(Malgré tout, Gildas avait fait l'amour à sa femme.)
Quelques semaines plus tard, König avait fait un rêve en prison.
Victoire : mon enfant König, on a l'habitude de dire qu'après la pluie, c'est le beau temps, donc il faut savoir qu'après tout ce que vous allez traverser, il y aura un bon temps devant vous. Oui je parle de ton ami Iless et toi. Ne vous inquiétez pas, je ferai tout possible pour que cette policière vous fasse sortir d'ici. Mais, il y a aussi une chose qui est très importante, après votre libération, il ne faut pas aller faire du mal à Marceline ou son enfant, car ce sont vos ennemis qui veulent vous anéantir. Toi, tu connais déjà ton ennemie, c'était elle qui t'avait fait venir ici, donc ne cherches jamais à lui combattre, car son féticheur est très puissant, mais si tu oses faire ça, c'est comme si tu creuses ta propre tombe. Après votre libération, il faut s'unir pour continuer vos aventures ensemble.
König : d'accord maman et merci beaucoup ! J'aimerais s...
König voulait demander quelque chose à sa maman, mais malheureusement son ami lui avait appelé pour qu'il se réveille.
Iless : König, lève-toi vite, car ce policier arrive encore.
König : oh mon Dieu !!
Il s'était rapidement levé et le policier était venu chez eux encore.
Policier : toi cet impoli, suis-moi vite !
Iless : s'il vous plaît monsieur le policier, est-ce que je peux savoir pourquoi vous frappez mon ami chaque jour ?
Policier : donc, il est ton ami ? Si c'est le cas, vous deux, suivez-moi !
Ils étaient allés dans la chambre vide encore et le policier avait pris le bâton.
König : s'il vous plaît monsieur le policier, j'aimerais vous poser quelques questions.
Policier : tu poses une question bête, je te casse la gueule.
König : personne sur cette terre n'a jamais posé une question bête, mais c'est plutôt nous qui n'arrivons pas à comprendre la question posée...
König voulait parler encore et du coup, il avait remarqué que le sang saignait dans son nez. Le policier lui avait donné un coup de pied sur son visage. Cette fois-ci, König avait senti une grande douleur.
Policier : maintenant j'attends ta question.
König : oui, oui, oui,... La vérité blesse toujours le cœur.
Policier : mais, est-ce que tu es sûr que ça va ? Mais c'était une grande erreur qu'ils avaient fait de t'amener ici. Normalement, il devrait t'amener dans un hôpital psychiatrique, car ton cerveau ne fonctionne pas bien.
König : hahaha monsieur le policier, détrompez-vous ! Mon cerveau fonctionne très bien vingt-quatre heures sur vingt-quatre heures et sept sur sept jours. Excusez-moi monsieur le policier, Il me semble que c'est plutôt vous qui devrez aller à l'hôpital psychiatrique, car nous sommes au 21e siècle et non dans le temps d'Hitler. Oui, c'était le temps d'Hitler que les soldats maltraitaient les pauvres.
Ce policier était gravement énervé et il avait pris sa corde. Il donnait les coups de corde à König comme un bœuf. Finalement, König était tombé par terre et ses vêtements étaient tachés du sang.
Iless : s'il vous plaît monsieur le policier, il est un être humain comme vous et pourquoi vous lui faites du mal comme ça ? Au moins, il faut avoir pitié de lui non.
Policier : c'est maintenant que tu as vraiment confirmé que vous êtes des amis. Toi viens ici !
Personne ne savait pas si c'était König ou le policier qui devrait aller dans un hôpital psychiatrique, car la manière dont ce policier avait frappé ces deux pauvres garçons, humm seul le grand Dieu qui pouvait lui pardonner. Après avoir donné des bons coups à Iless aussi, il avait soulevé König et disait
Policier : maintenant j'attends ta question. Hahaha, tu croyais que j'allais oublier ? Oh non, je ne suis pas stupide comme ça. Parle-moi vite !
Malgré que König avait tellement mal à s'exprimer, mais il disait
König : humm monsieur le policier, est-ce que vous avez des enfants ?
Policier : je te réponds, je te donne un coup de poing sur ton ventre.
König : pas de soucis, même si c'est deux coups, je suis prêt, mais répondez-moi honnêtement !
Policier : on dirait que tu es courageux hein, humm franchement je te félicite. Ma réponse est oui, j'ai une seule fille et actuellement elle est en classe de terminale. Elle est très intelligente plus que vous deux.
König : personne n'est stupide sur cette terre, tout le monde est intelligent.
Du coup, le policier avait donné un coup sec à König encore et il était retombé. On dirait que le policier et König étaient des vrais ennemis.
Policier : le coup que tu viennes de recevoir, c'est pour ce que tu viennes de me dire. Maintenant lève-toi pour que je te donne l'autre qui est la réponse à ta question.
Iless : non s'il vous plaît, je vais prendre ce coup à sa place.
Policier : vraiment vous êtes des bons amis et moi aussi j'ai envie d'avoir un ami comme vous.
König : non mon frère Iless, laisse-moi même prendre ce coup, car je ne vais pas mourir en le prenant. Mais vous, monsieur le policier, il faut savoir que les méchants ne trouvent pas toujours un bon ami.
Lorsque König avait dit ça, le policier était très énervé plus qu'avant et avait pris la corde dans sa maison gauche. Dans l'autre main, il avait un bâton et s'approchait vers König pour lui tuer. Oui, cette fois-ci, ce policier voulait tuer ce pauvre garçon. Lorsqu'il allait frapper König, une voix fine avait dit derrière lui de laisser ces enfants tranquilles. Il était retourné pour voir qui lui avait parlé et c'était la policière.
Policière : c'est quoi ton problème au juste ? On t'avait dit de punir ces enfants dix jours seulement, mais qu'est-ce qu'il ne va pas chez toi ? Saches que je vais raconter tout au chef.
Policier : s'il te plaît, il ne faut pas aller chez lui et je te promets que je ne vais jamais continuer.
Policière : sors d'ici !
Le policier que König considérait comme le soldat d'Hitler était sorti dans la chambre vide. La policière s'était approchée vers König et Iless.
Policière : je suis sincèrement désolé pour vous et encore une fois, je vous promets que je vais vous faire sortir d'ici dans peu de temps, car je suis sur les démarches.
La policière était partie, König et son ami aussi s'étaient retournés dans leur cellule.
König : mais pourquoi tu risques ta vie à ma place ?
Iless : König, premièrement il faut savoir que moi Iless, je te considère comme mon propre frère. Oui le frère de sang, donc je peux risquer ma vie à ta place. En plus, je n'ai plus peur de ce pauvre policier. Ensemble, on va lui dire la vérité qu'il ignore.
König : franchement, moi je ne sais pas comment te remercier.
De l'autre côté, Antoinette était devenue la patronne dans la maison de Gildas.
Antoinette : chéri, s'il te plaît viens ici on va causer.
Gildas : j'arrive ma mignonne.
Antoinette : non viens t'asseoir sur mes cuisses, on va discuter amoureusement.
Gildas s'était assis sur les cuisses d'Antoinette comme un enfant de deux ans.
Antoinette : chéri, est-ce que tu es au courant que König était allé en prison ?
Gildas : non et je ne veux même pas savoir. Fermons la page de ce pauvre garçon !
Antoinette : waouh, je suis très contente de toi.
Gildas : c'est mon devoir de te rendre heureuse, car tes sourires me rendent très heureux aussi.
Antoinette : d'accord, je t'aime beaucoup.
Gildas : moi je t'aime infiniment...
Deux jours plus tard, ces deux enfants aussi étaient toujours en prison. Heureusement pour eux, depuis ce jour, ce policier ne venait plus chez eux.
König : mon frère, j'aimerais te demander quelque chose avant, mais c'était à cause de ce policier que j'avais carrément oublié.
Iless : il s'agit de quoi ?
König : c'est qui ton ennemi(e) ?
Iless : humm comment as-tu su que j'ai une ennemie ?
König : il faut savoir que ce que Délali t'avait fait, ce n'était pas sa volonté, mais c'était plutôt la volonté de ton ennemie.
Iless : franchement König, tu n'as pas menti. Bon, laisse-moi te raconter le reste de mon histoire. Lorsque j'avais deux ans, ma mère était morte et mon père s'était remarié avec une autre femme. C'est moi l'aîné de mon père et je suis unique à ma mère. Ma marâtre a un garçon et deux filles. Mon papa est un homme d'affaires et par la grâce de Dieu, lui aussi était très riche. Lorsqu'il était malade, il avait dit à son juge que s'il arrivait qu'il ne soit plus dans ce monde, humm
Iless pleurait et n'arrivait plus à parler à son ami.
König : s'il te plaît sois fort et parle-moi mon frère !
Iless : il lui avait donné un cahier dans lequel, il avait partagé ses richesses à chacun d'entre nous qui sommes ses enfants. Il avait écrit dans le cahier que c'est moi qui devais prendre tous ses argents dans les banques. Après la mort de mon père, ma marâtre avait fait une complicité avec le juge et ils avaient changé les choses dans le cahier. Humm cette mauvaise mère m'avait chassé dans la maison de mon propre père. Et en me promenant dans les rues, finalement j'avais rencontré Marceline à Assiganmé.
König : mon frère, ce que moi je vais te dire, est que nous devons remercier au seigneur, malgré que nous souffrons ici. Je ne sais pas si normalement nous devions être jumeau ou pas, car notre histoire de vie est presque la même.
Iless : oui mon frère, tu n'as pas menti. Maintenant, j'espère que tu connais mon ennemie ?
König : oui je la connais très bien.
Iless : après notre libérations, nous allons faire la vengeance à nos ennemies ou comment ?
König : non, non,...mon frère, laissons la vengeance à part et continuons notre aventure comme si de rien n'était.
Iless : d'accord j'ai compris, en plus tu as raison.
Sept jours plus tard et grâce à cette policière, König et Iless s'étaient libérés.
König : hummm madame la policière, vous êtes vraiment un être humain. Vous savez quoi, tout ce que nous faisons sur cette terre aujourd'hui, Dieu nous récompensera demain. Tous les bienfaits que vous avez fait pour nous, moi je ne vais pas vous remercier, car pour le moment je ne sais pas quel mot je vais employer pour vous remercier. Mais sachez que peu importe tout ce qui va se passer, moi König je ne vais jamais vous oublier.
Iless : madame la policière, que Dieu vous bénisse abondamment, richement,... Bref que Dieu vous bénisse dans tous les domaines et vous protège ! Vous n'allez jamais souffrir dans cette planète avant la fin de votre vie.
Policière : Amen ! Merci beaucoup à vous mes enfants pour vos souhaits !
König : jamais, jamais, jamais, jusqu'à l'infini... ne nous remerciez pas ! C'est plutôt nous qui devons vous remercier.
Iless : oui mon frère a raison. Madame, est-ce que je peux vous poser une question ?
Policière : avec plaisir mon enfant.
Iless : merci d'avance ! J'aimerais juste savoir si vous avez des enfants ?
Policière : hahaha, oui j'ai une fille, actuellement elle est en classe de terminale.
Iless : d'accord !
Policière : prenez cet argent pour prendre le taxi avant de rentrer.
König et Iless étaient sortis et prenaient la route. Ils marchaient seulement sans même savoir où ils allaient. Ils étaient arrêtés sous un arbre et discutaient.
König : maintenant, on va où au juste ?
Iless : je ne sais pas hein. Bon selon toi, tu veux qu'on aille où ?
König : on n'a pas d'autre choix que d'aller à Assiganmé.
Iless : oui c'est là-bas seul qu'on puisse reprendre nos vies. Au moins par jour, on peut manger deux fois en travaillant dans le grand marché.
König : oui tu as raison. Mais premièrement, viens m'accompagner, je vais aller prendre mes papiers chez la dame dont je t'avais parlé.
Iless : d'accord, comme ça moi aussi je vais profiter pour voir cette dame.
Ils avaient continué leur chemin pour se rendre chez la dame.
À suivre....