(Le lendemain matin, König s'était réveillé et constatait que son second dormait toujours et il lui avait donné un coup sur les fesses.)
Lorsque König avait donné le coup à Iless, ce dernier s'était réveillé très vite.
König : mais tu ne sais pas que le soleil s'est levé depuis ?
Iless : oh mais il fallait me donner un peu de temps non.
König : toi, tu dors depuis hier jusqu'à ce matin, ça ne te suffit pas ?
Iless : non mon frère, ce n'est pas ça le problème.
König : tu parles de quel problème ? Ou bien tu as fait un rêve ?
Iless : on dirait que tu es un sorcier hein. Évidemment, j'ai fait un joli rêve, mais malheureusement tu m'as appelé lorsque je voulais embrasser cette fille.
König : tu veux embrasser Eugénie ou son amie la sourde muette ?
Iless : oh toi aussi, je parle bel et bien de mon futur épouse Eugénie et non la tienne.
König : ça jamais, moi je ne peux jamais me marier avec une sourde muette.
Iless : s'il te plaît, arrêtes de dire ça, car elle n'est pas une soude muette.
König : est-ce que tu l'a une fois vu parler ? En tout cas, elle est sourde muette ou pas, moi König je ne peux jamais me marier avec cette fille. Donc si je comprends bien, tu commences à tomber amoureux de cette fille ?
Iless : tu es mon propre frère, donc je suis obligé de te dire la vérité. Honnêtement, oui je commence à tomber sous le charme de cette fille, petit à petit.
König : ok c'est bien, mais n'oublies pas que nous sommes pauvres. En plus, seul l'étude qui peut nous faire sortir dans cette pauvreté, donc il ne faut pas te concentrer sur deux choses à la fois.
Iless : effectivement mon frère, tu as tout dit et je te promets que je vais bien me concentrer sur l'étude.
König : merci pour ta compréhension !
Quelques jours plus tard, Mathilde et Eugénie aussi étaient encore allées au cours. Après le cours, elles s'étaient assises dans une salle pour apprendre. Comme les filles n'aimaient pas à apprendre sans faire des allusions, ce qui faisait que ces dernières aussi apprenaient, mais en faisant aussi leur palabre.
Eugénie : ma copine, ça fait quelques jours que je n'ai plus vus mes chers amis König et Iless, donc je veux qu'on se balade un peu.
Mathilde : il faut enlever ça dans ton cerveau. À cause de ces pauvres-là que toi, tu ne veux plus apprendre tes cours ? Il faut savoir que moi je ne vais nulle part.
Eugénie : mais pourquoi tu es devenue comme ça ?
Mathilde : je suis devenue comment ?
Eugénie : tu ne sais pas que tu es devenue très égoïste depuis qu'on avait rencontré König et Iless ?
Mathilde : oui je suis égoïste. Maintenant on peut terminer le travail avant de partir ?
Eugénie : ok pas de soucis, apporte-moi cette épreuve.
Elles avaient continué à apprendre jusqu'à ce qu'elles aient fini. Après avoir fini, elles étaient allées à la maison.
Dans la soirée du même jour, König et Iless étaient allés chez Marceline.
Délali : soyez les bienvenus mes frères !
K&I : merci beaucoup petite sœur !
Délali : je connais déjà ce que vous buvez donc ce n'est plus la peine de vous demander ça encore.
Iless : hé toi, attends ! Moi je me suis changé donc j'ai changé ma boisson aussi.
Délali : à bon ! Hahaha vos pagailles là, vont me tuer un jour. Est-ce que je peux savoir depuis quand tu t'es changé ?
König : il commence à faire la cour à une fille, donc c'est la fille qui lui a changé.
Iless : toi ferme-là avant que mes nerfs ne se soulèvent contre toi. Est-ce qu'on t'a demandé quelques choses ?
Délali : ok maintenant dis-moi depuis quand tu as changé ta boisson.
Iless : ooooh laissez-moi tranquille non, c'est quoi vos problèmes ? Toi Délali, vas m'apporter la bière allemande et arrête de me poser des questions.
Délali : oh lalala, je suis désolée, car il n'y a que les sucreries dans le frigo.
Iless : humm je ne voulais plus boire la sucrerie, mais apporte-moi ça, je vais voir.
König était tu et ne disait rien. Il ne faisait que regarder Iless. Délali était allée dans la cuisine et leur apportait les sucreries. Ils étaient trois au salon en buvant et en discutant. Iless était la première personne qui avait vidé la boisson et demandait encore la deuxième.
König : mon frère, tu vois comment tu es méchant ? Ou bien c'est la sorcellerie qui te gêne ? Délali, ça suffit pour lui donc vient t'asseoir ici.
Iless : toi tu parles comme si je n'ai pas mes deux pieds. À cause de ce que tu viennes de me dire, tu ne vas pas manger ce soir à la maison.
Délali : grand frère, je suis désolée pour le petit frère.
Iless : ton petit là, n'écoute plus, mais s'il veut continuer, je vais lui stopper à faire certaines choses.
Délali : ne t'inquiètes pas, il ne va plus continuer. Petit frère, tu as bien entendu ?
König : oui mes grands
Ils éclataient de rire. Ils étaient au salon en riant toujours jusqu'à ce que Marceline était de retour.
Marceline : c'est la fête ou quoi ? Sinon je me sens très bien en vous regardant ensemble comme ça.
Deux semaines plus tard, Antoinette était allée chez son féticheur encore.
Azéto : qui t'a dit de venir ici ?
Antoinette : je suis venue avec tes deux millions.
Azéto : imbécile, c'est ça la question que je t'ai posé ? Je dis bien qui t'a dit de venir ici ? Moi je t'avais dit de partir et revenir ici après. Ça n'a pas encore fait un mois et tu es venue encore ?
Antoinette avait commencé à pleurer, car elle ne comprenait plus le comportement de son féticheur préféré.
Antoinette : (pleur) s'il te plaît, dis-moi ce que je t'avais fait et tu me traites ainsi.
Azéto : comment je te traite ? Tu avais refusé de te coucher avec moi non, c'est ça le problème.
Antoinette : s'il te plaît ait pitié pour moi !
Azéto : d'accord, donne-moi les deux millions.
Le féticheur avait pris les deux millions et avait dit à Antoinette d'aller à la maison et de revenir le jour suivant. Antoinette était partie et le féticheur restait seul dans son lieu de travail.
Azéto : vraiment je ne sais pas ce que je vais faire à cette femme encore hein. Je risque de s'aggraver les choses si je voulais tuer cet enfant. Il a une puissance que moi je ne sais pas là où il a trouvé ça. Humm la seule chose que je dois faire à Antoinette, c'est de lui mentir. Comme elle aussi ne veut pas écouter, là ce n'est plus mon problème.
De l'autre côté, les pauvres étudiants marchaient sur la route et du coup, ils avaient rencontré les riches étudiantes.
Eugénie : vous êtes là quand même ?
Iless : oui les princesses !
König : comment allez-vous ?
Eugénie : on va super bien et vous ?
König : bien aussi, mais Mathilde pourquoi toi tu ne parles jamais ? Ou bien tu es sourde muette ?
Mathilde : tu m'insultes ou comment ?
König : merci seigneur pour ce miracle ! Moi-même je ne savais pas que j'ai le don de guérison. Tu vois comment tu t'es guérie à travers ma parole ?
Mathilde : s'il te plaît, toi pauvre étudiant, laisse-moi tranquille.
König : oh madame la riche, je suis désolé, mais est-ce que je t'ai attrapé ?
Mathilde : Eugénie, allons-y ! Je ne sais même pas ce qu'on fait devant ces pauvres étudiants.
König : on dirait que madame est très égoïste hein. Mais moi personnellement, si je suis à ta place, je vais avoir honte de parler.
Lorsque König avait dit cela, Mathilde était très gênée, car elle ne savait pas ce que König voulait dire par là.
Mathilde : pourquoi tu auras honte à ma place ?
König : ça ne te dit rien que tu étudies avec les pauvres ? Chaque jour, tu parles de notre pauvreté, mais tu as oublié que nous tous, nous sommes au même niveau ? S'il te plaît, arrêtes tes égoïsmes, si tu veux bien avoir ta licence dans trois ans.
Iless : hahaha mon frère, tu es trop fort avec tes arguments. Mathilde, c'est vrai que tu es très égoïste, donc c'est à toi de te changer.
Mathilde : s'il te plaît Eugénie, allons-y !
Eugénie : au revoir mes bien-aimés!
Elles étaient parties et discutaient.
Eugénie : tu vois ce que je te disais non
Mathilde : c'est toi qui as causé tout ça. Mais moi Mathilde, je vais montrer à König que je suis une fille exceptionnelle.
Eugénie : si tu sais que tu es une fille exceptionnelle, alors arrêtes de te compter ainsi.
König et Iless étaient partis et arrivés à la maison, ils discutaient à propos de Mathilde.
Iless : moi j'ai tellement honte lorsque tu parlais à Mathilde aujourd'hui hein.
König : hahaha, c'est ce qu'on devrait faire aux filles qui se croient toujours supérieures à nous les garçons.
Iless : oui c'est évidemment !
Le lendemain matin, Antoinette s'était réveillée très tôt et était dans la bonne humeur, car selon elle, le féticheur allait lui trouver une solution. Elle avait fait le ménage, ensuite elle était allée chez son féticheur puissant.
Antoinette : aujourd'hui, je suis sûre que c'est mon dernier jour de venir ici.
Azéto : jusqu'à présent, moi je n'ai pas encore trouvé aucune solution pour débarrasser la vie de cet enfant.
Antoinette : mais pourquoi, le travail là est très facile pour toi non ?
Azéto : c'est très facile, mais je t'avais plusieurs fois dit que ce petit a une grande puissance.
Antoinette : humm maintenant on fait quoi alors ?
Azéto : il n'y a qu'une seule chose à faire.
Antoinette : ok il s'agit de quoi ?
Azéto : je vais changer son avenir. Je vois qu'il sera un grand riche, donc je vais changer ça.
Antoinette : oui moi-même je le savais depuis que tu es capable de faire tout. Merci beaucoup pour cette idée, car c'est une bonne pour moi.
Antoinette avait fait quelques minutes chez le féticheur et elle lui avait faussé la compagnie. Azéto était très content et disait
Azéto : je viens de lui mentir, mais elle ne se rend compte. Vraiment cette femme est très bête jusqu'à ce que le mot bête même soit étonné. Hahaha, qu'est-ce que je vais faire avec ces deux millions ? En tout cas, je dois garder ça jalousement. Si elle ose venir ici un jour pour me demander cet argent, hummm le jour-là sera son dernier jour sur cette belle vie.
Antoinette était allée à la maison et à sa grande surprise, elle avait vu son fils Laurent qui forçait sa sœur Moufi à lui f***********r.
Antoinette : hé Laurent, arrêtes ça tout de suite et viens t'agenouiller ici. Donc, c'est vrai que tu avais décidé de v****r cette fille le jour-là ? Depuis ce jour, moi je ne croyais pas toujours à cela, mais aujourd'hui, j'ai eu la confirmation. Moufi, va me chercher un bâton.
Laurent s'était mis en genou devant sa maman et Moufi était sortie pour chercher le bâton. Quelques minutes après, elle avait apporté un gros bâton à sa maman.
Antoinette : c'est quel bâton ça ? Ton frère est un être humain et non un animal et pourquoi tu m'as apporté ce bâton ?
Moufi : je t'ai apporté ce bâton, c'est parce que Laurent se comporte comme un animal.
Laurent : maman pardon, je te promets que je ne vais jamais faire ça.
Moufi : maman, si tu ne lui donnes pas des bons coups, il va continuer encore. Même s'il ne continue plus avec moi, il peut faire ça ailleurs et il va encore aller en prison.
Antoinette : oui ma chérie, tu as raison.
Antoinette avait donné dix coups secs à son enfant.
À suivre...