(Ils étaient au salon en discutant et quelques minutes après, Iless aussi était venu.)
Antoinette : bon arrivé mon enfant !
Iless : merci madame !
Antoinette : est-ce que c'est toi le répétiteur ?
Iless : bien-sûr que oui.
Antoinette : d'accord !! J'ai deux enfants, l'aîné a fait la classe du cours élémentaire trois fois, mais la cadette lui avait dépassé et actuellement elle est au cours moyen. Franchement ses enfants sont trop stupides à l'école, surtout le garçon.
Gildas : oui mon enfant, c'est ça. Donc, nous voulons que tu leur donnes bien des explications pour qu'ils réussissent à la fin de cette année.
Iless : si c'est ça seulement qui est le problème de vos enfants, là il n'y a pas de soucis.
Gildas : si tu arrives à aider mes enfants jusqu'à ce qu'ils réussissent, je vais te donner un million Francs CFA.
Iless : est-ce que vous êtes sûr de ce que vous dites ? Car moi je sais très bien que je vais aider vos enfants à réussir.
Antoinette : d'accord, mais ne prêtes pas l'attention de ce que mon mari vienne de te dire. Il a juste appelé cette somme pour te donner le courage.
Iless : d'accord, mais je vais gagner combien si vos enfants réussissent à la fin de cette année.
Antoinette : premièrement, je vais payer ton salaire par moi. Et s'ils réussissent à la fin de l'année, je vais te donner cinq cents mille et non un million dont ce petit vient de te dire.
Iless : merci beaucoup, il faut informer vos enfants que je serai là dans le mois prochain.
Antoinette : d'accord !
Iless était parti et quelques minutes après, il avait rejoint son frère König à la maison.
König : comment ça s'est passé ?
Iless : la manière dont je vois cette femme, on dirait qu'elle est plus méchante que ma marâtre.
König : toi, tu n'as même pas fait deux heures de temps chez elle et tu dis ça ? Haha mon frère va me tuer. Et comment vous avez discuté à propos du salaire ?
Iless : premièrement, ton père...
König : s'il te plaît arrêtes ! Si tu veux parler, il faut bien parler. Ne dis plus mon père, mais il faut plutôt dire le mari d'Antoinette.
Iless : König, dis-moi s'il est ton père ou non ? Malgré qu'il t'avait abandonné, mais il faut savoir que ce n'était pas sa volonté. Toi-même, tu sais que c'est cette sorcière qui était à la base de tout et pourquoi tu dis ça encore ? König cet homme est ton père malgré tout ce que tu ressens actuellement. Si tu as quelque chose à faire, il faut faire ça à cette femme et non ton père.
König : j'ai compris et je suis désolé pour ce que je vienne de te dire.
Iless : ne t'inquiètes pas ! Premièrement, ton père m'a dit qu'il va me donner un million à la fin de l'année, si ses enfants ont réussi.
König : et cette sorcière aussi était d'accord ?
Iless : toi-même, tu connais cette femme non. Lorsque ton papa avait dit ça, elle avait refusé au même moment en disant que ton père m'a juste dit cela pour me donner le courage. En plus, elle dit qu'elle aille me donner cinq cents mille à la fin de l'année si ses enfants sont admis.
König : hummm donc ils vont te payer combien par mois ?
Iless : elle ne m'a pas encore dit ça.
Un mois plus tard, König et Iless avaient commencé leur travail de répétition. Heureusement pour König, la personne lui payait par semaine et grâce à cet argent, ils satisfaisaient leurs besoins.
König : mon frère, maintenant qu'on commence à gagner un peu d'argent, moi je veux qu'on aille chez madame Marceline en lui remerciant et en lui disant de ne plus se gêner en s'occupant de nous.
Iless : oui tu n'as pas menti, en plus elle nous a beaucoup aidés.
König : Antoinette ne t'a pas encore parlé de ton salaire ?
Iless : non, je vais voir si elle va me payer à la fin de ce mois ou pas.
Le soir, ils étaient allés chez Marceline, mais cette dernière n'était pas encore de retour et c'était Délali seule qui était à la maison.
Délali : soyez les bienvenus mes frères !
K&I : merci Délali !
Délali : je vous apporte quoi ?
König : moi je veux juste le jus de citron.
Iless : toi-même, tu sais que nous sommes jumeaux donc ce n'est pas la peine de me demander ça encore.
Ils éclataient de rire et Délali était allée dans la cuisine. Quelques minutes après, elle avait apporté des jus de citron à König et Iless. Ils buvaient le jus en discutant.
König : mais pourquoi ta maman a un peu tardé aujourd'hui ?
Délali : peut-être qu'il y a encore l'embouteillage.
Iless : oui tu n'as pas menti.
Délali : buvez le jus, j'arrive pour vous apporter quelques nourritures !
Délali était allée dans la cuisine et avait préparé le riz à König et son second. Quelques minutes après, elle leur avait apporté le riz.
König : pourquoi tu as apporté deux cuillères seulement ?
Délali : moi je ne vais pas manger.
Iless : tu ne manges pas, nous aussi, non plus.
König : oui nous aussi, nous n'allons pas manger. Supposons que tu as mis quelque chose dans cette nourriture, c'est nous seuls qui allons mourir et c'est ce que moi je ne veux pas. Je veux que nous trois, nous mourons ensemble.
Délali : haha, toi avec tes pagailles là humm ok j'arrive.
Délali était allée dans la cuisine et prenait une cuillère. Elle avait rejoint les deux mecs et ils mangeaient ensemble. Quelques minutes après, Marceline aussi était de retour.
Marceline : bon appétit mes enfants ! Je suis très fière en vous regardant ensemble. Mais König, pourquoi vous ne venez plus chez nous ?
König : désolé madame, c'est parce que nous aussi, nous venons de trouver un travail, c'est pourquoi.
Marceline : ah merci seigneur ! Il s'agit de quel travail.
Iless : on fait la répétition à certains enfants et grâce à ça, on arrive à satisfaire nos besoins.
König : oui madame c'est ça, en plus c'est à cause de ça que nous sommes venus ici. Premièrement, nous voulons te remercier pour tes bienfaits dans nos vies. Ensuite, nous voulons te dire de ne plus t'inquiéter de nos besoins, car nous arrivons à gagner un peu d'argent en faisant ce travail.
Marceline : moi je ne suis pas d'accord de ce que vous dites hein. Je vous avais promis que j'aille vous faire l'inscription l'année prochaine et pourquoi vous dites tout ça ?
Iless : non madame essaies de nous comprendre. En plus, cela ne veut pas dire qu'on ne va plus venir chez toi.
König : pour le moment, ne t'inquiètes pas pour nous, mais s'il arrive qu'on aura un peu de soucis, on va te faire signe.
Marceline : humm ok pas de soucis. Mais n'oubliez pas que je suis à votre disposition hein ?
Délali : Humm vous deux-là. En tout cas, moi je vous souhaite une bonne chance.
König : merci beaucoup à vous pour votre compréhension !
Ils étaient quittés dans la maison de Marceline. Entre temps, Gildas et Antoinette discutaient à propos du salaire d'Iless.
Gildas : tu vas payer combien à la fin de ce mois à celui qui fait la répétition à nos enfants ?
Antoinette : arrêtes de me poser des questions bêtes ! C'est toi qui vas payer ou moi ?
Gildas : hummm ok je suis désolé. Maintenant, dis-moi combien il voulait prendre ?
Antoinette : il disait qu'il va prendre vingt-cinq mille par moi, mais je lui avais dit que je vais lui payer vingt mille et il avait accepté. Mais chéri, il ne faut pas oublier la promesse que tu lui avais fait hein ?
Gildas : tu parles de quelle promesse ?
Antoinette : tu lui avais dit que tu vas lui donner un million à la fin de l'année non ?
Gildas : oui, mais tu avais refusé non ? Ce n'était pas toi-même qui avait dit cinq cents mille ?
Antoinette : ces deux derniers jours, j'ai constaté que ce répétiteur faisait bien le travail avec nos enfants, donc j'ai décidé qu'on lui donne un million comment tu l'avais dit.
Gildas : si c'est comment ça, je vais t'envoyer l'argent sur ton compte.
Antoinette : d'accord chéri.
À vrai dire, Antoinette et Iless n'avaient rien dit à propos du salaire, mais elle avait raconté tous ces mensonges à son mari.
Un mois plus tard, Iless était encore allé faire la répétition à Laurent et Moufi dans la maison de Gildas. À la fin, il avait décidé de parler à Antoinette à propos de son salaire.
Iless : s'il vous plaît madame, j'ai déjà fait un mois, mais vous ne m'avez pas encore parlé de mon salaire et j'aimerais savoir pourquoi.
Antoinette : ah mon enfant, ne t'inquiètes pas ! Mais premièrement dis-moi ce que tu vas faire avec cet argent.
Iless : l'année scolaire passée, j'avais eu mon Bac, mais à cause de manque des moyens financiers, je n'avais pas pu continuer mes études universitaires. Donc, je voulais économiser l'argent que vous allez me donner ici pour pouvoir continuer mes études l'année prochaine.
Antoinette : vraiment tu es très intelligent et j'aime beaucoup ton idée, mais je voulais aussi t'aider plus.
Iless : ok pas de soucis !
Antoinette : je voulais réserver tous tes salaires et te les payer à la fin de l'année scolaire. En plus, si mes enfants ont réussi, je vais également ajouter les cinq cents mille dont je t'avais parlé.
Iless : d'accord madame, il n'y a pas de soucis et merci beaucoup pour votre idée !
Iless était parti et Antoinette aussi était allée chez son mari dans la chambre.
Antoinette : chéri, moi aussi je viens de payer les vingt mille francs au répétiteur comme ça.
Gildas : d'accord et c'est très bien ta part.
Une heure de temps après, Iless était arrivé à la maison, mais König n'était pas encore de retour. Quelques minutes après, le Boss König aussi était arrivé.
Iless : bon arrivé mon champion !
König : hahaha c'est toi le champion hein. Bon tu as pu parler à cette femme à propos de l'argent ?
Iless : hummm je lui ai parlé, mais elle m'a dit qu'elle voulait réserver tous mes salaires et me les payer à la fin de l'année scolaire.
König : c'est une bonne idée, mais moi j'ai un mauvais pressentiment.
Iless : hummm je vois, mais ne t'inquiètes pas.
Quelques mois plus tard, les enfants d'Antoinette avaient fait la composition et ils avaient réussi. Iless était très content, car c'était grâce à lui que ces enfants avaient réussi. Le soir, il avait décidé d'aller chez Antoinette.
Antoinette : bon arrivé mon enfant ! Je suis très content, car grâce à toi mes enfants ont réussi.
Iless : remercions à Dieu !
Antoinette : mais malheureusement, mon mari n'a pas déposé tes sous chez moi.
Iless : ok pas de soucis, je vais lui attendre jusqu'à son retour.
Antoinette : non, moi je veux que tu partes...
Du coup, Gildas même était de retour.
Gildas : mon enfant, je suis très content de toi car mes enfants ont réussi et j'espère que tu es venu pour prendre ton argent.
Iless : exactement monsieur, mais madame disait que vous n'avez pas déposé l'argent chez elle et c'est la raison pour laquelle je suis toujours là.
Gildas : mais Antoinette, où est l'argent que j'avais envoyé sur ton compte ?
Antoinette n'avait pas pu répondre à son mari et était allée dans la chambre vide. Après avoir fait l'astuce, elle avait rejoint Iless et son mari au salon.
Antoinette : chéri, rentre dans la chambre tout de suite et toi pauvre répétiteur je ne vais plus te voir dans cette maison. Mais, si tu voulais rejoindre tes aïeux, alors tu peux revenir dans cette maison.
Iless était choqué. Il avait cherché les larmes pour pleurer, mais il n'avait pas pu trouver.
À suivre...