Les bons amis

2073 Words
(Trois jours plus tard et grâce à Azéto, Laurent a été libéré.) De l'autre côté, König aussi était dans la cellule et pleurait toujours. Ce qui était bizarre pour lui était qu'il avait vu un garçon qui avait pratiquement le même âge que lui et il décidait d'aller chez ce garçon. König : salut mon frère, est-ce que je peux savoir pourquoi tu es ici ? Du coup, ce garçon avait donné un coup v*****t sur la joue de König et il était tombé par terre. Malgré que le sang coulait sur le visage de König, mais ce garçon s'en foutait de lui. König était toujours par terre et il s'était réveillé une heure de temps après. König : hummm mon frère, peu importe ce que tu ressentes, il faut savoir que chaque situation dans laquelle nous vivons, va passer un jour. Après König était allé s'asseoir dans un coin. Le garçon ne savait pas pourquoi König lui avait dit cela et décidait d'aller chez lui. Garçon : je peux savoir pourquoi tu viens de me parler seul, alors que nous sommes nombreux ici ? König : premièrement, moi c'est König et toi ? Garçon : enchanté König ! Moi c'est Iless. König : enchanté Iless ! Je viens de te parler c'est parce que j'ai remarqué que tu as le même âge que moi. Iless : oui tu n'as pas menti, moi aussi j'ai fait cette remarque. Ils étaient là en discutant et du coup un policier était venu chez eux. Policier : hé toi, viens ici ! C'est quoi ton nom ? König : s'il vous plaît, je réponds au nom de König. Policier : d'accord, suis-moi ! König avait suivi le policier et ils étaient allés dans une chambre vide. Arrivés dans la chambre, le cœur de König battait très fort, car il avait vu une table banc et un bâton dans la chambre vide. Policier : viens te coucher sur cette table ! König : s'il vous plaît monsieur le policier, il faut savoir que Dieu n'aime pas l'injustice. Le policier était très fâché et avait giflé König avec une corde.  Policier : ne parle plus d'injustice ici ! Toi, tu as v***é une fille mineure et tu parles d'injustice encore ? König : qu'est-ce qu'il prouve que j'ai v***é cette fille ? Vous savez quoi, moi je n'ai pas peur de vous, car vous êtes un être humain comme moi. Vous pouvez décider de me faire tout ce que vous voulez, mais moi je m'en fous, car il n'y a qu'une seule vie et un seul mort... Policier : donc, toi tu me prends pour qui ? Avec tes bêtises que tu viennes de faire, je vais augmenter tes coups et tes jours de punition. Maintenant, il faut te coucher sur la table.  König : d'accord, il n'y a pas de soucis, demain il fera beau sur les chemins pour nous les pauvres et innocents aussi. König était allongé sur la table comme une sardine dans sa boîte. Le policier lui avait frappé correctement et à la fin il lui avait dit de rentrer dans sa cellule. König était allé rejoindre son ami Iless et ils discutaient. Iless : mais pourquoi tu as duré comme ça ? Moi, mon premier jour, ce policier m'avait donné cinq coups seulement jusqu'à dix jours. König : il vient de me dire qu'il va augmenter mes coups et mes jours de punition. Iless : mais pourquoi ? König : je lui avais juste dit que Dieu n'aime pas l'injustice. Iless : mais mon frère, tu n'as pas peur de lui ? Il fallait plutôt lui demander pardon au lieu de lui dire ça. De l'autre côté, Gildas avait appelé sa femme et son enfant pour discuter avec eux. Gildas : maintenant, est-ce que vous pouvez me dire ce qui s'était passé dans cette maison ? Antoinette : mais chéri, tu parles de quoi ? Gildas : Laurent, où avais-tu trouvé le poignard ? Antoinette : mais chéri, il faut laisser ton enfant tranquille non. Ce que tu lui demandes, est déjà passé. Gildas : fermes ta sale gueule avant que je m'énerve ! Maintenant, Laurent, il faut me répondre. Laurent : papa, j'avais pris ça chez un ami. Gildas : c'était chez lui que tu avais pris la cigarette aussi ? Laurent : ou....non papa Gildas : Laurent, c'est la dernière fois que je te pose cette question. C'était chez lui que tu avais pris la cigarette ? Laurent : (peur) oui papa Gildas : d'accord, c'est parfait ! Moufi, vas dans ma chambre, j'ai déposé une corde là, apportes la moi. Antoinette : s'il te plaît chéri, ne fait pas du mal à ton enfant. Gildas : pour le moment, je ne sais pas réellement si Laurent est mon enfant ou pas donc arrêtes de me dire mon enfant. Quelques secondes, Moufi avait apporté la corde à son père. Ce dernier avait bien attaché Laurent avec la corde comme un voleur qui attachait une chèvre volée. Laurent était là, en pleurant et en demandant pardon à son père, mais Gildas s'en foutait de lui. Antoinette ne savait pas quoi faire et était allée dans sa chambre vide encore pour bien vérifier si réellement la poudre magique était finie ou pas. Elle avait pris la boîte et bien vérifié, mais c'était toujours vide. Elle savait très bien que c'était elle seule qui pouvait aider son enfant. Quelques minutes après, elle était allée chez son féticheur Azéto. Azéto : mais je dis hein, pourquoi tu aimes à venir ici chaque temps comme ça ? Antoinette : arrêtes de me poser des questions bizarres. Si je viens ici chaque temps, toi tu ne prends pas de l'argent ?  Azéto : tu veux mon aide, ou bien tu vas continuer à chanter tes bêtises dans mes oreilles ? Antoinette : ok je suis désolée. Actuellement dont je te parle, mon mari a attaché mon fils dans une corde à la maison et sans cette poudre, il ne peut pas lui détacher. Azéto : heureusement pour toi, est que j'avais déjà préparé une autre poudre. Le grand féticheur Azéto avait donné une nouvelle poudre magique à Antoinette. Quelques minutes après, Antoinette était arrivée à la maison et sans tarder elle avait utilisé l'astuce.  Antoinette : monsieur Gildas, est-ce que tu peux détacher mon enfant ? Gildas : une fois encore, je suis sincèrement désolé d'avoir attaché Laurent. Gildas avait détaché Laurent, il avait sincèrement demandé pardon à sa femme. Deux semaines plus tard, König et Iless étaient toujours en prison et ils discutaient. Iless : hum ce policier est très méchant hein. À cause de ce que tu lui avais dit qu'il a augmenté tes jours de punition comme ça ? Moi il m'avait puni dix jours seulement. König : ne t'inquiètes pas, malgré que j'ai mal partout, mais ça va aller. Peux-tu me dire pourquoi tu es venu ici ? Iless : c'est une longue histoire... Je viens d'obtenir mon diplôme de baccalauréat et comme je suis orphelin de père et de mère, j'avais décidé de travailler dans le grand marché afin de trouver mon argent de l'inscription au campus. Un jour, j'avais rencontré une belle dame veuve et elle m'avait demandé de travailler chez elle à la maison. J'étais très content ce jour et j'avais accepté sa demande sans hésiter. Cette dame a une seule fille et actuellement elle est en classe de seconde. Parfois, j'aide cette fille à faire ses devoirs de maison jusqu'à un jour, elle m'avait forcé de lui f***********r et j'avais carrément refusé. Lorsque j'avais refusé, je lui avais dit que j'allais dire cela à sa mère. Le soir, lorsque sa maman était de retour, elle m'avait devancé et mentait à sa maman que j'avais tenté de lui v****r. Humm malgré que j'avais donné tous mes arguments possibles mais je suis venu ici. König : ce n'est pas possible, tu me parles d'une dame et sa fille ? Iless : oui, tu leur connais ? König : non je ne leur connais pas. Mais est-ce que tu peux me donner les noms de cette dame et sa fille ? Iless : la dame s'appelle Marceline et son enfant c'est Délali. Maintenant toi aussi, tu peux me narrer ton histoire ? König : hummm moi aussi je suis orphelin, mais j'avais perdu ma maman seulement. Mon papa, m'avait abandonné lorsque j'avais huit au cours moyen, à cause de la meilleure amie de ma maman. La meilleure amie de ma mère avait jeté un sort à mon papa et ce dernier ne faisait qu'obéir les ordres de cette sorcière. À cause de cette femme, ma maman et moi avions tellement souffert jusqu'à ce qu'elle fût morte. Arrivé à ce niveau de l'histoire, König n'arrivait plus à parler et pleurait. Iless aussi était triste en écoutant l'histoire de König. König : (pleur) s'il te plaît, je vais te raconter le reste de mon histoire après. Iless : d'accord pas de soucis ! Mais dis-moi, tu ne vas pas à l'école ? König : moi aussi je viens d'obtenir mon diplôme de baccalauréat cette année et c'est après mon baccalauréat que ma mère était morte. Iless : ce n'est pas facile pour nous les orphelins, mais ça va aller. König : effectivement ça va aller ! Le lendemain matin, comme d'habitude le policier était venu appeler König encore et il lui avait donné des coups. Entre temps, il y avait une policière dans ce commissariat et à chaque fois qu'elle voyait König et Iless, elle ne se sentait pas bien à cause de leurs âges et elle avait décidé de les demander ce qu'ils avaient fait réellement avant d'être condamnés à six mois de prison. Oui, Iless aussi était condamné à six mois de prison.  Policière : les jeunes garçons, venez ici ! Je vais vous demander quelque chose et si vous me dites la vérité, je vais vous aider à sortir dans cette cellule. König : d'accord madame ! C'est vraiment gentil de votre part. Policière : vous pouvez me dire réellement, ce que vous aviez fait ? Iless : moi, une dame m'avait rendu responsable du viol de sa fille, alors que c'était faux. Moi je suis un nouveau bachelier et je ne cherche que l'argent qui pourrait me permettre de continuer mes études universitaires. Je vous jure que je n'avais rien fait à cette fille. König : je ne sais pas si c'est une coïncidence ou pas, mais madame la policière, moi aussi j'avais eu le même problème. Policière : Humm ok j'ai compris, moi aussi je vais faire mon enquête personnelle d'abord. König : d'accord et merci infiniment d'avance ! La policière était partie, König et son ami aussi étaient retournés dans leur cellule.  Iless : mais König, pourquoi tu ne m'avais pas dit que toi aussi tu es ici à cause de l'accusation d'un viol ? König : tu allais faire quoi, si je te l'avais dit ? Iless : rien du tout, mais il fallait me dire ça non. König : je t'avais bien dit que je vais te raconter toute mon histoire après. Iless : Humm ok j'ai compris. König : merci pour ta compréhension ! Tu avais fait quelle série ? Iless : j'ai fait la série A4 et je voulais étudier l'anglais au campus et toi ? König : mais je dis hein, qu'est-ce qu'il se passe ? Ilessy : il y a quoi ? König : moi aussi j'ai fait la même série et je voulais également faire l'anglais à l'université.  Iless : Waouh c'est quelle coïncidence ! Là ça tombe bien. Tu as quel âge ? Moi j'ai 16 ans. König : hummm ça dépasse la coïncidence même, car moi aussi j'ai 16 ans. König et Iless étaient devenus des bons amis inséparables en prison. De l'autre côté, Gildas était devenu un prisonnier à sa femme à cause de cette poudre magique. Si Antoinette disait 1+1=1, Gildas ne pouvait rien dire qu'accepter. Antoinette : chéri, tu as quoi ? Gildas : je ne me sens pas bien ce soir. Antoinette : hahaha, tu ne te sens pas bien, mais il faut savoir que moi je voulais te sentir dans mon organisme. Gildas : s'il te plaît chérie, pardonne-moi au moins cette nuit. Antoinette : je ne veux pas entendre tes conneries. Malgré tout, Gildas avait fait l'amour à sa déesse. À suivre....
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