(Quelques minutes après, Iless était de retour et il n'avait pas vu son second dans la chambre.)
Iless avait pris son téléphone et appelait König, mais malheureusement le téléphone de König sonnait à côté de lui dans la chambre. Il était assis dans le sofa en pensant et du coup, il avait vu une goutte de sang dans la chambre. Iless était très inquiet et avait appelé sa dulcinée Eugénie en même temps. Trente minutes après, Eugénie aussi était venue chez son amant.
Eugénie : mais chéri, qu'est-ce qu'il se passe ici ?
Iless : (pleur) moi aussi je ne sais pas. Je viens d'arriver, mais je n'ai pas vu König.
Eugénie : mais il est allé où ?
Iless : j'ai l'impression que ce sont les voleurs qui sont venus kidnapper König.
Eugénie : non, ce n'est pas possible. König est un garçon respectueux et il ne cherche jamais du mal à qui que ce soit, mais pourquoi les voleurs vont chercher à kidnapper cet innocent ?
Iless : c'est ce que moi aussi je ne sais pas.
De l'autre côté, les musulmans aussi avaient appelé leur boss Martin en lui disant qu'ils avaient déjà accompli la mission. Ils avaient enfermé König dans une petite salle très sombre et lui avaient détaché. Quelques minutes après, Martin aussi était venu chez ses amis.
Abou : boss est-ce que c'est lui dont tu nous parles ou une autre personne ?
Martin : Abou petit patron, c'est bel et bien lui, le bandit dont je vous parle chaque jour.
König avait soulevé sa tête et regardait Martin droit dans les yeux.
König : donc c'est toi qui es à la base de tout ça ?
Martin : oui c'est moi, comme tu ne voulais pas laisser ma femme tranquille, tu vas finir ta vie ici.
König : je t'avais plusieurs fois dit que tu n'as pas encore doté Mathilde, donc arrêtes dire qu'elle est ta femme.
Martin : on dirait que tu es très courageux hein, tu nous vois ici et tu n'as pas peur de nous ?
König : moi je ne peux jamais avoir peur des bandits comme vous.
Mohamed : Abou, il faut donner deux conseils à ce petit.
Abou avait pris son briquet et allumait. Il avait mis le feu du briquet dans la main gauche de König jusqu'à une minute. Ce dernier ne faisait que crier et pleurer, malheureusement pour lui, Martin et ses amis s'en foutaient de lui.
Abou : il faut savoir que c'est le premier conseil que je vienne de te donner, il reste le deuxième.
König : mais pourquoi vous êtes très méchants comme ça ? Vous ne savez pas que moi aussi je suis un être humain comme vous ? Et toi Martin, si tu penses que ce que tu me fasses ici, va te permettre de gagner le cœur de Mathilde pour toujours, tu te trompes.
Martin : avant que le petit patron Abou ne te donne le dernier conseil, laisse-moi aussi t'expliquer quelque chose. Premièrement, il faut savoir que le cœur de Mathilde n'est pas un trophée à gagner. Ensuite, Mathilde m'aime déjà et elle ne pourra jamais aimer un pauvre étudiant comme toi après.
König : Mathilde t'aime déjà ou pas, moi je m'en fous, car je sais très bien qu'un jour, elle saura qui tu es.
Martin : la seule personne qui peut dire à Mathilde qui je suis réellement, est toi, mais malheureusement tu vas terminer ta vie ici.
König : moi j'ai confiance en Dieu que je vais sortir d'ici. En plus, il faut savoir que ce n'est pas moi qui vais dire à Mathilde, qui tu es réellement, mais c'est elle-même qui saura à travers tes comportements.
Martin : Abou, il faut lui donner son dernier conseil pour qu'on puisse vite quitter ici.
Abou avait allumé une cigarette et demandait à König de fumer.
König : s'il te plaît, moi je n'ai jamais fait ça, donc je ne peux pas.
Ibrahim : ne t'inquiètes pas, lui-même va t'apprendre comment on le fait.
Abou avait donné la cigarette à König et lui forçait de fumer.
Le pauvre étudiant aussi n'avait pas d'autre choix que de fumer. Il fumait et quand il faisait la moindre erreur, Abou lui donnait des coups.
Quelques minutes après, ils avaient éteint l'ampoule dans la chambre et toute la chambre était devenue très noire. Martin et ses amis étaient partis et König restait seul dans la chambre.
Iless et Eugénie aussi étaient très inquiets de l'autre côté jusqu'au soir, mais König n'était pas toujours revenu à la maison.
Iless : il est clair que ce sont les voleurs qui sont venus kidnapper mon frère.
Eugénie : Humm chéri on fait quoi alors ?
Iless : je dois aller chez une dame cette nuit, cette dame est comme une mère pour nous-deux, donc je suis obligé d'aller lui informer.
Du coup, le téléphone d'Eugénie sonnait et c'était sa maman.
Eugénie : chéri, je suis très désolée, je vais te laisser puisque c'est ma maman qui vient de m'appeler.
Iless : ok si c'est le cas, moi aussi je vais profiter pour aller chez la dame en même temps.
Eugénie : mais moi je ne veux pas que tu reviennes ici, jusqu'à ce qu'on trouve König.
Iless : ne t'inquiètes pas mon amour.
Eugénie était allée à la maison et Iless aussi était allé chez Marceline.
Marceline : bon arrivé mon enfant, mais où est ton frère ?
Iless : (pas de réponse)
Marceline : Iless, qu'est-ce qu'il ne va pas ?
Iless : (pleur) madame, je ne sais pas où il était allé ?
Marceline : tu peux bien m'expliquer ce qui se passe ?
Iless : ce matin, nous étions allés au cours et après le cours, moi j'étais avec ma petite amie et König m'avait dit qu'il va aller à la maison pour préparer. Je lui avais dit d'attendre un peu, mais il avait refusé. J'ai fait quelques minutes au campus et arrivé à la maison, je n'ai plus vu König dans la chambre. J'ai appelé son numéro, mais malheureusement son téléphone était dans la chambre. À ma grande surprise, j'ai vu une goutte de sang dans la chambre.
Marceline : (pleur) oh seigneur aide-moi ! Oh mon enfant König tu es où actuellement ? Qui peut te faire ça ? Mais, est-ce que König a fait quelque chose avec quelqu'un ces derniers temps ?
Iless : non madame.
Marceline : je vais appeler la police pour signaler sa disparition en même temps.
Iless : oui c'est une bonne idée, mais je préfère qu'on attende un peu. D'ici demain, si on n'a pas eu sa nouvelle, on va signaler sa disparition.
Marceline : d'accord ! Mais tu vas rester chez nous ici jusqu'à ce qu'on lui trouve.
Iless : ok pas de soucis.
Marceline et Iless avaient tellement pleuré cette nuit comme jamais. De l'autre côté, Martin et ses amis étaient allés chez König dans la chambre sombre.
Martin : petit frère, je ne veux pas que tu meurs de faim, donc viens prendre ta nourriture.
König : est-ce que je t'ai dit que je vais mourir ?
Martin : ah donc tu as l'espoir que tu vas survivre encore ? Mon rival König, il faut savoir que tu vas passer le reste de ta vie ici.
König : je ne suis pas ton rival et je ne le serai jamais. Il faut savoir que moi, je ne te calcule même pas comme petit ami de Mathilde, mais plutôt son profiteur. Oui tu cherches à coucher avec elle seulement.
Martin : waouh, on dirait que tu es un sorcier hein, car tout ce que tu dises, est vrai. Mais il faut beaucoup prier pour moi pour que je couche avec elle avant la fin de cette année, sinon tu vas mourir ici.
König : je préfère mourir ici que de prier pour toi. Tant que moi je vis, tu ne pourras jamais faire le rapport sexuel avec Mathilde, même après ma mort, tu ne pourras rien faire.
Martin : mon frère, je ne suis pas ici pour écouter tes conneries là, mais comme je suis gentil, c'est pourquoi je t'ai apporté cette nourriture.
König : merci pour ta gentillesse, mais je n'ai pas besoin de ta nourriture.
Martin : en tout cas, moi je vais déposer la nourriture ici, dès que tu auras faim, tu pourras la manger... Les gars, allons-y !
Martin et ses amis étaient sortis et discutaient à l'extérieur.
Ibrahim : boss, on va tuer ce bandit ou comment ?
Martin : ne vous inquiétez pas, je vous dirai ce qu'on va lui faire.
Abou : que ça soit plus vite !
Mohamed : le petit est très impoli, il m'énerve trop. Il s'en fout de nous, humm s'il ne fait pas attention, moi je vais lui poignarder hein.
Martin : non, calmez-vous mes amis !
Ils s'étaient séparés et König restait seul dans l'obscurité. Il était là, jusqu'à ce qu'il se fût endormi.
Victoire : mon enfant, pourquoi tu refuses de manger ?
König : maman, je n'ai pas envie de manger leur nourriture.
Victoire : si tu n'as pas mangé leur nourriture, tu risques de perdre ton avenir. Il y a beaucoup de choses devant toi et c'est grâce à leur nourriture que tu peux survivre. Si tu n'as pas mangé, tu vas mourir de faim, donc je te demande pardon de faire un bon choix.
König : maman et pourquoi tu ne m'as pas sauvé ?
Victoire : mon enfant, sans moi ce bandit de Martin allait te tuer depuis, mais je te promets que je vais te faire sortir d'ici.
König : maman, est-ce que je pourrai me marier avec Mathilde ?
Victoire : mon enfant, il y a beaucoup d'épreuves devant toi à affronter.
König : maman, je veux une réponse nette.
Du coup, Victoire avait disparu et König aussi s'était réveillé.
König : (pleur) oh seigneur, aide-moi sinon je vais mourir. Mathilde, peu importe ce que tu vas me faire, je t'aimerai toujours et toujours jusqu'à l'infini.
Le lendemain matin, Iless était retourné à la maison pour voir si König était de retour ou pas, mais malheureusement il n'avait pas son second. Immédiatement, il était allé chez Marceline encore.
Iless : il n'est pas revenu toujours.
Marceline : oh mon Dieu ! Allons au commissariat de police très vite !
Marceline avait pris sa voiture et ils étaient allés au commissariat de police. Ils avaient expliqué tout aux policiers et étaient revenus à la maison.
À treize heures, Martin et ses amis regardaient la télévision et du coup ils avaient tombé sur un journal dans lequel le journaliste parlait d'e********t de König. Martin était très effrayant et disait
Martin : les gars, qu'est-ce qu'on va faire maintenant ?
Abou : boss, on dirait que tu as le cœur d'une meuf hein, hahaha à cause de ça, toi tu te paniques comme ça ?
Martin : mais vous ne savez pas qu'on aille terminer notre vie en prison si les policiers nous surprennent ?
Ibrahim : comment les policiers peuvent nous surprendre ?
Mohamed : on avait fait l'opération depuis hier et c'est maintenant qu'ils font leurs bêtises, donc ne t'inquiètes pas pour eux. Personne d'entre nous, n'ira pas en prison.
Martin : ok si c'est le cas, allons chez lui dans sa chambre. Il est déjà treize heures et je suis sûr qu'il a faim.
Abou : boss, on dirait que tu ne sais pas comment on maltraite les bandits hein, si c'est moi seul, c'est à quinze heures qu'il va manger et une seule fois par jour.
Martin : oui, c'est une seule fois que je vais lui donner de la nourriture.
Ils étaient allés chez König dans sa chambre. Malgré qu'il était treize heures, mais König ne savait pas qu'il faisait jour à cause de l'obscurité. Une fois que Martin et ses bandits étaient allés chez ce pauvre étudiant, Martin avait allumé l'ampoule.
Martin : tu dors toujours ?
Abou : hahaha, il a raison, car il croyait qu'il fait nuit toujours.
Ibrahim : fiston, viens prendre ta nourriture !
König s'était levé et avait pris la nourriture chez Ibrahim.
König : merci beaucoup !
Martin : pourquoi tu n'avais pas mangé la nourriture que je t'avais donné ?
König : (pas de réponse)
Martin : tu n'as plus de la bouche pour me parler ? Petit patron...
Abou : oui boss !
Martin : à cause de ça, il faut lui donner juste un conseil.
Abou : d'accord mon boss ! Petit bandit König, j'espère que tu nous écoutes très bien.
König : ne m'appelles plus petit bandit !
Ibrahim : hahaha Abou, ce bandit est très stupide, donc il faut lui donner deux conseils.
Abou : actuellement, je ne me sens pas bien, donc à la prochaine fois, je vais lui donner tous vos conseils.
Mohamed : hahaha mon frère Abou, tu es très fort hein.
Ils étaient partis et König aussi avait mangé la nourriture.
À suivre...