(König avait tellement honte devant ses camarades et était parti.)
König était sorti dans l'amphi et Mathilde ne faisait que rire. Iless et Eugénie étaient toujours plantés en regardant Mathilde et leurs camarades sans rien dire. Quelques secondes après, Eugénie était allée chez son amie et Iless aussi était sorti dans la salle pour aller chez König. Une fois que Eugénie arrivait chez son amie, elle avait pris l'enveloppe dans sa main par la force.
Eugénie : mais qu'est-ce qu'il ne va pas chez toi ?
Mathilde : les gens nous regardent ici, donc allons discuter à l'extérieur.
Eugénie : non, non, c'est ici que tu nous as donnés ce que toi-même tu appelles information, donc on va discuter ici et les gens vont nous regarder encore.
Mathilde était sortie dans l'amphithéâtre et Eugénie la suivait.
Eugénie : mais tu vas où et tu te presses comme ça ?
Mathilde : la manière dont les gens nous regardent te plaire ?
Eugénie : toutes les bêtises que tu viennes de raconter devant toutes ces personnes, tu ne savais pas que les gens te regardaient et c'est maintenant que tu ne veux pas qu'ils te regardent encore ?
Mathilde : tu voulais me dire quoi au juste ?
Eugénie : Mathilde, comment tu peux être cruelle jusqu'à ce point ? Il t'avait écrit cette lettre, si ça te plaît ou pas, c'est ton problème, mais pourquoi tu as lu ça devant tous ces étudiants ?
Mathilde : il faut dire à ton ami König que ce n'est que le début.
Eugénie : si jamais, tu fais ça encore, tu risques de gâter notre amitié.
Mathilde : si toi aussi, tu ne veux pas que notre amitié se gâte, alors il faut dire à ton ami de ne plus me donner ces genres de choses.
Eugénie : hummm Mathilde, à demain !
Mathilde : donc tu me laisses seule ici ?
Eugénie : actuellement je dois aller voir König, si tu veux alors il faut me suivre.
Mathilde : si c'est le cas, alors bonne journée et à demain.
Eugénie était partie. Elle avait cherché König et Iless dans l'enceinte de l'université jusqu'à ce qu'elle fût fatiguée, mais elle ne les avait pas trouvés. Finalement, elle avait pris son téléphone et appelait Iless. Ce dernier lui avait dit qu'ils étaient déjà à la maison. Sans tarder, Eugénie avait pris un taxi et allait chez König et Iless.
Une fois que König était arrivé à la maison, il ne faisait que pleurer. Iless lui avait consolé jusqu'à fatiguer. Quelques minutes après, Eugénie aussi était venue chez eux.
Eugénie : s'il te plaît König, arrêtes de pleurer. Je sais ce que tu ressens actuellement, mais je te demande pardon d'être fort sinon tu risques de tomber malade.
Iless : je lui avais dit tout ça, mais il ne me considère même pas.
Eugénie et Iless avaient utilisé toutes leurs stratégies pour consoler König, mais ce dernier ne disait toujours rien. Les deux-là étaient toujours à côté de König jusqu'au soir.
König : s'il vous plaît, laissez-moi seul !
Eugénie et Iless étaient allés au dehors et discutaient
Eugénie : je ne savais pas que Mathilde était méchante jusqu'à ce niveau.
Iless : ce qui me fait plus mal dans tout ça, est que König l'aime sincèrement.
Eugénie : oui c'est ça, hummm ce serait très difficile pour König avant de gagner le cœur de Mathilde. Mais bon, moi aussi je ferai mon mieux pour lui aider.
Iless : merci d'avance ma chérie ! Bon je dois aller préparer donc à plus.
Eugénie : si c'est le cas, laisse-moi préparer pour vous.
Eugénie avait préparé le spaghetti et ils avaient mangé sauf König.
Iless : mon frère depuis le matin tu n'as pas mangé, mais pourquoi tu refuses toujours ?
Eugénie : s'il te plaît König, je sais que tu aimes Mathilde sincèrement et je te promets que je vais t'aider à gagner son cœur.
König : hummm ok merci beaucoup !
Deux semaines plus tard, König était allé au cours et il avait vu Mathilde et Martin. Lorsqu'il avait vu Martin à côté de Mathilde, immédiatement il avait reçu un choque sur son cœur.
König : s'il te plaît Iless, reste ici j'arrive.
Iless : moi je ne veux pas que tu ailles chez eux.
König : ne t'inquiètes pas, il faut aller rejoindre Eugénie, j'arrive.
Mathilde et Martin étaient en pleine discussion et König était arrivé chez eux.
König : bonjour à vous !
Mathilde : donc tu as l'audace de me suivre encore ?
Martin : chéri, tu le connais ?
Mathilde : oui c'est lui dont je te parle.
Martin : pauvre étudiant, donc c'est toi qui voulais prendre ma femme ?
König : tu n'as pas encore demandé la main de Mathilde, donc arrêtes de dire ta femme.
Martin : je n'ai pas encore demandé sa main ou quoi que ce soit, cela ne te regarde pas. Maintenant tu peux nous dire ce que tu as ?
König : Mathilde, je veux te parler seule.
Mathilde : il faut dire ce que tu voulais me dire ici. Martin est mon petit ami, donc il peut écouter mes secrets.
Martin : petit frère, nous sommes à l'écoute.
König : humm ok Mathilde, il faut savoir que l'argent ne fait pas le bonheur. Et toi pauvre idiot, si jamais tu fais quelque chose de grave à Mathilde un jour, tu vas me sentir.
König était parti. Mathilde et Martin continuaient la discussion.
Martin : mais c'est quoi son problème au juste ?
Mathilde : chéri, moi aussi je ne sais pas hein.
Martin : moi-même, je vais gérer ce problème.
Le soir, Martin était allé à la maison et avait appelé ses trois sympas. Les trois sympas de Martin étaient tous des musulmans. Dans leur quartier, les gens les appelaient Boss bandit. Ils s'appelaient Mohamed, Ibrahim et le petit était Abou. Quelques minutes après, ces derniers aussi étaient venus chez lui.
Abou : salut mon boss !
Martin : ouais mes fistons comment allez-vous ?
Ibrahim : boss ça va et toi ?
Martin : ça ne va pas mes fistons.
Mohamed : mais boss, qu'est-ce qu'il ne va pas ?
Martin : il y a un pauvre étudiant qui voulait mettre le sable dans ma farine.
Ibrahim : mais boss, le gars-là ne sait pas qui es-tu ?
Martin : oui il ne sait pas qui suis-je et c'est la raison pour laquelle je ne veux pas qu'on lui envoie de l'autre côté du monde.
Abou : on fait quoi alors mon boss ?
Martin : j'ai un plan, mais je veux qu'on se patiente un peu. Au cas où il continue ses bêtises, je vous ferai signe.
Les trois musulmans avaient attaqué Martin une nuit, mais comme ce dernier aussi avait suffisamment de l'argent, c'était la raison pour laquelle ils étaient devenus des bons amis depuis ce jour. Quand on parlait du banditisme dans le quartier, c'étaient eux.
Ils avaient fait quelques minutes chez Martin et étaient partis.
Une semaine plus tard, König et Iless discutaient à propos de Mathilde.
König : mon frère, chaque jour, l'amour que j'ai pour Mathilde ne fait que s'agrandir. Elle ne veut plus de moi, mais j'ai tellement envie de lui parler.
Iless : hummm mon frère, je sais que tu souffres énormément à cause de cette fille, mais sois fort et ça va aller.
König : le problème est qu'elle aime beaucoup ce bandit là.
Iless : ne dis pas ça ! Elle aime ce gars ou pas, cela ne doit pas t'empêcher de lui faire la cour. Si tu mets cette idée dans la tête, il faut savoir que tu vas perdre cette fille définitivement.
König : oui mon frère, tu as raison. Je te promets que je ferai tout pour gagner le cœur de cette fille.
Le jour suivant, Martin et Mathilde discutaient à propos de König.
Martin : mon amour, si ce pauvre étudiant court derrière toi encore, il faut me le signaler.
Mathilde : d'accord mon chéri ! Il pense que moi je peux laisser un beau garçon comme toi à cause de lui ? Ça jamais dans ma vie.
Martin : la manière dont tu me prouves l'amour que tu as pour moi, me plaît beaucoup. Je t'aime fort et je ne peux jamais te laisser à un bandit.
Mathilde : ne t'inquiètes pas, je suis à toi et je serai à toi toujours.
Martin : merci beaucoup ma dulcinée.
Trois jours après, König et Iless étaient de passage et ils avaient rencontré Eugénie et son amie.
Iless : bonjour ma bien-aimée !
Eugénie : chéri comment vas-tu ? König bonjour !
König : oui bonjour ma belle, comment vas-tu ? Mon amour Mathilde, j'espère que tu vas bien pour moi non ?
Mathilde : donc König, tu ne veux pas écouter ? On dirait que tu es très stupide hein.
König : oui c'est à cause de toi que je suis très stupide. L'amour que j'ai pour toi, me rend de plus en plus très stupide.
Mathilde : tu continues encore tes bêtises ?
König : je ne vais jamais cesser ça jusqu'à ce que tu acceptes d'être ma petite amie.
Mathilde : ok il faut continuer toujours, mais il ne faut pas dire après que je ne t'avais pas prévenu.
Iless : Mathilde, pourquoi tu te comportes comme ça ?
Mathilde : laissez-moi tranquille avec vos bêtises !
Iless : s'il te plaît, il ne faut pas aller à ce niveau. Je peux tolérer tout sauf ça. Si tu es impolie, il faut savoir que moi aussi j'étais impoli.
Eugénie : chéri, ça va.
Mathilde : Eugénie, est-ce qu'on peut quitter devant ces pauvres ?
König : c'est quoi au juste avec tes histoires des pauvres chaque jour ? Il faut demander à tes parents, si l'Homme nait avec l'argent ou comment ?
Iless : on dirait que toi, tu es l'enfant de Bill Gates.
Mathilde était partie, Eugénie aussi avait fait quelques minutes chez König et Iless, après elle était allée rejoindre Mathilde.
Le lendemain, Mathilde était allée chez Martin à la maison.
Martin : mon amour comment vas-tu ?
Mathilde : je vais super bien et toi ?
Martin : si tu vas bien, moi aussi je vais bien.
Mathilde : hahaha toi avec tes blagues là hummm.
Martin : mais pourquoi tu ne m'as pas appelé avant de venir ?
Mathilde : je suis désolée. Mais chéri, si je suis ici, c'est à cause du pauvre là encore.
Martin : il continue ses bêtises ?
Mathilde : oui chéri, hier il m'avait beaucoup embêté.
Martin : hummm ok toi, ne t'inquiètes pas ! D'ici la semaine prochaine, je vais lui parler et je suis sûr qu'il ne va plus continuer.
Mathilde : fais vite, car moi je n'arrive plus à supporter ses bêtises chaque jour.
Martin : je te promets ma dulcinée.
Martin avait donné un bisou sur le front de Mathilde et lui embrassait. Dès le début, Mathilde aussi avait vite répondu au b****r de Martin et arrivée à un moment, elle avait stoppé Martin.
Mathilde : non s'il te plaît chéri, tu vas trop loin.
Martin : hummm ok j'ai compris.
Mathilde : je suis désolée mon amour, je dois partir.
Martin : j'espère que tu n'es pas fâchée contre moi.
Mathilde : non je ne suis pas fâchée.
Mathilde était partie et Martin restait seul dans sa chambre et disait.
Martin : donc ce pauvre étudiant, ne veut pas écouter ? En tout cas, moi j'ai un plan et c'est ça seul qui peut m'aider à gagner plus le cœur de Mathilde.
Immédiatement, Martin avait pris son téléphone et appelait ses trois amis musulmans.
À suivre....