(Ils avaient continué leur chemin pour se rendre chez la dame.)
Ils marchaient sur le chemin comme les jumeaux en discutant. König était devant et Iless le suivait. Lorsqu'ils étaient arrivés dans le quartier de Marceline, Iless était étonné, mais il n'avait rien dit à König. À sa grande surprise, König était arrêté devant le portail de Marceline.
König : tu connais cette maison ?
Iless : hummm König, dis-moi ce que tu me caches !
König : je dis, est-ce que tu connais cette maison ?
Iless : la dame dont je t'avais parlé, c'est ici qu'elle habite avec sa fille.
König : d'accord, allons à l'intérieur !
Ils étaient allés à l'intérieur et heureusement pour eux, Marceline aussi était à la maison. Lorsqu'elle avait posé ses yeux sur König et Iless, elle était très surprise.
Marceline : mais qu'est-ce que vous cherchez ici ? Normalement, vous devriez être en prison non .
Iless : on nous a libérés aujourd'hui.
König : ne sois pas surprise, car nous sommes venus ici en paix !
Marceline : humm s'il vous plaît mes enfants, venez-vous asseoir, car j'ai des choses sérieuses à vous dire. Mais bien avant ça, comment vous avez fait pour vous rencontrer ?
König : on s'était rencontré en prison et par la grâce de Dieu, nous sommes devenus des bons amis.
Marceline : là, merci Seigneur ! Ce que je voulais vous dire, est de vous demander sincèrement toutes mes excuses.
König : pourquoi tu voulais nous demander pardon, madame ?
Marceline : c'est parce que ça fait de cela quelques semaines que mon enfant était venue chez moi, en me disant que tout ce qu'elle avait dit concernant vous, était un mensonge.
Iless : hummm madame, vous voyez maintenant ?
Marceline : (pleur) je sais que vous n'allez jamais me pardonner, mais...
König : s'il te plaît madame, arrêtes de pleurer devant nous. En plus, toi et ta fille, vous ne nous avez rien fait pour nous demander pardon.
Marceline : mais qu'est-ce que tu racontes là ? C'est à cause de nous que vous deux, vous étiez allés en prison non ?
König : non madame, c'est plutôt à cause de nos ennemies.
Marceline : vos ennemies, tu dis ? Mais vous vous connaissiez avant ? Et qui sont ces ennemies ?
König : non, on ne se connaissait pas. À propos de nos ennemies là, c'est confidentiel. Maintenant, si nous sommes ici, c'est juste que moi je voulais récupérer mes papiers.
Marceline : s'il vous plaît je veux que vous restiez chez moi définitivement. Moi-même, je vais vous faire l'inscription au campus l'année prochaine.
Iless : merci beaucoup mais nous ne pouvons plus rester dans cette maison.
König : nous-mêmes, nous voulons faire face à la vie telle qu'elle soit, donc ne t'inquiètes pas pour nous.
Marceline : ok si vous savez très bien que ce que ma fille vous ait faits, n'était pas sa volonté alors il faut accepter tout ce que je vous demande.
König : c'est vrai que ce que Délali nous avait faits, n'était pas sa volonté, mais on ne peut plus vivre ici.
Marceline : si c'est le cas, moi-même je vais vous louer une chambre dans laquelle vous allez vivre. Pardon, il faut accepter cela pour moi.
Iless : humm comme tu insistes, il n'y a pas de problème.
König avait pris ses papiers et immédiatement Marceline avait appelé son démarcheur pour qu'il puisse trouver une chambre à König et Iless le même jour. Heureusement, le démarcheur aussi avait une chambre à sa disposition. Marceline était très contente ce jour. Elle avait acheté les nourritures, les vêtements et autres choses à König et Iless. Grâce à Marceline, ces pauvres garçons vont continuer à dormir sur un matelas.
Deux jours plus tard, Antoinette était au courant que König fût sorti en prison. Elle n'était pas du tout content et avait décidé d'aller chez son professeur de mathématiques Azéto. Une fois arrivée chez Azéto, elle avait trop serré sa mine.
Azéto : tu as quoi encore ?
Antoinette : c'est toujours à cause de ce sorcier que je sois ici.
Azéto : il est en prison non et pourquoi tu ne veux pas lui laisser tranquille ?
Antoinette : non il vient d'être libéré, ça fait de cela quelques jours.
Azéto : à bon !! Là c'est très bien ça ! Et pourquoi toi, tu es ici ?
Antoinette : moi je veux qu'il meure en prison.
Azéto : je ne sais pas pourquoi certaines personnes risquent leurs vies comment ça hein. Toi, les policiers
avaient arrêté ton enfant et grâce à König, ton enfant était sorti. Maintenant pourquoi tu cherches la mort du sauveur de ton fils encore ?
Antoinette : vous allez m'aider ou pas ?
Azéto : non, je ne vais pas t'aider. Mais si tu veux toujours que je t'aide, alors tu vas me faire une chose.
Antoinette : dis-moi tout ce que tu veux.
Azéto : j'ai envie de f***********r avec toi. Si tu es prête, je vais tuer König en même temps.
Antoinette : honnêtement, je suis désolée, car je ne peux pas faire une telle chose avec toi. Malgré que je fasse tout, mais j'aime tellement mon mari et je ne voulais pas lui trahir.
Azéto : hahaha, toi p**e, tu parles de trahison ? En tout cas, il n'y a pas de soucis, mais il faut aussi savoir que je ne peux plus te faire ce travail.
Antoinette : et si je te donne un million ?
Azéto : je n'ai pas besoin de l'argent. La seule chose que moi je veux, est de sentir l'odeur de ce qui est caché entre tes cuisses, mais comme tu ne veux pas, il n'y a pas de problème.
Antoinette était mécontente et était retournée à la maison.
Depuis que Marceline avait loué la chambre à König et Iless, ils ne souffraient plus comme avant.
König : hummm mon frère, selon toi qu'est-ce qu'on doit faire en attendant la prochaine rentrée.
Iless : on avait décidé de continuer notre aventure à Assiganmé, mais actuellement que madame Marceline nous a fait tous ces cadeaux, moi je préfère qu'on cherche à faire une autre chose qui pourrait nous rapporter de l'argent.
König : oui, tu as raison. On dit souvent que la nuit porte conseil, donc nous allons bien réfléchir cette nuit.
Iless : oui mon frère, c'est ça.
La nuit, König avait fait un rêve dans lequel sa maman lui disait le travail qu'ils devraient faire pour gagner vite de l'argent.
Victoire : mon enfant, moi je vous propose le travail de répétition.
König : à bon et pourquoi tu nous proposes de faire ce travail ?
Victoire : vous êtes très intelligents et capables de bien faire la répétition aux enfants.
König : d'accord maman !
Le lendemain matin, ils s'étaient réveillés et après avoir brossés les dents, ils discutaient.
König : tu veux qu'on fasse quel travail ?
Iless : toi-même, tu vois comment les enfants du collège souffrent de la compréhension du cours d'anglais non, donc si nous profitons à faire la répétition du cours d'anglais à certains élèves, j'espère qu'on puisse bien gagner de l'argent.
König : franchement, tu es très intelligent, car ton idée est parfaite.
Iless : donc tu es d'accord avec moi ?
König : effectivement mon frère !
Iless : merci beaucoup pour ta compréhension !
Depuis que König avait rencontré Iless, il ne lui avait jamais dit qu'il voyait sa maman dans le rêve. Le même jour, ils avaient affiché presque dans tout leur quartier et les quartiers voisins qu'ils étaient des répétiteurs.
Deux jours plus tard, le téléphone de König avait sonné et il décrochait l'appel.
Iless : c'était qui ?
König : c'est un monsieur qui voulait qu'on fasse la répétition à ses enfants.
Iless : et pourquoi tu lui parlais du mois prochain ?
König : il m'avait demandé quand est-ce que je vais commencer le travail avec ses enfants et je lui ai dit que le mois prochain. Il dit qu'il a deux garçons qui sont au collège.
Iless : mais pourquoi tu lui as parlé du mois prochain ?
König : désolé si je ne t'avais pas averti. Je lui ai dit ça pour qu'on puisse bien se préparer.
Iless : là tu as raison. J'espère que d'autres personnes aussi vont nous appeler, donc on va profiter pour bien scinder les programmes.
Ils étaient là en discutant et du coup, le téléphone d'Iless aussi s'était mis à sonner.
Iless : un numéro inconnu.
König : il faut décrocher.
Iless : oui allô ! À qui ai-je l'honneur ?
Inconnue : est-ce que c'est vous le répétiteur ?
Iless : oui madame, c'est moi bien-sûr.
Inconnue : venez chez moi tout à l'heure !
Iless : s'il vous plaît madame, vous êtes dans quel quartier ?
Inconnue : oh désolée... Ok je vais t'envoyer mon adresse tout de suite par courrier électronique.
Iless : d'accord madame ! À plus !
König : elle a dit quoi ?
Iless : elle m'a dit de venir chez elle tout à l'heure.
Dans un instant, le téléphone d'Iless avait vibré et c'était l'adresse de la dame qui lui avait appelé.
Iless : viens voir l'adresse !
König : donne-moi ton téléphone, je vais bien voir.
Iless était toujours devant König et il ne comprenait pas pourquoi König regardait toujours l'adresse.
Iless : mon frère, qu'est-ce qu'il ne va pas ?
König : est-ce que cette adresse est correcte ?
Iless : mais pourquoi cette question ? Toi-même, tu vois que la personne vient de m'envoyer ça non.
König : hummm la personne ne t'a pas donné son nom ?
Iless : non plus !
König : c'est l'adresse de la maison de mon père.
Iless : mais c'est une femme qui m'avait parlé hein ?
König : oui c'est la meilleure amie de ma maman dont je t'avais parlé.
Iless : hummm vraiment Dieu est très fort hein. Maintenant, qu'est-ce qu'on va faire ?
König : toi il faut aller chez elle, mais elle ne doit jamais savoir que nous vivons ensemble.
Iless : d'accord pas de soucis !
De l'autre côté, Antoinette aussi avait informé son mari à propos du répétiteur.
Gildas : mais il va prendre son argent par mois ou semaines ?
Antoinette : je ne sais pas pour le moment. Ne t'inquiètes pas, on le saura dans peu de temps.
Gildas : au moins si Laurent a réussi cette année, ça me fera beaucoup de plaisirs.
Antoinette : vraiment hein, car moi-même j'ai tellement honte à sa place. Comment un élève va faire une seule classe trois fois ?
Gildas : hummm c'est vraiment honteux. Mais j'ai remarqué que Moufi travaille bien cette année.
Antoinette : oui c'est vrai.
Ils étaient au salon en discutant et quelques minutes après, Iless aussi était venu.
À suivre...