La mort de Victoire

2164 Words
(Victoire et son enfant avaient fait une longue prière du remerciement à Dieu pour la réussite de König.) Malheureusement pour Antoinette, son fils aîné et sa cadette avaient échoué. Elle aussi avait appris que König avait obtenu son baccalauréat avec une mention bien. Selon elle, König n'allait pas réussir à l'examen, mais c'était plutôt le contraire et elle avait décidé d'aller chez son professeur de mathématiques. Quelques minutes après, Antoinette était arrivée chez le féticheur qui était devenu son nouveau professeur de mathématiques. Féticheur : ma super cliente, comment vas-tu ? Antoinette : ça va très mal ! Féticheur : qu'est-ce qu'il ne va pas mon enfant ? Antoinette : le sorcier là a eu son Bac et le pire, il est admis avec une mention bien. Féticheur : quoi !!! Non, ce n'est pas possible, car moi je ne fais pas mon travail sans succès. Est-ce que tu avais bien pratiqué l'astuce ?  Antoinette : oui mon grand féticheur ! Féticheur : non, moi je ne suis pas sûr. Ou bien tu avais appelé son nom 48 fois seulement ? Antoinette : non, j'avais bien compté. Mais ce qui était un peu bizarre pour moi est que le sorcier était malade le dernier jour seulement. Féticheur : et puis quoi alors ? Tu avais bien fait la chose en plus la poudre aussi avait fait son travail, mais seulement que l'âme de cet enfant est plus fort que la poudre. Antoinette : maintenant on fait quoi ? Féticheur : on ne peut rien faire encore, car son nom est déjà mentionné sur la liste des admis. Antoinette était quittée chez le féticheur et arrivée à la maison, elle s'asseyait dans le sofa et disait Antoinette : je ne voulais pas que cet enfant obtient son diplôme de baccalauréat, mais il a eu. Actuellement, j'ai tellement peur de sa maman et lui, car si König commence ses études universitaires maintenant, je suis sûr qu'il va devenir un riche et Victoire va se moquer de moi. Que dois-je faire alors ? Okay....!!!! J'ai une bonne idée. Antoinette s'était levée dans le sofa et était allée chez son mari dans la chambre. Ce dernier était en train de manipuler son téléphone avant que Antoinette ne rentre et lorsque Gildas avait vu le visage de sa femme, il avait su en même temps que quelque chose n'allait pas chez elle. Gildas : chérie, qu'est-ce qu'il ne va pas ? Je t'avais plusieurs fois dit que si tu es contente, moi aussi je me sens très bien et maintenant que quelque chose ne va pas chez toi, j'ai envie de pleurer. S'il te plaît dis-moi ce que tu as ! Antoinette : je veux que tu arraches la baraque chez Victoire. Gildas : tu parles de quelle baraque ? Antoinette : la baraque dans laquelle elle vendait ses marchandises. C'est grâce à cette baraque qu'elle paie les frais de scolarité et autres à son enfant donc moi je veux que tu prennes ça chez elle. Gildas : non ça jamais, je préfère de laisser cette baraque à eux, comme ça à chaque fois que König va regarder cette baraque, il va se souvenir de moi. Antoinette : tu vois comment tu es malade ? Ce n'est pas toi même qui avait dit l'autre fois que König n'était pas ton enfant ? Et... Du coup, Antoinette avait senti une grande douleur dans son oreille gauche. C'était Gildas qui lui avait donné une bonne et super gifle. Antoinette ne parlait plus et ses yeux étaient devenus très rouges comme l'enfer. Elle était sortie dans la chambre en mettant une main dans son oreille et était allée dans une chambre vide dans laquelle elle mettait ses poudres et autres choses. Elle avait pris sa poudre et mettait ça dans l'eau chaude et boire. Ensuite, elle avait bien mis ça dans sa partie intime et allait rejoindre son mari de nouveau dans la chambre. Antoinette : est-ce que tu peux m'expliquer pourquoi tu m'as giflé ? Gildas : chérie, je suis désolé, car je ne savais pas avant de faire ça. S'il te plaît, pardonne-moi ! Antoinette restait muette devant son mari et ne disait rien jusqu'à un moment, elle s'approchait lentement vers son mari et dans un instant, elle avait attrapé le pénis de Gildas avec force. Ce dernier ne faisait que crier et lui demandait pardon, mais Antoinette s'en foutait du pardon de son mari. Gildas avait beaucoup crié et pleuré et Antoinette avait relâché sa bite. Antoinette : que ça soit la première et la dernière fois que tu oses mettre ta main sur moi ! Gildas : je te promets que je ne vais jamais te faire une telle chose encore. Antoinette : d'accord, maintenant déshabille toi pour qu'on fasse l'amour. Gildas : s'il te plaît Antoinette, je ne peux pas te f***********r, car je n'arrive pas à me mettre en érection, en plus je sens beaucoup de douleurs au niveau de mon pénis. Antoinette : tu te mets en érection ou pas, moi je m'en fous. La seule chose que je te demande, est de venir me f***********r.  Malgré que la bite de Gildas ne fonctionnait pas très bien, mais il avait fait l'amour à sa femme. Après, ils discutaient sur le lit. Gildas : chérie, je suis sincèrement désolé et j'espère que tu me pardonnes. Antoinette : non, pas encore car il reste encore une dernière chose. Demain matin, on va aller chez Victoire pour que tu prennes la chose qui t'appartient. Gildas : d'accord, si c'est à cause de la baraque, là il n'y a pas de soucis. Le lendemain matin, König et sa maman discutaient concernant l'inscription à l'université. Victoire : mon enfant, une fois encore félicitations à toi ! König : merci maman ! Mais maman, on va trouver de l'argent où pour que je puisse continuer mes études universitaires ? Victoire : ne t'inquiètes pas, car grâce à ce que je vende dans la baraque, j'ai fait une économie qui peut te permettre de continuer tes études. König : merci beaucoup maman ! Je t'aime fort... Victoire : nos grands parents avaient l'habitude de dire que si un père n'a pas pu faire quelque chose, obligatoire son enfant doit faire cela. Donc mon enfant König, moi Victoire ta maman qui suis devant toi actuellement, j'étais aussi très intelligente comme toi, mais c'était la manque des moyens financiers que je n'avais pas pu continuer mes études universitaires. C'est la raison pour laquelle, moi je veux que tu ailles jusqu'au bout. König : maman, tu as bien parlé et je te félicite pour ton encouragement aussi. Je te promets que j'irai jusqu'au bout pour te rendre heureuse. Victoire et son enfant étaient là en discutant et quelques minutes après, Gildas et Antoinette aussi étaient venus chez eux. Victoire : qui vous a dit que nous vivons ici ? König : malgré que tu nous avais fait tout ça, mais ça ne te suffit pas ? Antoinette : comment ça peut me suffire alors que toi, tu réussis seulement sans échec.  Victoire : depuis notre enfance, tu étais très stupide et j'espère que c'est ta stupidité qui dérange tes enfants aussi. Antoinette : c'est à moi que tu parles comme ça ? En tout cas, fermons cette page et écoutes bien ce que mon mari va te dire. Gildas : Victoire, si je suis venu chez vous ce matin, c'est juste pour récupérer ma baraque que je t'avais fait. En écoutant cela, Victoire était évanouie. Gildas voulait s'approcher vers elle, mais Antoinette avait saisi son bras et ils étaient partis. König ne savait plus quoi faire et il avait vite appelé un taxi. Ils ont transporté Victoire dans un hôpital et les docteurs prennent soin d'elle.  König était chez sa maman jusqu'au lendemain matin, mais c'était toujours la même chose. Victoire n'ouvrait plus ses yeux et était allongée sur le lit d'hôpital seulement. Quelques heures, un docteur était venu chez König. Docteur : mon enfant, cette femme est ta maman ? König : oui monsieur le docteur, elle est ma mère. S'il vous plaît, aidez-moi à sauver la vie de ma maman, car elle est tout pour moi dans cet univers. Docteur : d'accord !! Nous allons sauver la vie de ta maman, mais à condition. König : s'il vous plaît, vous voulez quoi ? Docteur : chez nous ici, quand on ne prend pas l'argent, on ne termine pas nos travaux. König : d'accord ! Commencez à prendre soin d'elle, je vais y revenir avec la somme que vous me demandez ! Docteur : tu n'entends pas ? Je dis bien quand on ne prend pas la somme totale, on ne continue plus nos travaux. Mon fils, si tu veux bien sauver la vie de ta maman, c'est le bon moment pour toi de nous donner de l'argent. König : humm ok j'arrive dans dix minutes. König avait couru comme un lapin et quelques minutes, il était revenu à la maison. Il commençait à fouiller dans les sacs de sa maman dans le but de trouver la somme que le docteur lui avait demandé, mais hélas. Il avait bien fouillé la chambre dans laquelle ils vivaient, mais il n'avait rien trouvé. Il avait dit dix minutes au docteur, mais le dix minutes était passé depuis. König s'asseyait dans le canapé dans la chambre et pleurait. Quelques secondes après, une idée était venue dans sa tête. König avait couru encore plus qu'avant et allait chez son père.  Gildas et Antoinette étaient au salon, la main dans la main et König aussi était venu chez eux avec les larmes aux yeux. Antoinette : qui t'a dit de mettre ton pied dans cette maison ? König : ce que tu as oublié, est que moi aussi j'ai le droit de faire tout ce que je veux dans cette maison, car c'est pour mon père aussi. Papa, si je suis ici actuellement, c'est parce maman est en ce moment sur le lit d'hôpital. Les docteurs disent que s'ils n'ont pas pris de l'argent, ils ne vont plus continuer leurs travaux, donc je te demande pardon de sauver la vie de ma maman. Antoinette : est-ce que c'est mon mari qui est Jésus Christ et tu lui demandes de sauver la vie de ta maman ? Gildas : Antoinette, peux-tu fermer ta bouche un peu ? Mon enfant König, viens on va discuter à propos de la somme que les docteurs veulent prendre avant de continuer leurs travaux. Lorsque Gildas avait dit cela, Antoinette même savait en même temps que l'effet de la poudre était diminué et elle était allée dans la chambre vide. Comme d'habitude, elle avait fait tout ce qu'elle devait faire et revenait chez son mari au salon.  Antoinette : hé toi Gildas, je veux te voir dans la chambre. Et toi König, sors de ma maison et je ne vais plus te voir dans cette maison. König : premièrement il faut savoir que cette maison n'est pas la tienne. En plus, je te félicite beaucoup, car tes gris-gris marchent bien sur mon père, mais, mais et mais je te préviens que si quelque chose de plus grave arrive à ma mère, humm tu vas le regretter durant toute ta vie, car je ne vais jamais te pardonner. Lorsque König avait dit cela, il avait faussé la compagnie d'Antoinette. Antoinette était allée rejoindre son mari dans la chambre. Quelques minutes après, König était arrivé chez sa maman et il caressait le visage de sa maman. Dans un instant, sa maman avait ouvert ses yeux et disait Victoire : mo...mon enf.. enfant König, il ne faut jamais oublier ton pa..p... papa. Boom, Victoire avait fermé sa bouche mais ses yeux restaient toujours ouverts et elle ne bougeait plus. König s'était effrayé par la situation et allait directement appeler le docteur. Le docteur aussi était venu faire son analyse et après l'analyse, il disait Docteur : mon enfant, je suis désolé, car... Le docteur n'avait pas pu terminer sa phrase et König avait saisi son cou avec force et répondait König : (pleur) non monsieur le docteur, je ne suis pas prêt pour entendre ce que vous voulez me dire, donc faites quelque chose pour moi. Docteur : mon enfant, on a fait ce que nous puissions faire, mais malheureusement nous n'avons pas pu sauver la vie de ta maman. Je suis sincèrement désolé pour toi. König restait muet devant le docteur et lâchait son cou. Il s'approchait vers sa maman et prenait sa main droite. König : maman, pourquoi tu m'as laissé seul dans cette planète ? Comment moi seul, je peux vivre sans toi ? Humm si ta mort est la volonté de Dieu, alors que ton âme se repose en paix. Mais, je te promets encore une fois que j'irai jusqu'au bout et je serai un grand riche demain. Avec les pleurs, König était sorti et était allé à la maison. À suivre....
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