père ?
Victoire : (pleur) oui ils sont là, mais ils m'avaient rendu responsable de la mort de mes parents...
König : attends, donc si je comprends bien, ils t'avaient accusé sans preuves ?
Victoire : effectivement mon enfant ! En plus, ils m'avaient chassé dans la maison de mes propres parents en me disant que je suis une sorcière. Et c'est en ce moment que je m'étais mariée avec Gildas et j'étais très heureuse avant que mon amie Antoinette avait fait tout ça.
König : vraiment ton histoire est très triste.
De l'autre côté, Antoinette avait mis la poudre dans l'eau chaude et boire. Après, elle avait bien pris son temps et mettait sérieusement la poudre dans son vagin avant d'aller rejoindre son mari.
Antoinette : chéri, je suis désolé pour tout ce que je t'avais dit ce matin concernant le partage de tes maisons à mes enfants.
Gildas : oh toi aussi hein, pourquoi tu me parles ainsi, tu ne sais pas que tu es la seule personne qui me donne la joie ? Viens dans mes bras !
L'effet de la poudre avait commencé à agir sur Gildas et c'est la raison pour laquelle il avait vite changé d'avis.
Gildas : chérie, tout ce que toi tu veux que je fasse, je suis prêt à le faire pour te rendre heureuse, car ton bonheur est mon bonheur, ta joie est la tienne...etc
Antoinette : d'accord chéri, j'ai quelque chose à te dire, mais pour le moment, je veux qu'on fasse l'amour.
À l'aide d'Antoinette, Gildas avait ouvert les boutons de son habit et ils s'embrassaient. Antoinette avait fait une position de quatre pattes et le boss même était derrière elle. Gildas avait introduit lentement sa bite dans le vagin d'Antoinette et lorsque son pénis était en contact avec la poudre dans le vagin de cette dernière, il avait senti quelque chose dans sa tête. Ensuite, il avait changé la position d'Antoinette et lui faisait l'amour avec force. On dirait que la poudre avait changé tout dans son cerveau.
Après avoir pris des bonnes heures pour f***********r, ils étaient allés dans la douche pour se doucher. Lorsqu'ils étaient revenus sur le lit, Antoinette avait posé sa tête sur le cœur de Gildas et disait
Antoinette : chéri, je veux que demain matin, tu arraches cette maison inachevée chez Victoire et son enfant.
Gildas : si c'est tout ce que tu veux, là il n'y a pas de problème, mais je préfère qu'on aille là-bas ensemble.
Antoinette : pourquoi pas, tu pensais que je vais te laisser seul ? Oh non, je serai la première personne là-bas demain matin.
Gildas : d'accord ma chérie !
Le lendemain matin, König était prêt pour partir et du coup, il avait vu son papa accompagné d'Antoinette.
König : vous voulez quoi encore ?
Victoire : ma meilleure amie Antoinette, malgré que tu as fait tout pour arracher mon mari, mais ça ne te suffit pas ? Dis-moi alors ce que tu veilles faire ici ?
Antoinette : premièrement, il faut savoir que je ne suis pas ta meilleure amie et ensuite je n'ai pas arraché ton mari, mais c'est plutôt toi-même qui ne sais pas comment on prend soin d'une chose précieuse.
Victoire : hum Antoinette, malgré que tu me fais souffrir, mais moi je te considère toujours comme ma meilleure amie, car tu ne sais pas ce que tu es en train de faire. Il y a aussi une chose qui est très importante que tu ignores. Il faut savoir que tout ce que nous faisons sur cette terre aujourd'hui, le tout puissant nous voit et chacun d'entre nous payera le prix de son acte demain.
Antoinette : hé arrêtes tes comédies et il faut savoir que je ne suis pas venue ici pour écouter la parole de Dieu, mais je suis ici en chair et en os en personne pour un objectif.
Gildas : calmez-vous ! Victoire, je veux la clé de ma maison.
Antoinette : Victoire, est-ce que le volume est bon pour toi ou bien tu veux un peu d'augmentation ?
Victoire : s'il te plaît Gildas, qu'est-ce que tu viennes de me dire ?
Antoinette : mon amour, elle veut l'augmentation du volume, donc il faut parler plus fort pour qu'elle puisse bien entendre.
Gildas : (voix haute) je dis bien, je veux la clé de cette maison.
König : mais papa, si tu prends cette clé, on va aller vivre où ?
Gildas : arrêtes de m'appeler papa et demande bien ta maman qui est ton père.
Victoire : mais Gildas, qu'est-ce que tu racontes là ?
Antoinette : tu as bien entendu Victoire. Tu n'es qu'une p**e. Depuis l'enfance, moi je te considérais comme une vraie amie alors que tu n'étais qu'une lâche, une traînée...etc
Victoire : Antoinette, je sais très bien que c'est toi qui es à la base de tout ça, mais il faut savoir que tu le regretteras.
Antoinette : arrêtes de me rendre responsable de tout ça.
König : moi je savais très bien que tu étais très méchante.
Antoinette : comme toi König, tu es un impoli, laisse-moi t'apprendre que si les personnes âgées parlent, les gamins restent toujours les bouches fermées.
König : laisse-moi aussi t'apprendre qu'il n'y a aucune différence entre un fou et une personne âgée qui fait du mal à son prochain.
Antoinette : tu me traites d'une folle ?
König : c'est toi qui le dis. Moi je ne te fais que la morale.
Antoinette : donc tu es déjà arrivé à ce niveau jusqu'à ce que tu ne respectes plus les gens ?
König : moi König, je respecte les gens qui se respectent, au cas contraire....
Il n'avait pas pu terminer sa phrase et le boss même avait pris la parole.
Gildas : vos chansons là, ne sonnent pas bien dans mes oreilles, donc arrêtez-moi ça. Toi Victoire, apporte-moi ma clé, sans commentaire et sortez de ma maison !
Avec les pleurs, König et sa maman étaient sortis dans la maison inachevée de Gildas. König était toujours dans sa tenue de scolaire et ne faisait que pleurer
König : (pleur) maman, on va aller vivre où ?
Victoire : hummm mon enfant, allons dans ma baraque en attendant qu'on ne trouve une chambre à louer.
König : d'accord maman ! Mais à partir d'aujourd'hui, il faut savoir que Gildas n'est plus mon père.
Victoire : mon enfant, je sais ce que tu ressens actuellement, mais je te demande pardon de ne pas prendre une décision en étant en colère. Il faut aussi savoir que Gildas que moi-même, je connaissais depuis, n'est plus le même et je suis sûr que c'est Antoinette qui est à la base de tout ça là.
König : effectivement c'est cette sorcière qui est à la base de tout ça. Mais je te promets qu'un jour, je vais enlever le rideau sur elle.
Victoire et son enfant étaient partis pour aller vivre dans la baraque en attendant jusqu'à ce qu'ils ne trouvent une chambre à louer.
À suivre....