L'union

1976 Words
(Antoinette avait donné dix coups secs à son enfant.) Antoinette : maintenant, tu peux te lever, mais si jamais tu continues encore, humm tu vas me sentir plus que ça. Laurent : maman, je te promets que je ne vais plus faire ça. Moufi : tu es sûr ? Antoinette : toi aussi, il faut fermer ta bouche au moins. Quelques minutes après, Gildas était de retour et il avait remarqué que Laurent ait pleuré. Gildas : Laurent, pourquoi tu as pleuré ? Moufi : papa, il voulait me... Antoinette : ferme-là ! Est-ce que c'est toi Laurent ? Chéri, Laurent a fait une erreur et je lui ai corrigé seulement. Gildas : d'accord, mais est-ce qu'il est possible que je sache ce qu'il a fait ? Antoinette : il a mangé et il n'a pas lavé les assiettes, c'est pourquoi je lui ai tapé. Gildas : d'accord tu as bien fait et j'espère qu'il ne va plus continuer. Gildas était allé dans la chambre pour se déshabiller. Quelques heures plus tard, Antoinette avait préparé et ils avaient mangé. Quelques jours plus tard, Iless n'arrivait plus à dormir. Iless : mon frère, ces derniers temps j'ai un sérieux problème. König : il s'agit de quoi ? Iless : je n'arrive plus à dormir la nuit. König : qu'est-ce qu'il ne va pas chez toi ? Dis-le-moi très vite pour qu'on puisse aller à l'hôpital. Iless : il n'y a aucun médecin dans ce pays qui peut guérir ma maladie. König : il s'agit de quelle maladie ? Iless : mon frère, je souffre énormément d'une maladie d'amour. König : je n'ai pas compris. Est-ce qu'il y a aussi une maladie qui s'appelle maladie d'amour ? Comment ça se passe ? Iless : König, je n'arrive plus à dormir, c'est parce que je ne fais que penser à Eugénie. Chaque nuit, c'est seulement ses images qui défilent dans mon cerveau. Je ne peux même pas faire une minute sans penser à elle. König : hummm ok je vois, donc l'amour dont les gens nous parlent, c'est comme ça qu'il se manifeste ? Ok courage ça va aller. Iless : mon frère, je dois faire tout possible pour lui avouer mes sentiments d'ici la fin de la semaine, sinon je vais mourir. König : ne t'inquiètes pas, ça va aller. De l'autre côté, Eugénie aussi était allée chez son amie Mathilde et elles discutaient Eugénie : ma copine, depuis la semaine dernière, je n'arrive plus à dormir. Mathilde : tu as quoi ? Eugénie : je ne fais que penser à Iless. Le gars-là a presque pris toute l'espace de ma mémoire. Mathilde : ça me fait très mal lorsque tu me racontes tout ça. Comment une belle fille comme toi, peut tomber amoureuse d'un pauvre garçon ? Eugénie : le vrai amour n'a pas besoin de l'argent. Mathilde : maintenant, qu'est-ce que tu vas faire ? Eugénie : moi aussi je ne sais pas pour le moment. Deux jours plus tard, Iless s'était réveillé dans la bonne humeur et avait décidé de dire à Eugénie ce qu'il ressentait pour elle. Iless : mon frère, aujourd'hui je suis sûr, cent pour cent que je vais avouer mes sentiments à Eugénie. König : d'accord ! Je te souhaite une bonne chance. Ils étaient allés au cours et heureusement après le cours, les pauvres étudiants avaient rencontré les riches étudiantes. Iless : salut les belles filles ! Eugénie : oui comment allez-vous ? König : moi ça ne va pas bien, car j'ai constaté que la maladie de ma chérie Mathilde s'est aggravée. Mathilde : imbécile, que ça soit la première et la dernière fois. König : waouh si tu m'insultes comme ça, le degré de l'amour que j'ai pour toi ne fait qu'augmenter. Mathilde : je ne suis pas ton égard, donc arrête de me dire n'importe quoi. König : si tu sais que tu n'es pas mon égard, alors il faut mourir. Iless : hahaha s'il te plaît König, tu vas trop loin. Eugénie : s'il vous plaît, ne vous disputez pas ! Mathilde : Eugénie, moi je m'en vais. Mathilde était partie et lorsque Eugénie aussi voulait la suivre, Iless avait saisi son bras. Iless : s'il te plaît Eugénie, il faut attendre. Est-ce que je peux avoir ton numéro de téléphone. Eugénie : pas de soucis Eugénie avait donné son numéro à Iless et elle était allée rejoindre Mathilde. Mathilde : qu'est-ce qu'il te dit et que tu aies duré chez lui comme ça ? Eugénie : il m'a demandé mon numéro de téléphone. J'espère que lui aussi commence à ressentir quelque chose pour moi. Mathilde : dans tous les cas, ce ne sont pas mes oignons donc allez faire tout ce que vous voulez, moi je m'en fous. König et Iless aussi discutaient de l'autre côté. König : hahaha toi, tu es trop peureux. Toi qui faisais la bouche ce matin en disant que tu vas cracher le morceau à Eugénie, je ne savais pas que c'est à cause d'un simple numéro que tu faisais ça. Iless : hummm mon frère, pourquoi parfois tu me parles comme si tu es le doyen dans le domaine ? On dirait que toi, tu connais déjà beaucoup de choses dans les relations amoureuses hein. König : je te conseille de faire vite avant qu'une autre personne te devance. Iless : ne t'inquiètes pas, je ferai ma possibilité dans peu de temps. Mais König j'aimerais savoir si tout ce que tu viennes de dire à Mathilde, est une chose sérieuse ou c'est de la blague. König : moi je ne fais que la taquiner. Je me sens très bien si elle fait ses bêtises devant moi. Iless : hummm, moi je ne sais même pas pourquoi tu te comportes ainsi parfois. Arrivés à la maison, Iless avait écrit un message à Eugénie. Quelques secondes après, cette dernière aussi avait vite répondu. Ils continuaient la discussion jusqu'à ce qu'ils s'endorment. Le lendemain matin Iless s'était réveillé très tôt et écrivait avec Eugénie encore. König aussi s'était réveillé et constatait que son second ne dormait pas. König : tu as pris toute ta nuit pour écrire des messages à Eugénie ou comment ? Iless : hahaha non, moi aussi je viens de me réveiller comme ça. König : ok mais il serait bon de profiter pour lui donner un rendez-vous ce soir dans un bar. Iless : oui c'est ce que je suis en train de lui dire depuis hier nuit, mais elle dit qu'elle sera occupée ce soir. König : c'est toujours comme ça les filles sont. Donc toi, il faut continuer toujours à lui forcer et elle va accepter. Iless : et si elle accepte, je vais l'amener dans quel bar ? König : le bar qui est juste à côté de nous non. Iless : tu parles de la flamme d'amour ? König : oui effectivement ! Sinon ce bar anime trop. En plus si elle-même a vu le nom, son idée va directement aller dans ce sens. Iless : dans quel sens ? König : reste là en me questionnant toujours. À midi, Eugénie avait accepté d'être venue rejoindre Iless dans le bar. Quelques minutes après, elle avait décidé d'aller chez son amie avant le soir. Mathilde : sois la bienvenue ma chérie ! Pourquoi tu es dans la bonne humeur comme ça ? Eugénie : c'est parce que Iless m'a donné un rendez-vous ce soir. Mathilde : donc c'est déjà arrivé à ce niveau ? Eugénie : ne continue plus avec tes bêtises, s'il te plaît. Le soir, Eugénie était allée rejoindre Iless dans le bar, la flamme d'amour. Ils avaient commandé la nourriture et la boisson. Eugénie : est-ce que je peux savoir pourquoi tu m'as dit de venir ici ? Iless : Eugénie, on s'était rencontré ça fait déjà quelques mois et depuis ce jour, je n'arrive plus à retirer tes images dans ma tête. Je t'aime est un mot court que beaucoup de personnes ont prononcé sans amour. J'aimerais inventer un nouveau mot pour te prouver combien de fois mon cœur bat pour toi seule, mais malheureusement je n'ai pas toujours trouvé ce mot. Je pourrais aussi te dire que tu es la femme de ma vie, mais ça aussi, on l'a souvent dit. J'ai longtemps cherché ce qui pourrait remplacer ces doux mots exprimés, mais comme je n'ai rien trouvé, je vais simplement te répéter la même chose. Eugénie, mon cœur est rempli d'amour pour toi. Aucun mot n'est assez fort pour t'exprimer les sentiments que j'ai pour toi, car ce que je ressens est beaucoup plus fort que l'amour. Eugénie, je t'aime fort et je veux que tu sois ma petite amie. Eugénie : humm Iless, je te comprends très bien, mais je suis désolée, car je ne peux pas te répondre maintenant. Iless : mais pourquoi ? S'il te plaît moi je ne peux plus retourner à la maison sans que tu ne me donnes aucune réponse. Eugénie : s'il te plaît, je dois aller réfléchir sur ça d'abord pardon. Iless avait énormément forcé Eugénie, mais cette dernière avait refusé toujours jusqu'à ce qu'ils se fussent séparés. Eugénie était passée chez son amie avant d'aller à la maison. Mathilde : mon amie, comment la soirée a été passée ? Eugénie : très bien, mais j'ai fait une grande erreur. Mathilde : il s'agit de quoi ? Eugénie : il m'a avoué ses sentiments, mais je n'ai pas pu lui répondre, malgré que moi aussi je l'aime sincèrement. Mathilde : tu vois comment tu es bête ? Donc c'est ça, tu dis une grande erreur ? Tu ne sais pas que ce que tu as fait est bon ? Eugénie : mais j'imagine la manière dont il va faire cette nuit, car il m'a dit qu'il n'arrivait plus à dormir. Mathilde : ne t'inquiètes pas, moi je veux qu'il souffre. Eugénie : pourquoi tu dis ça ? Mathilde : si on souffre avant de trouver quelque chose, on prend soin d'elle. Eugénie : oui tu as raison. Ok merci beaucoup pour ton conseil, à demain ! Eugénie était allée à la maison. De l'autre côté, Iless aussi était arrivé à la maison. König : comment ta soirée a été passée ? Iless : passable ! König : ok je suis à l'écoute. Iless : je lui ai tout dit, mais elle m'a dit qu'elle doive aller réfléchir d'abord. König : ok je vois, elle a raison, car aucune fille n'a jamais accepté la première fois qu'on lui a draguée. Iless : mais pourquoi elles n'acceptent pas ? König : si elles acceptent juste pour la première fois et supposons qu'il y a une dispute entre eux après, souvent les hommes les disent qu'elles sont des putes. Bon c'est un peu ça selon moi. Iless : je dis hein, toi tu trouves tout ça là où ? König : hahaha mon frère, allons manger ! Depuis qu'Iless avait avoué ses sentiments à Eugénie, cette dernière ne lui écrivait plus des messages. Iless lui écrivait des messages chaque jour, mais elle ne répondait pas jusqu'à une semaine après qu'elle avait écrit à Iless qu'elle souhaiterait lui parler. Iless était très content, car il savait très bien qu'Eugénie allait lui donner une réponse. Iless : est-ce que je peux savoir pourquoi tu m'as invité ici ? Eugénie : je n'arrive plus à fermer mes yeux si je me rappelle à ce que tu m'avais dit et c'est pourquoi je t'ai invité ici pour te donner une réponse. Iless : ok je suis impatient d'entendre la réponse. Eugénie : je ne vais plus aller loin. Ma réponse est oui. Oui Iless, j'accepte d'être ta petite amie. Iless : vraiment !!! Iless était très content et avait donné un bisou sur la joue d'Eugénie. À suivre...
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