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2124 Words
(Immédiatement, Martin avait pris son téléphone et appelait ses trois amis musulmans.) Quelques minutes après, Mohamed, Ibrahim et Abou étaient venus chez leur boss Martin. Mohamed : mon boss, qu'est-ce qu'il ne va pas ? Martin : ce que je vous avais dit la fois passée, le petit là, continue ses bêtises encore. Ibrahim : shégué walayi, moi-même je vais tuer cet enfant avec mes propres mains. Martin : s'il vous plaît, je veux du calme. Abou : d'accord mon boss, mais je te jure aux noms de mes frères que cet enfant ne va plus continuer ses bêtises. Mohamed : boss, c'est quoi ton plan alors ? Martin : je veux qu'on kidnappe ce bandit. Moi-même je vais lui demander s'il va continuer ses bêtises ou arrêter. Ibrahim : c'est ce travail nous aussi, nous faisons avant de manger, donc toi, il faut savoir qu'on a déjà kidnappé ce petit. Abou : grand Ibro, envoi-moi la cigarette, j'ai envie de voir plus clairement. Boss Martino, il faut savoir qu'on a déjà enlevé cet enfant. Martin : toi petit comme ça, on dirait que tu es fort plus que tes frères... Mohamed : le travail que nous fassions, n'est pas une question d'âge, mais c'est dans la tête. On prépare tous nos plans dans le cerveau avant d'aller sur le terrain. En plus, Abou était la seule personne qui avait eu son Bac, Ibro et moi, c'est le simple diplôme de BEPC qu'on avait eu et c'est la raison pour laquelle on considère Abou parfois comme notre chef. Martin : ok je vois, même le jour que vous m'avez attaqué, c'était lui seul qui avait tenu l'arme dans la main. Ibrahim : on dirait que boss aussi est très intelligent hein. Martin : je suis très intelligent plus que vous-même. Mohamed : non boss, tu vas trop loin, avec tous les respects que je te doive, ne continue plus ce que tu viennes de nous dire. Martin : ok je suis désolé. Mais s'il te plaît Abou, vient rester de l'autre côté, car l'odeur de ta cigarette me gêne trop. Mohamed : hahaha mon boss, la simple cigarette, tu n'arrives pas à supporter son odeur et si c'est l'herbe même, tu allais faire quoi ? Ibrahim : maintenant boss, il faut nous dire, où se trouve la maison de ce bandit. Martin : pour le moment, moi aussi je ne connais pas sa maison, mais je vous promets que d'ici la fin de la semaine, je vous ferai signe. Ibrahim : d'accord boss ! Il faut être rapide. À plus ! Abou : mais il faut savoir que toi aussi tu vas fumer la prochaine fois. Les amis de Martin étaient partis et il restait seul dans la chambre et disait Martin : le petit là même, hummm parfois, il se comporte comme si c'est lui le patron De l'autre côté, König et Iless aussi avaient décidé d'aller chez Marceline. Marceline : je suis fâchée contre vous. König : nous sommes désolés. Délali : maman vous avait appelé plusieurs fois de devenir ici, mais vous refusez toujours. Iless : non Délali, ne parles pas comme ça, toi-même tu sais que c'est à cause de l'étude non. Délali : chaque jour, c'est à cause de l'étude, est-ce que c'est vous les seuls étudiants dans ce pays ? König : ok petite sœur, il n'y a pas de problème, bientôt toi aussi tu auras ton bac et tu verras. Délali : moi je ne vais pas continuer mes études à l'université de Lomé. Iless : pourquoi ? Délali : vous faites trop de dégâts là-bas. Je préfère continuer mes études à l'étranger ou dans une université privée. König : c'est vrai que l'université est plein de bandits, mais il faut aussi savoir qu'il y a des exceptions. Par exemple, nous tes frères qui sommes devant toi, nous faisons parties de ces exceptions. Délali : hahaha oui moi-même je le sais très bien. Sinon là-bas, c'est un autre monde. Iless : humm on dirait que tu as tellement peur hein. Marceline : elle a peur ou pas, c'est là-bas qu'elle ira pour continuer ses études. Délali : non maman, moi je ne veux pas. Mes frères, est-ce que c'est vrai que parfois les étudiants et étudiantes font papa et maman dans les salles ? König : ce que tu dis là, c'est dans l'antiquité qu'ils faisaient ça, mais actuellement non. Délali : okay j'ai compris. Ils avaient fait quelques minutes chez Marceline et après avoir mangé, ils étaient retournés à la maison. Malgré que le féticheur Azéto avait dit à Antoinette qu'il allait changer l'avenir de König, mais Antoinette était toujours impatiente et décidait d'aller chez le féticheur encore. Azéto : quelqu'un m'avait dit la fois passée que tu étais morte... Antoinette : s'il te plaît arrêtes et saches que je ne suis pas venue ici pour blaguer. Azéto : donc moi je fais de la blague ? Ok je suis à l'écoute. Antoinette : c'est toujours et toujours à propos de König. Azéto : si c'est à propos de cet enfant, il faut retourner chez toi. Antoinette : mais moi j'ai un mauvais pressentiment et c'est pourquoi je voulais qu'on débarrasse sa vie. Azéto : moi j'ai déjà fait mon travail, mais si tu veux toujours que je tue ce petit, alors c'est à toi de faire ce travail. Antoinette : je n'ai pas compris. Azéto : tu couches avec moi, je tue ton adversaire. Antoinette : ok passes une excellente journée ! Antoinette était partie et une fois qu'elle était arrivée à la maison, elle avait vu son mari au salon. Gildas : tu viens d'où ? Antoinette : arrêtes de me poser ces questions ! Donc moi je suis devenue un monument ? Tu veux que je reste dans cette maison jusqu'à mourir ? Gildas : ok je suis désolé, mais tu as mis la clé de la chambre vide où ? Antoinette : tu veux faire quoi avec cette clé ? Gildas : je dis bien, où est la clé ? C'est ma maison et je peux faire tout ce que je veux. Antoinette : chéri je suis désolée de t'avoir mis en colère. J'arrive pour t'apporter la clé. Antoinette était allée dans sa chambre et avait pris la clé de la chambre vide. Elle avait marché lentement derrière Gildas et avait ouvert la porte de la chambre vide. Une fois qu'elle était à l'intérieur, elle avait rapidement chauffé l'eau à l'aide du chauffe-eau et pratiquait l'astuce. Après avoir fait tout, elle était retournée chez son mari au salon. Antoinette : chéri, voici la clé ! Est-ce que tu veux prendre ça encore ? Gildas : non chéri, je n'ai pas besoin de cette clé, mais plutôt toi. Antoinette : si c'est le cas, allons à l'intérieur ! Le lendemain, Martin et Mathilde s'étaient rencontrés dans l'enceinte de l'université et discutaient. Martin : chérie, est-ce que tu connais la maison de ce bandit ? Mathilde : non chéri, Y-a-t-il un problème ? Martin : non moi, je veux juste savoir si tu connais sa maison ou pas. Mathilde : d'accord ! Chéri, je dois partir. Bonne journée ! Martin : ok bonne journée et prends soin de toi ! Mathilde était partie et Martin avait fait sortir son téléphone. Martin : allô Ibro, je suis au campus donc venez vite... Oui je suis à côté du resto. Quelques minutes après, les amis de Martin étaient venus chez lui. Martin : salut les sympas ! Je ne connais pas la maison de ce bandit, mais j'ai ses photos ici. Abou : la photo seule nous suffit. Ils avaient vu les photos de König dans le téléphone de Martin et Abou disait Abou : ah je connais ce petit, il est très intelligent. Ibrahim : tu le connais où ? Abou : à Assiganmé (le grand marché) Martin : est-ce que tu connais là où il habite ? Abou : malheureusement non Martin : ok pas de soucis, je vais chercher leur emploi du temps du cours présentiel et je vous dirai les jours qu'ils auront cours. Mohamed : ce serait très cool, mais est-ce qu'on peut aller dans la classe avec eux. Martin : ici on parle des amphithéâtres. Oui vous pouvez entrer, mais vous devrez être très prudents à cause des polices universitaires. Abou : on parle sérieusement, toi tu parles de ces petits ? Martin : non, ils ne sont pas des petits. Ils sont très vigilants. Ibrahim : boss, ne t'inquiètes pas pour ces policiers. Ils s'étaient séparés et Martin aussi était allé chez l'un de ses amis qui était dans le même département que König. Heureusement, il avait pris l'emploi du temps chez son ami. Le même jour, lui-même était allé chez ses amis musulmans. Martin : maintenant j'ai presque toutes les informations qui pourraient nous aider à kidnapper ce bandit. Abou : là c'est super. Martin : voici leur emploi du temps, demain matin, ils auront cours et sûrement, il ira, car il ne rate pas les cours. Mohamed : d'accord ! Il faut donner le papier à Abou, car c'est lui qui maîtrise ça. Abou : mais où se trouve amphithéâtre 20 ans. Ibrahim : ne vous inquiétez pas, demain on va localiser tout, à l'aide de nos téléphones. Abou : oh franchement, moi j'ai oublié le GPS. Le lendemain matin, König et Iless étaient allés au cours. Lorsqu'ils étaient dans l'amphithéâtre, ils avaient vu les amis de Martin et ils disaient Iless : mais König, est-ce que tu as une fois vu ces trois garçons ? König : non, toi-même tu sais que tout le monde peut rentrer ici non. Iless : leurs visages ressemblent les bandits. König : tu ne vois pas la tête du petit ? De l'autre côté, les amis de Martin aussi étaient ensemble et discutaient Ibrahim : mais pourquoi ils nous regardent comme ? Mohamed : à cause de son ami, cette opération sera un peu compliquée pour nous hein. Abou : ne vous inquiétez pas, le cours va terminer bientôt et on verra ce qu'on va faire. Ils étaient là et une heure de temps après, le professeur avait terminé le cours et était parti. König et Iless aussi marchaient ensemble en discutant. Les amis de Martin aussi étaient dernière eux en discutant. Abou : j'espère qu'ils vivent ensemble. Ibrahim : oui tu n'as pas menti. Mohamed : s'ils vivent ensemble, ce serait très difficile pour nous de kidnapper ce bandit hein. Abou : hummm j'ai une idée. Mohamed : laquelle ? Abou : on doit chercher là où ils habitent. Ibrahim : c'est une bonne idée. Maintenant on doit se cacher pour les guetter. König et Iless étaient allés à la maison et les bandits de Martin aussi avaient vu la maison dans laquelle ils vivaient et ils étaient retournés à la maison. Deux jours plus tard, König et Iless étaient encore allés au cours. Comme les amis musulmans de Martin aussi avaient l'emploi du temps de ces derniers, eux-aussi étaient allés dans l'amphi. Après le cours, Eugénie était venue chez König et Iless. Eugénie : chéri bonjour, König bonjour ! Iless : comment vas-tu ma princesse ? Eugénie : je vais bien et vous ? König : hummm ça va bien aussi. Je vous laisse. Iless : mais König, attends un peu non. König : ne t'inquiètes pas mon frère, prends ton temps, moi je vais partir pour préparer. Iless : humm ok à bientôt ! Eugénie : König, sois prudent ! König : d'accord ma chérie ! König était parti et dans un instant, les amis de Martin aussi l'avaient vu. Ils suivaient König, mais ce dernier même n'était pas au courant. Une fois que König avait fait son entrée dans la chambre, il avait fermé la porte avec la clé. Du coup, il avait entendu le bruit de sa porte et décidait d'aller ouvrir. Une fois qu'il avait ouvert la porte, il avait vu ses trois bandits. König : qu'est-ce que vous voulez ? Ce n'étaient pas vous que j'avais vu l'autre fois, lorsque nous faisons le cours dans l'amphithéâtre 20 ans ? Abou : bien-sûr, tu as de la bonne mémoire. Nous sommes les kidnappeurs et nous sommes venus pour t'enlever. König voulait parler encore et Mohamed lui avait donné un coup très v*****t sur son cou. Il était tombé et les bandits avaient pris rapidement la corde et attachaient la bouche et les bras de König. Comme, ils étaient venus faire l'opération avec la voiture, ils avaient mis König derrière de la voiture et partaient. Quelques minutes après, Iless était de retour et il n'avait pas vu son second dans la chambre. À suivre .....
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