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L'AMOUR D'UN PAUVRE ÉTUDIANT

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Un jeune garçon appelé König a été abandonné par son papa à cause de la coépouse de sa maman, lorsqu'il était au cours moyen. Sa mère était morte après son baccalauréat. Depuis la mort de sa maman, il commençait à souffrir jusqu'à ce qu'il fut même allé en prison.

Il avait fait la connaissance d'un ami en prison et grâce à cet ami, König avait commencé ses études universitaires. Il était tombé sous le charme d'une belle fille appelée Mathilde, mais malheureusement cette dernière ne ressentait rien pour lui.

Malgré tout, König et Mathilde s'étaient mariés.

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Le commencement
À cause de la coépouse de sa maman qui était capable de donner naissance à autres enfants, alors que sa mère n'était plus capable d'en donner, il a été abonné par son papa en classe de cours moyen. König était un jeune garçon intelligent dans tous les domaines. Il vivait en paix avec sa maman dans la maison de son papa et comme sa mère n'était plus capable de donner naissance à un autre enfant à part lui, son papa s'était remarié avec une autre femme qui était la meilleure amie de sa maman.  La mère de König et sa coépouse étaient des vraies amies depuis leurs enfances. Comme le papa de König était un grand homme d'affaires et grâce à ses affaires, lui aussi ne manquait de rien. Il avait construit une belle maison et c'est là qu'il vivait avec la mère de König avant qu'il ne se soit remarié avec la meilleure amie de sa maîtresse. Antoinette était la meilleure amie de Victoire qui était la mère de König depuis qu'elles étaient sur le banc d'école. À cause de la jalousie et l'envie, Antoinette avait jeté un sort à Gildas qui était le papa de König afin de pouvoir récupérer la place de sa meilleure amie Victoire. #Flashback Il était une fois dans une école dans laquelle les anciens se moquaient trop des nouveaux élèves. Le jour de la rentrée, les anciens se moquaient d'Antoinette également à cause de son habillement, car cette dernière aussi était une nouvelle dans cette école. Elle avait fait la connaissance de Victoire et depuis ce jour, elles étaient devenues des meilleures amies.  Victoire : as-tu déjà fait ton exercice de maths ? Antoinette : pas encore mon amie. Victoire : tu attends quoi, le professeur de mathématiques ne blague pas avec ses exercices, donc il faut te débrouiller vite. Antoinette : le problème est que je ne suis pas forte en mathématiques. J'avais pris mon cahier de mathématiques hier pour faire l'exercice, mais lorsque j'avais écouté une chanson d'amour dans le bar qui est à côté de nous, j'étais totalement déconcentrée et c'est la raison pour laquelle, je n'avais pas pu faire l'exercice. Victoire : hummm toi avec tes chansons d'amour-là, ok viens copier le mien, mais il faut savoir que la prochaine fois, c'est toi-même qui va te débrouiller. Antoinette : oh laisse l'affaire de me débrouiller à part et donne-moi le cahier. Victoire et Antoinette étaient toujours comme ça à l'école et même à la maison, c'était toujours pareil. L'amitié de Victoire et Antoinette était toujours comme ça jusqu'à ce qu'elles avaient obtenu leur Baccalauréat ensemble. Après le Bac, Antoinette avait poursuivi ses études universitaires et quant à Victoire, elle avait abandonné ses études à cause des manques de moyens. Comme les parents de Victoire n'avaient pas pu inscrire leur fille à l'université, cette dernière même faisait ses petits commerces afin de gagner de l'argent.  Victoire était une fille, vraie battante et ne comptait pas sur aucun garçon. Sa seule préoccupation, c'était de faire des petits business pour aider ses parents, mais c'est le contraire pour Antoinette. Les parents d'Antoinette avaient un peu de moyens, mais cette dernière ne faisait que courir derrière l'argent des garçons. Victoire lui avait dit plusieurs fois de cesser ça, mais elle s'en foutait de tout le monde. Victoire : mon amie, je dis hein, pourquoi tu aimes à avoir beaucoup de garçons ? Antoinette : les jeunes garçons d'aujourd'hui croyaient qu'ils sont forts plus que nous les filles, mais moi Antoinette, je vais leur montrer qu'il y a une grande différence entre l'odeur des aisselles et celle de l'anus. Victoire : toi, tu me fais trop rire quoi. Et c'est la raison pour laquelle tu couches avec eux ? Antoinette : hahaha mon amie, tes idées vont trop loin. Victoire : tu voulais dire quoi par là ? Antoinette : moi je n'ai jamais fait le rapport sexuel. Victoire : et comment fais-tu pour prendre l'argent chez les garçons ? Antoinette : moi je suis plus forte et je maîtrise très bien leurs stratégies, donc on ferme cette discussion. Victoire : je te conseille de laisser cette attitude sinon.... Elle n'avait pas encore fini de parler et Antoinette lui avait répondu  Antoinette : sinon quoi ? Comme toi, tu préfères de souffrir alors que les garçons stupides sont là, alors laisse-moi faire mon business et toi aussi, il faut te concentrer sur le tien. Victoire : humm toi-là hein, ok bonne chance dans ton business. Antoinette : merci et bonne chance à toi aussi ! Ils se séparaient et chacune était allée à la maison. Dans le quartier, tout le monde les considérait comme la jumelle, car leur amitié marchait très bien.. Victoire faisait toujours ses va-et-vient, juste pour satisfaire ses besoins et celui de ses parents. Un jour, elle vendait les jus et les purs waters au bord de la route et un monsieur avait garé sa voiture devant elle. Monsieur : bonjour madame ! Victoire : s'il vous plaît monsieur, c'est mademoiselle et non madame. Monsieur : ah je suis désolé, tu peux me tutoyer, il n'y a pas de soucis. Victoire : d'accord, tu veux acheter du jus ou de l'eau ? Monsieur : non, moi je voulais juste faire ta connaissance, car tu es très belle. Victoire : donc si je comprends très bien, toi tu ne fais rien que faire la connaissance des filles dans ce pays ? Ok laisse-moi te fais comprendre qu'il y a fille dans filles. Moi je ne suis pas les filles dont tu faisais ça, je suis très différente. Monsieur : oh non, moi je n'ai jamais fait ça à aucune fille à part toi. Victoire : il est facile à toi de me dire tout ce tu veux, car je ne te suivais pas. Monsieur : non crois-moi, je ne mens pas. Victoire : qu'est-ce qu'il prouve maintenant que tu ne mens pas ? Monsieur : c'est toi-même qui es la preuve. Victoire : je n'ai pas compris... Monsieur : tu ne sais pas que tu es belle ? Victoire : s'il te plaît, il ne faut pas aller à ce niveau et dégages devant moi avec ta voiture ancien modèle là. Le monsieur était parti et le jour suivant, Victoire avait raconté tout à son amie. Antoinette : quand est-ce que toi aussi tu vas t'engager dans une relation amoureuse ? Tu ne sais pas que le gars voulait te draguer ? En plus, il a de la voiture et toi, tu laisses cette opportunité comme ça ? Victoire : si tu veux, tu peux aller t'engager ta relation avec lui. Antoinette : malheureusement, moi je ne le connais pas. Le seul problème que Antoinette avait, était de courir derrière les garçons. Surtout les garçons qui ont assez de moyens. Victoire continuait toujours ses petits commerces et par la grâce de Dieu, elle commençait à satisfaire ses besoins à travers ça. Son amie aussi continuait ses études universitaires avec l'affaire des mecs riches toujours. Chaque dimanche, le monsieur passait devant Victoire et un jour, il avait décidé de connaître la maison dans laquelle Victoire vivait. Monsieur : bonsoir mademoiselle ! Victoire : toi encore avec tes conneries ? Monsieur : oui moi encore, aujourd'hui je vais rester ici jusqu'à ce que tu rentres. Victoire : en tout cas, moi je rentre déjà, donc toi aussi il faut partir.  Monsieur : si c'est le cas, allons-y ensemble. Victoire : allons où ? Monsieur : viens, je vais te prendre avec ma voiture. Victoire : merci et je n'ai pas besoin de ton aide. Victoire était partie en laissant le monsieur seul dans son lieu de vente. Le monsieur aussi ne savait pas quoi faire et décidait de la suivre lentement afin de connaître là où, elle vivait. Victoire avait pris un taxi et le gars aussi l'avait suivi jusqu'à ce qu'il ait vu la maison dans laquelle elle vivait. Un an plus tard, Victoire avait perdu son papa et grâce à sa maman, elle continuait toujours ses commerces. Son amitié avec Antoinette ne faisait que s'agrandir du jour au jour, malgré que son amie Antoinette continuait toujours avec ses affaires des mecs les plus riches.  Depuis ce jour, le monsieur passait chez Victoire chaque dimanche soir et on dirait qu'il commençait à ressentir quelque chose à cette dernière. Monsieur : ma mielleuse comment vas-tu ? Victoire : pourquoi tu m'appelais toujours avec ces nom bizarres ? Monsieur : c'est parce que je ne connais pas ton nom. Victoire : oh c'est vrai ça ? Tu viens ici chaque dimanche soir jusqu'à un an et tu ne connais pas mon nom ? Monsieur : oui, c'est normal. Et toi qui me parles, est-ce que tu connais mon nom ? Victoire : humm tu as raison. Et c'est quoi ton nom ? Monsieur : donne-moi le tien d'abord. Victoire : ok reste là-bas ! Tu penses que je vais manger ton nom ? Et d'ailleurs, je ne sais même pas pourquoi je t'ai demandé ça. Monsieur : humm toi, tu es très bizarre et différente par rapport aux autres filles hein. Ok moi c'est Gildas et toi ? Victoire : c'est ce vilain prénom que tu ne voulais pas me donner ? Gildas : je ne te comprends pas et qui t'a dit que mon prénom est vilain ? Victoire : si tu tapes l'explication de Gilda ou Gildas je ne sais pas quoi, sur Google, ils vont te dire que c'est le nom d'un petit dieu en Europe. Gildas : on dirait que tu es une comédienne hein. S'il te plaît donne-moi ton nom et laisses tes comédies à part. Victoire : donc tu me traites d'une comédienne ? Ok mon nom c'est comédienne. Gildas : humm ok, tu m'as vaincu avec tes arguments, maintenant je peux connaître ton nom ? Victoire : ok monsieur Gilda ou Gildas je ne sais pas quoi, mon nom c'est Victoire. Je suis une victorieuse. Gildas : s'il te plaît, c'est Gildas et non Gilda. Je comprends maintenant la raison pour laquelle, tu questionnes trop les gens. Victoire : à bon ! Ok dis-moi ce que tu comprends. Gildas : c'est à cause de ton nom.  À partir de ce jour, Gildas et Victoire étaient devenus des amis. Victoire avait parlé de sa mère à propos de Gildas et cette dernière aussi lui disait qu'elle souhaiterait voir Gildas un jour et Victoire aussi n'avait pas refusé. Comme Gildas était un homme d'affaires, ce qui faisait que lui aussi ne soit pas libre sauf les dimanches soirs. Un dimanche soir, il était allé chez Victoire encore. Gildas : comment vas-tu ma chérie ? Victoire : je suis ton amie et non chérie. Est-ce que je me fais comprendre ? Gildas : est-ce que toi aussi tu vas manquer d'arguments un jour ? Victoire : moi j'ai eu mon Bac et je suis une littéraire, donc ne passez pas que je suis une traînée en me voyant devant ses jus et purs waters. Gildas : ooooh moi je n'ai rien dit. J'ai juste dit, est-ce que toi aussi, tu vas manquer d'arguments un jour ? Humm et pourquoi tu n'as pas pu continuer tes études universitaires ? Victoire : c'est parce que mes parents n'avaient pas des moyens. Gildas : je suis désolé pour toi. Ce soir j'aimerais faire la connaissance de ta mère, bien-sûr que si tu veux. Victoire : ça tombe bien, car maman aussi voulait te voir. Gildas : si c'est le cas, allons-y en même temps ! Victoire : tu vois comment tu es méchant ? Ce que moi je vends ici, c'est ça qui me permet de satisfaire mes besoins et celui de ma maman et toi tu me dis de rentrer tout à l'heure ? Gildas : une fois encore, je suis désolé, car tu as raison. Quelques heures plus tard, ils étaient partis et arrivés à la maison de Victoire, Gildas et la mère de Victoire avaient fait de la connaissance. À suivre...

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