(Elles marchaient ensemble en discutant jusqu'à ce qu'elles fussent allées à l'intérieur de l'amphi Johnson pour suivre le cours.)
De l'autre côté, König et Iless aussi étaient toujours dans le reposoir.
König : mais je dis hein, la seconde d'Eugénie est une sourde muette ?
Iless : arrêtes de dire ça sur l'enfant de quelqu'un hein ? Hummm mais pourquoi tu dis ça ?
König : tu ne vois pas ce qu'elle vienne de faire devant nous ?
Iless : franchement moi aussi je ne sais pas pourquoi elle n'avait pas prononcé même un seul mot.
König : à l'université de Lomé ici, c'est toujours ces bêtises que les filles font.
Iless : oui c'est vrai, mais il faut savoir qu'il y a des filles exceptionnelles parmi elles.
König : oui c'est vrai, mais surtout les filles de Lomé se croient trop supérieur par rapport aux autres filles.
Iless : elles font toutes leurs bêtises là, mais finalement elles ne vont même pas avoir la simple licence. Moi ça me fait très mal.
König : si nous voulons parler des filles de Lomé, on va prendre un an, mais ça ne va même pas suffire.
Ils avaient fait quelques minutes au campus et ils étaient allés à la maison. Arrivés à la maison, ils avaient préparé et mangeaient ensemble en discutant comme les jumeaux.
Quelques semaines plus tard, Antoinette avait appris que König avait continué ses études universitaires et elle était très inquiète, car elle savait très bien que si ce dernier continuait ses études au campus, cent pour cent il va devenir un grand riche. Elle ne savait plus quoi faire et était allée chez son féticheur encore.
Azéto : la manière dont tu te comportes, moi-même j'ai peur de toi hein.
Antoinette : comment je me comporte ?
Azéto : premièrement je constate que tu es une femme courageuse. Ensuite, les femmes qui aiment à aller chez les féticheurs, marabouts et autres, sont très méchantes.
Antoinette : hahaha toi aussi hein, mais pourquoi tu vas avoir peur de moi. C'est plutôt moi qui devrais avoir peur de toi.
Azéto : ok maintenant je peux savoir pourquoi tu es encore ici ?
Antoinette : mon grand féticheur, le tout puissant, le patron des sorciers,...etc si je suis encore devant toi aujourd'hui, c'est à cause de König.
Azéto : tu viens toujours ici avec le problème de cet enfant ?
Antoinette : actuellement dont je te parle, j'ai tellement peur de cet enfant.
Azéto : moi j'en ai marre de la même chose chaque jour.
Antoinette : donc tu ne veux plus faire ton travail ? Ou bien tu ne cherches pas de l'argent ?
Azéto : hummm ok c'est quoi ton problème alors ?
Antoinette : depuis, moi je ne voulais pas que cet enfant continue ses études universitaires.
Azéto : mais pourquoi ?
Antoinette : s'il est devenu riche, il va....
Antoinette voulait parler encore, mais Azéto lui avait stoppé.
Azéto : ferme-là! Tu ne sais pas que si cet enfant est devenu riche, ce sera une fierté pour votre famille ?
Antoinette : oui mais est-ce qu'il va nous considérer encore comme sa famille ?
Azéto : s'il ne vous considère plus, là il a raison, car c'est toi qui avais tué sa maman non.
Antoinette : ne me dis pas ça !
Azéto : ok moi je voulais t'aider depuis à débarrasser la vie de cet enfant, mais c'est toi-même qui avais refusé.
Antoinette : j'avais refusé comment ?
Azéto : je t'avais dit que j'ai envie de coucher avec toi, mais tu avais carrément refusé et moi aussi j'avais carrément refusé de t'aider. Maintenant le score est nul.
Antoinette : s'il te plaît, tu peux me demander tout, sauf ça.
Azéto : hummm ok donne-moi un million et je vais trouver une solution à ton problème.
Antoinette : ça passe très bien. Je reviens ici demain avec ton un million.
Azéto : d'accord, au revoir !
Antoinette était partie pour aller à la maison. Lorsqu'elle était arrivée à la maison, elle n'avait pas vu son mari et elle était très contente. Directement, elle était allée dans la chambre vide et comme d'habitude, elle avait mis la poudre magique dans l'eau chaude et boire. Ensuite, elle avait mis ça dans sa partie intime aussi. Quelques minutes après, son mari était de retour.
Antoinette : chéri, bon arrivé !
Gildas : merci ma lumière ! Sans toi je vais toujours rester dans l'obscurité.
Antoinette : waouh merci beaucoup et je te promets que je vais te faire briller plus que ça.
Gildas : c'est pour cela que je t'aime beaucoup.
Antoinette : merci mon cœur ! S'il te plaît chéri, je voulais te demander quelque chose.
Gildas : mon âme sœur, je suis à l'écoute.
Antoinette : je veux que tu me donnes deux millions.
Gildas : toi-même, tu sais que l'argent que tu me demandes est très beaucoup hein.
Antoinette : oui chéri, je sais et c'est la raison pour laquelle je te demande pardon.
Gildas : ne t'inquiètes pas, je vais envoyer ça sur ton compte demain matin.
Antoinette : merci infiniment ! À cause de ça, allons prendre une douche romantique ensemble.
Ils étaient allés dans la douche et après ils avaient mangé avant d'aller se coucher.
Le lendemain matin, Gildas avait envoyé l'argent sur le compte de sa femme Antoinette. Antoinette avait retiré un million et était directement allée chez son féticheur.
Antoinette : maintenant je suis prête.
Azéto : c'est vrai que tu es prête ? Je suis très fier de toi. Allons à l'intérieur !
Antoinette : qu'est-ce que toi tu voulais dire ?
Azéto : tu viens de dire que tu es prête non ?
Antoinette : oui je suis prête cent pour cent.
Azéto : si tu es sûr que tu es prête, allons à l'intérieur non.
Antoinette : mais c'est ici qu'on reste depuis ?
Azéto : donc tu veux qu'on fasse ça aussi ici ?
Antoinette : tu parles de quoi au juste ?
Azéto : tu dis que tu es prête à te coucher avec moi non ?
Antoinette : ooh monsieur relaxes toi, car tu vas trop loin. Je te disais que je suis prête avec ton un million et non pour f***********r avec toi.
Azéto : s'il te plaît je veux juste faire un seulement.
Antoinette : un seulement là, comment ça se fait ? S'il te plaît je dis non et c'est non.
Azéto : je suis très excité, donc fais-moi juste une faveur.
Antoinette : comment tu ne veux pas prendre cet argent, moi je m'en vais.
Azéto : donc tu ne veux plus tuer König ? Ok bonne journée, mais saches qu'aucune autre personne ne pourra jamais t'aider à tuer cet enfant à part moi.
Lorsque le féticheur avait dit ça, Antoinette était tellement bloquée. Elle ne savait pas si elle devait partir ou rester. Finalement, elle avait décidé de demander pardon au féticheur.
Antoinette : s'il te plaît, je peux te faire tout, mais coucher avec toi, je suis sincèrement désolée pour ça. Si tu veux, je peux même ajouter le prix.
Azéto : ok donne-moi deux millions.
Antoinette : d'accord, il n'y a pas de soucis. Je vais t'apporter tout demain matin.
Azéto : non il faut te patienter un peu.
Antoinette : d'accord.
Antoinette était retournée à la maison.
De l'autre côté, König et Iless étaient encore allés au cours et comme d'habitude, après le cours, ils étaient assis sous un arbre et discutaient concernant la manière dont les professeurs faisaient les cours.
König : j'ai tellement aimé la manière dont ce professeur avait bien expliqué le cours.
Iless : moi aussi, en plus le cours est clair pour moi et je n'ai plus envie d'apprendre ça, car j'ai déjà le cours entier dans ma tête.
König : waouh là tu es très fort hein.
Iless : toi, tu fais semblant comme si tu n'as rien gardé.
König : hahaha... Regardes derrière toi, les filles là arrivent encore.
Mathilde et Eugénie aussi étaient de passage et du coup, Eugénie avait vu Iless.
Eugénie : salut à vous ! Ça fait un peu longtemps !
König : effectivement !
Eugénie : Iless, merci beaucoup pour la fois passée !
Iless : oh non, ne t'inquiètes pas pour ça.
Eugénie : je vous laisse
Iless : d'accord et merci beaucoup.
Mathilde n'avait pas toujours parlé et elles étaient parties.
Mathilde : mais dis-moi ce qui est entre toi et ces pauvres garçons.
Eugénie : il n'y a rien du tout, c'est juste que je me sens très bien si je suis à côté d'eux.
Mathilde : si c'est le cas, il faut retourner chez eux.
Eugénie : toi aussi hein... Mais surtout la beauté d'Iless me plaît beaucoup.
Mathilde : dis plutôt qu'il te plaît et non sa beauté !
Eugénie : oui il me plaît, j'espère que c'est bon pour toi non. Franchement, moi je ne te comprends plus hein.
De l'autre côté, König et Iless aussi discutaient à propos d'Eugénie et son amie.
König : mais pourquoi Eugénie souris toujours avant de te parler ?
Iless : toi aussi hein, donc tu voulais dire qu'elle ne te sourit pas avant de parler ?
König : elle parle avec toi, plus que moi non.
Iless : arrêtes tes allusions !
König : hahaha mais sois honnête et dis-moi ce que tu ressens pour elle.
Iless : beaucoup de choses ! Ses sourires me rendent très heureux, en plus elle est très polie.
König : ok je vois
Quelques minutes après, ils étaient allés à la maison.
Le soir, lorsque Gildas était de retour, il n'avait pas vu sa femme au salon et il était allé dans la chambre.
Gildas : ah tu es ici ?
Antoinette : chéri bon arrivé ! Comment ta journée a été passée ?
Gildas : très bien seulement que tu m'as beaucoup manqué.
Antoinette : hahaha, maintenant je suis à côté de toi.
Gildas : est-ce que tu as vu l'argent ce matin ?
Antoinette : oui j'ai vu ça et je suis très contente de toi.
Gildas : d'accord, merci beaucoup !
Ils avaient mangé avec leurs enfants au salon et après ils étaient allés se coucher.
La même nuit, Iless avait rêvé d'Eugénie.
Iless : Eugénie, je t'aime depuis que j'avais posé mes yeux sur toi.
Eugénie : moi aussi je t'aime beaucoup.
Le lendemain matin, König s'était réveillé et constatait que son second dormait toujours et il lui avait donné un coup sur les fesses.
À suivre...