(Gildas avait donné deux paires de baisers sur les joues d'Antoinette et était parti.)
Quelques semaines plus tard, König était toujours dans la maison de Marceline et travaillait très bien. Parfois, il aidait Délali à faire ses devoirs de maison.
Délali : grand frère, peux-tu m'aider à faire mon exercice de mathématique ?
König : ok pas de soucis ! Apporte-moi le cahier, je vais voir l'exercice.
Quelques secondes, Délali avait apporté son cahier à König. Ce dernier avait pris son temps pour bien lire l'exercice.
König : mais, c'est presque la même chose qu'on fasse hein. Sinon c'est la même mathématique que nous aussi, nous avions fait en seconde.
Délali : d'accord, maintenant dis-moi comment on calcule le discriminant.
König : voici la formule, donc il faut appliquer ça, je vais voir.
Délali avait commencé le travail et König était toujours devant elle jusqu'à ce qu'elle ait fini son travail.
König : tu n'as pas bien fait le numéro trois, normalement tu devrais trouver, moins quatre à ce niveau.
Lorsque König expliquait les choses à Délali, cette dernière ne faisait que guetter König. König aussi avait remarqué que Délali ne lui suivait et il disait
König : mais est-ce que tu me suis quand même ?
Délali : oh...n.oui, oui je te suis.
König avait bien expliqué le cours de mathématique à Délali et quelques minutes après, Marceline aussi était de retour.
Marceline : mes enfants, comment votre journée a été passée ?
K&D : très bien maman et la tienne !
Marceline : bien aussi, König viens m'aider pour qu'on prépare vite.
König avait aidé Marceline dans la cuisine et ils avaient préparé. Lorsqu'ils mangeaient ensemble au salon, Délali était assise devant König et ne faisait que lui regarder. Après le repas, chacun était allé dans sa chambre. Durant toute la nuit, Délali n'avait pas pu fermer ses magnifiques yeux. Le lendemain matin, elle était la première personne à se réveiller. Lorsque König aussi s'était réveillé, il avait commencé le ménage et Délali ne faisait que regarder sa beauté. Du coup, leurs regards s'étaient croisés.
König : pourquoi tu me regardes, ou bien je ne fais pas bien le travail ?
Délali : non, ce n'est pas ça, c'est juste que e.e..o
Elle ne savait plus quoi dire et elle était allée dans la douche pour se laver. Quelques minutes, Marceline et sa fille étaient parties. König restait toujours seul à la maison et le soir, il décidait de se balader dans le quartier.
De l'autre côté, lorsque Gildas était de retour, il avait décidé de vérifier les fournitures de ses enfants dans leurs sacs. Premièrement, il avait pris le sac de sa fille cadette et avait constaté que tout était parfait. Ensuite, il avait pris le sac de son boss, le fils aîné et il contrôlait les fournitures de son fils aîné et à sa grande surprise, il avait vu une cigarette dans le sac de son enfant. Il a été dépassé par ce qu'il avait vu dans le sac et avait appelé son enfant avec beaucoup de colères.
Gildas : hé Laurent, viens ici !
Aîné (Laurent) : c'est moi ça, papa !
Gildas : tu peux m'expliquer pourquoi la cigarette est dans ton sac d'écolier ? Toi Moufi, vas m'appeler ta maman.
Moufi, la cadette, était partie pour appeler sa maman Antoinette dans la chambre. Gildas et son enfant Laurent aussi étaient au salon. Quelques secondes après, Antoinette et sa fille Moufi aussi avaient rejoint les deux derniers au salon.
Gildas : Antoinette, tu peux me dire ce que la cigarette cherche dans le sac de Laurent ?
Antoinette : mais pourquoi c'est à moi que tu poses cette question ?
Gildas : moi je ne reste pas à la maison sauf les dimanches et toi, tu es avec eux chaque jour, c'est la raison pour laquelle je te demande pourquoi la cigarette est dans le sac de Laurent. Maintenant, j'espère que ma question est claire non ?
Antoinette : moi aussi je ne sais pas. Laurent, tu as trouvé la cigarette où ?
Laurent : c'est un camarade de classe qui avait déposé ça chez moi.
Antoinette : d'accord mon enfant, demain matin il faut remettre ça au propriétaire et ne viens plus dans cette maison avec ces genres de choses.
Laurent : d'accord, merci maman !
Gildas : toi, viens t'agenouiller ici ! Moufi, vas me chercher un bâton.
Antoinette : Moufi, viens t'asseoir ici et toi Laurent, suis moi.
Gildas : je parle et toi, tu contredis ?
Antoinette : toi tu es qui ? C'est toi qui avais découvert l'Amérique ? Il faut savoir que tu n'es rien devant moi. Les enfants, allez dans votre chambre.
Gildas était resté muet jusqu'à ce qu'Antoinette et ses enfants fussent allés dans la chambre.
Deux semaines plus tard, le directeur d'école de Laurent était venu chez ses parents à la maison. Heureusement, Gildas aussi était à la maison ce jour-là.
Gildas : soyez les bienvenus, monsieur le directeur !
Directeur : merci ! Est-ce que c'est vous les parents de Laurent ?
Antoinette : bien-sûr que oui monsieur le directeur. Y-a-t-il un souci ?
Directeur : oui, il y a un grave problème. Votre enfant est actuellement en état d'arrestation.
Gildas : quoi !!! Hahaha, dites-moi que vous blaguez !
Directeur : donc vous pensez que moi je vais gaspiller mon temps pour venir me plaisanter ici ?
Antoinette : mais il n'est qu'un mineur non ?
Directeur : oui, c'est un mineur, mais il a commis un acte très grave à l'école aujourd'hui.
Antoinette :(pleur) qu'est-ce qu'il a fait monsieur le directeur ?
En ce moment, Gildas ne parlait plus, en plus il ne s'inquiétait même pas aussi. Mais quant à Antoinette, elle commençait à pleurer sans savoir ce que son enfant avait fait.
Directeur : ça fait quelques jours, votre fils ne venait plus à l'école à l'heure et chez nous, si les enfants ne viennent pas à l'école à l'heure, on ne fait que les punir. Aujourd'hui, Laurent était la première personne qui était venu à l'école. Quelques minutes après, une fille de sa classe aussi était venue. Écoutez bien cette partie hein ! Lorsque la fille était venue, Laurent avait décidé de v****r cette dernière et lorsqu'elle aussi avait commencé par crier, c'est en ce moment que votre fils avait poignardé le cou de la fille. Oh seigneur Jésus Christ.
Le directeur n'arrivait plus à parler et pleurait devant Antoinette et son mari. Antoinette aussi avait augmenté à couler ses larmes. Malgré tout, Gildas était toujours calme chez eux comme si de rien n'était.
Directeur : (pleur) actuellement dont je vous parle, la fille est à l'hôpital et on ne sait pas si les docteurs peuvent sauver la vie de cette jeune fille ou pas.
Antoinette : non, ce n'est pas possible ! Mais qui vous a rencontré tous ces mensonges sur mon enfant ? Bref qui était là, lorsque la scène se passait ?
Directeur : oui votre question est très bonne. Nous avons un gardien qui contrôle notre école, et lorsque ce dernier avait écouté les cris de la jeune fille, c'est en ce moment qu'il avait surpris votre fils.
Antoinette : oh mon Dieu !!! S'il te plaît Gildas, toi aussi il faut dire quelque chose non.
Gildas : moi je n'ai rien à dire. Monsieur le directeur, c'est elle, la mère de Laurent donc allez discuter entre vous.
Antoinette : mais il est ton enfant non Gildas.
Gildas était allé dans sa chambre et ces deux derniers aussi étaient partis au commissariat de police dans lequel se trouvait Laurent.
Arrivés au commissariat de police et malgré tout, Laurent a été condamné à un an de prison, car d'après les informations des policiers, ce dernier était conscient de l'acte qu'il avait commis.
Antoinette était retournée à la maison et ne faisait que pleurer. À son retour, elle était directement allée dans sa chambre vide pour utiliser encore la poudre magique, mais malheureusement pour elle, la poudre avait fini dans la boîte. Elle était choquée, car sans cette poudre magique, son mari ne pouvait pas mettre sa bouche dans cette affaire de Laurent.
Le lendemain matin, elle avait décidé d'aller chez son féticheur.
Féticheur : sois la bienvenue ma princesse !
Antoinette : s'il te plaît, ne m'appelles plus princesse, car actuellement j'ai un sérieux problème.
Féticheur : il s'agit de quel problème jusqu'à ce que moi Azéto, je ne peux pas résoudre ? Toi-même, tu sais que je suis capable de faire tout non ?
Antoinette : oui, mon féticheur, je sais que tu es puissant, mais actuellement dont je te parle, mon fils aîné est dans la main des policiers et la seule personne qui peut m'aider à faire sortie mon enfant, est mon mari. Mais malheureusement pour moi, la poudre magique est finie et ce dernier aussi ne voulait pas mettre sa bouche dans cette affaire.
Azéto : humm on dirait que ton problème devient problème au carré hein, car ma poudre aussi était finie depuis.
Antoinette : donc il n'y a aucune solution ?
Azéto : toi-même tu sais que je suis le tout puissant, donc je vais te trouver une solution.
Franchement parlant, Azéto aussi était l'un des plus puissants féticheurs dans la région. Il récitait ses incantations jusqu'à un moment et il disait
Azéto : il y a seulement une solution à ton problème.
Antoinette : merci beaucoup ! C'est laquelle ?
Azéto : tu peux remplacer ton fils qui est en prison par une autre personne de ton choix.
Lorsqu'elle avait écouté cela, elle était très contente et du coup, elle avait décidé de remplacer Laurent par son papa.
Antoinette : mon mari, oui je vais remplacer mon fils par lui.
Azéto : tu vois comment tu es stupide ? Toi, tu es là, tu ne travailles pas et la seule personne qui prend soin de toi et de tes enfants, tu veux qu'il aille en prison ? Fais-moi un autre choix très vite !
Antoinette : qui, qui, qui.... okay j'ai déjà trouvé une personne. Merci seigneur, sinon j'avais carrément oublié ce sorcier là. Je parle de König.
Azéto : le petit là a une puissance, mais je vais essayer d'abord. Trois jours après, tu verras ton fils en chair et en os.
Antoinette : merci infiniment, prend ton argent et à plus !
De l'autre côté, König aidait encore Délali à faire ses devoirs de maison. Tout ce que König faisait, Délali ne comprenait rien, car elle était devant König, mais son esprit était ailleurs.
Délali : s'il te plaît König, je veux que tu me fasses l'amour.
König : peux-tu arrêter tes conneries et suis ce que je te fasse ?
Délali : König, je ne blague pas. J'ai envie de f***********r avec toi juste pour une première fois.
König : ça jamais !!!! Réveille-toi dans ton rêve ma sœur Délali.
Délali : ok comme tu ne crois pas toujours que je te dise la vérité, laisse-moi te le prouver.
Délali avait commencé à se déshabiller devant König et dans un instant, elle lui avait embrassé par surprise. Malheureusement pour ce pauvre garçon König, la mère de Délali, Marceline aussi, était de retour.
Marceline : quoi !!! Qu'est-ce que je vois là ?
Délali : maman, c'est lui qui m'a forcé.
König : mais Délali, qu'est-ce que tu racontes là ? Tu m'as forcé ou je t'ai forcé ?
Marceline : oh mon Dieu, pourquoi ma fille encore ?
Immédiatement, Marceline avait appelé les polices et elles étaient venues arrêter König.
Comme les pauvres ont toujours tort devant les riches, ce qui faisait que König a été condamné à six mois de prison pour un viol, malgré qu'il ait donné tous les arguments possibles. Les policiers avaient enfermé König et ce pauvre garçon allait encore continuer ses aventures en prison.
Trois jours plus tard et grâce à Azéto, Laurent a été libéré.
À suivre...