(Iless était très content et avait donné un bisou sur la joue d'Eugénie.)
Iless : la chose la plus importante pour moi dans tout ça, est la manière dont je vais bien dormir cette nuit. Oui cette nuit, je pourrai dormir paisiblement comme si je serais au paradis.
Eugénie : vous les garçons, c'est comme ça vous êtes.
Iless : nous sommes comment ?
Eugénie : est-ce que tu as une fois dormir au paradis ?
Iless : hahaha comme vous les filles, vous aimez trop les compliments, c'est pour cela nous aussi nous sommes forts dans ça.
Ils avaient fait quelques minutes ensemble et après ils se séparaient. Iless était très content avant d'arriver à la maison.
König : on dirait que mon boss a accompli sa mission.
Iless : effectivement, tu as bien deviné. Mon frère, sans te mentir, je suis très content ce soir.
König : d'accord je vous souhaite tout le bonheur.
Iless : merci ! Mais si toi aussi tu profites pour prendre Mathilde en même temps, ce serait bon hein.
König : est-ce que Mathilde, est un objet à prendre ?
Iless : comme toi tu ne manques jamais d'arguments, je suis désolé...
König : sinon actuellement, moi aussi j'ai envie de la voir. Rien ne me plaît chez elle que la manière dont elle se fâche.
Iless : et c'est la raison pour laquelle tu la taquines chaque jour ?
König : exactement, c'est ça !
Iless : hahaha, toi tu es trop méchant.
De l'autre côté, Eugénie avait passé chez Mathilde pour lui raconter tout avant de rentrer.
Mathilde : j'espère qu'actuellement vous êtes unis non.
Eugénie : exactement ! Mais si toi aussi tu profites en même temps pour König, ce serait très super hein.
Mathilde : hahaha mais pourquoi tu aimes à dire de n'importe quoi. Moi qui suis ici, sortis avec un pauvre étudiant alors que les riches courent dernière moi ?
Eugénie : toi tu penses que les riches savent ce qu'on appelle le vrai amour ? Eux, ils ont de l'argent, donc s'ils veulent, ils peuvent toutefois se coucher avec deux ou trois filles par semaine, mais les pauvres, s'ils trouvent une seule, ils prennent soin d'elle comme un or.
Mathilde : arrêtes de me dire tout ça et saches que je ne peux jamais sortir avec ce pauvre.
Elles avaient passé quelques moments ensemble et après Eugénie était partie.
Quelques mois plus tard, les étudiants avaient fait leur examen. König et Iless avaient validé toutes leurs unités d'enseignements et ils passaient en deuxième année. De l'autre côté, Eugénie et Mathilde aussi avaient validé toutes leurs unités d'enseignements.
Pendant les vacances, Iless et Eugénie se rencontraient deux ou trois fois par semaine. Mais quant à König, il restait seul à la maison et de plus en plus il s'ennuyait. En plus, il avait gravement envie de voir Mathilde, mais il ne connaissait pas là où elle habitait et il avait demandé à Iless, s'il connaissait la maison de Mathilde.
Iless : mon frère, moi je ne connais même pas encore la maison d'Eugénie donc c'est impossible pour moi de connaître celle de Mathilde.
König : ok j'ai compris, mais sans te mentir j'ai tellement envie de voir le visage de Mathilde.
Iless : hahaha on dirait que monsieur König commence à ressentir quelque chose à cette fille hein.
König : arrêtes tes allusions ! Je dis bien, j'ai envie de voir la personne et non je commence à ressentir quelque chose pour elle.
Iless : ok j'ai compris, mais il faut savoir que moi j'ai déjà franchi cette étape, donc je sais très bien la manière...
König : s'il te plaît mon frère, tu vas très loin.
De l'autre côté, Mathilde aussi se sentait seule à la maison. À chaque fois qu'Eugénie passait chez elle avant d'aller rencontrer Iless, elle s'ennuyait et finalement elle avait décidé d'accepter la demande de Martin. Elle avait pris son téléphone et appelait Martin. Elle lui disait qu'elle souhaiterait le voir dans la soirée. Martin aussi était très content lorsque Mathilde lui avait dit cela.
Martin était également un étudiant à l'université de Lomé et faisait la cour à Mathilde depuis quelques mois, mais cette dernière refusait toujours. Il étudiait la médecine et était en troisième année. Ses parents étaient des riches et ce qui faisait que ce dernier avait une voiture.
Le soir, Martin avait pris sa voiture et était allé chez Mathilde.
Mathilde : sois le bienvenu !
Martin : merci beaucoup Mathilde ! Si tu sais à quel point je suis très content ce soir, vraiment je ne sais même pas comment te le dire.
Mathilde : ok moi-même j'ai remarqué ça. Bon tu peux me dire, depuis combien de mois tu commençais à courir derrière moi ?
Martin : oui ça fait déjà six mois.
Mathilde : très bien, ça prouve que je compte réellement pour toi. Maintenant, il faut savoir que je suis prête à être ta copine. Ne penses pas que tu es la seule personne qui m'avait fait la cour. Plusieurs personnes m'avaient fait la cour, mais j'avais refusé et si j'ai accepté d'être avec toi, c'est parce que je t'aime beaucoup. S'il te plaît Martin, promets-moi que tu ne vas jamais me trahir.
Martin : comment une personne intelligente peut laisser tomber une pierre précieuse à cause d'un simple caillou ? Mathilde, je suis très intelligent et je ne peux jamais t'abandonner.
Mathilde : merci beaucoup mon amour Martin.
Martin avait fait quelques minutes chez sa bien-aimée et après il était parti. Mathilde avait immédiatement appelé son amie Eugénie et lui disait tout. Eugénie n'était pas contente de ce que son amie lui avait dit et quelques minutes après, elle-même était venue chez Mathilde.
Mathilde : je viens juste de t'appeler, mais pourquoi tu ne m'as pas informé que tu seras là.
Eugénie : est-ce que tu peux me dire encore une fois ce que tu viennes de me dire ?
Mathilde : je te disais que ce soir, j'ai accepté d'être la copine de Martin.
Eugénie : hummmm Mathilde, tu es ma meilleure amie et je ne peux jamais te dire de faire un mauvais choix, donc il faut savoir que moi je ne suis pas d'accord de ta relation avec ce garçon.
Mathilde : pourquoi tu dis ça ? En tout cas, moi je l'aime et lui aussi m'aime avec tout son cœur.
Eugénie : détrompe-toi Mathilde ! Qui t'a dit que ce bandit t'aime avec tout son cœur ?
Mathilde : il ne faut plus appeler mon amour, bandit devant moi... S'il te plaît, si tu veux toujours garder notre amitié, alors il faut accepter tout ce que je te dise.
Eugénie : je peux accepter tout, mais la manière dont tu as accepté la demande de ce bandit ne m'a pas plu.
Mathilde : combien de fois je vais te dire de ne plus appeler mon futur époux, bandit ?
Eugénie : je suis désolée, mais il faut enlever ça dans ta tête.
Mathilde : quoi ?
Eugénie : futur époux, car ce ban....eh, car Martin ne sera jamais ton mari.
Mathilde : s'il te plaît laisse-moi réjouir ma vie avec la personne que j'aime avec toute mon âme.
Eugénie : humm tu me fais trop rire. Toi tu l'aimes avec toute ton âme et lui t'aime avec tout son cœur. Ok c'est très bien et félicitations à vous les amoureux.
Eugénie était allée à la maison et la première des choses qu'elle avait fait, c'était d'envoyer un message à Iless. Ce dernier aussi était avec son second König et lorsqu'il avait reçu le message, il avait un peu souri. Si König voyait Iless en train d'écrire le message à Eugénie, il ne faisait que penser à Mathilde.
Un mois plus tard et dans une semaine après, l'année académique universitaires allait recommencer. Durant ce mois, König ne faisait que penser à Mathilde. Parfois il n'arrivait plus à bien dormir.
König : mon frère, je voulais te demander quelque chose.
Iless : d'accord, il n'y a pas de soucis.
König : ok merci ! Est-ce que tu peux me dire comment on tombe amoureux d'une fille ?
Iless : toi qui connais tout ça là déjà, tu me demandes encore ?
König : s'il te plaît je suis très sérieux, donc il faut me répondre.
Iless : bon, dès le début de la relation, tu ne peux même pas faire juste trente secondes sans penser à la fille. En plus, si tu fermes tes yeux, tu ne verras que les images de la fille. Il y a d'autres choses, mais ce sont les essentiels que je vienne de te dire.
König : hummm merci beaucoup mon frère !
Iless : je peux savoir pourquoi tu m'as demandé ça ?
König : Iless, je suis tombé sous le charme de Mathilde. Ces derniers temps, je ne faisais que penser à elle. Parfois tu croyais que je dormais, mais c'était plutôt le contraire.
Iless : ok je vois, mais il y aura un petit problème.
König : c'est quoi ce problème ?
Iless : Eugénie m'avait dit que Mathilde a un petit ami.
König : c'est où le problème dans tout ça ?
Iless : comment elle peut aimer deux personnes à la fois ? En plus, ta relation avec Mathilde sera très compliquée, car toi-même tu sais qu'elle te détestait depuis.
König : ne t'inquiètes pas, mais à propos de son petit ami, il n'y a aucun problème là-bas, car son petit ami n'est pas encore son mari.
Une semaine après, les étudiants avaient repris leurs cours. Le même jour, König avait rencontré Mathilde et il voulait lui parler.
König : s'il te plaît Mathilde, peux-tu m'accorder juste deux minutes ?
Mathilde : moi je n'ai pas le temps à perdre devant les pauvres étudiants comme toi.
König : s'il te plaît Mathilde, juste deux minutes.
Mathilde : mais c'est quoi ton problème ? Je dis bien non et c'est non. Ou bien tu veux que je te parle quelle langue ? Ah, j'ai oublié que tu es dans le département d'anglais. I say that I don't have the time to lose in front of poor students like you.
Iless : donc tu es forte en anglais aussi comme ça ?
Mathilde : vous croyez que quoi ?
Eugénie : s'il te plaît Mathilde, il faut écouter ce que König voulait te dire non.
Mathilde : moi je m'en vais.
Mathilde était partie et König avait sorti une enveloppe.
König : s'il te plaît Eugénie, il faut donner cette enveloppe à Mathilde.
Eugénie avait pris l'enveloppe et était partie. Une fois qu'elle était arrivée chez son amie, elle lui avait donné l'enveloppe.
Le lendemain matin, Mathilde était venue rester dans le même amphithéâtre que König et Iless. C'était un peu bizarre pour ces deux derniers, mais ils n'avaient rien dit. Après le cours, lorsque l'enseignant était sorti dans l'amphithéâtre, les étudiants aussi voulaient sortir, mais Mathilde avait demandé pardon aux étudiants d'attendre un peu et elle disait qu'elle avait une information pour eux. Au même moment, Eugénie aussi était venue et elle était allée rejoindre König et Iless.
Eugénie : mais qu'est-ce que Mathilde fait devant là ?
König : elle dit qu'elle a une information à nous donner.
Iless : mais König, elle fait sortir une enveloppe hein.
Mathilde avait fait sortir l'enveloppe que son amie lui avait donnée et lisait
Mathilde : *bonjour mon amour Mathilde ! Le matin, je ne mange pas, car je pense à toi. À midi, je ne mange pas, car je pense à toi. Et la nuit, je ne dors pas, car je pense à toi toujours. Dans mon cœur, je te garde. Dans mes yeux, je te protège et dans mon esprit, je pense à toi. S'il te plaît Mathilde, je t'aime sincèrement et je veux passer le reste de ma vie à côté de toi. Ton amour König.* Mes chers étudiants et étudiantes, c'est ça l'information que je voulais vous donner. Maintenant j'ai une question à vous poser.
Du coup, un étudiant s'était levé et disait
Étudiant : mais König, tu ne sais pas que nous sommes au 21e siècle ? Actuellement, on n'écrit plus une lettre à une fille, mais on lui parle face à face. Ensuite, il faut savoir qu'ici c'est la ville, donc il faut arrêter ces comportements villageois. Tu sais à quel point tu as diminué nous les mecs devant ces meufs ? C'est à cause de l'odeur de ta bouche que tu ne voulais pas parler à cette meuf ?
Lorsqu'il avait dit cela, toute la classe se mettait à rire. König avait baisé sa tête et commençait à jaillir les gouttes de larme. En ce moment, Mathilde ne faisait que rire.
König avait tellement honte devant ses camarades et était parti.
À suivre...