(Ils étaient partis et König aussi avait mangé la nourriture.)
Le même jour, Eugénie était allée chez Iless dans la maison de Marceline.
Iless : sois la bienvenue ma chérie !
Eugénie : vraiment c'est très triste hein. Lorsque j'ai suivi le journal de cet après-midi, j'ai tellement pleuré...
Iless : humm, je suis sûr qu'il est en vie et rien de grave ne va pas lui arriver.
Eugénie : c'est la même prière que moi aussi je fasse chaque jour et je suis sûre qu'on va retrouver ton frère König.
Iless : tu connais la maison du petit ami de Mathilde !
Eugénie : non, mais qu'est-ce que tu vas aller faire chez lui ?
Iless : j'ai l'impression qu'il puisse savoir quelque chose dans l'e********t de König.
Eugénie : oui, moi aussi j'avais fait cette idée ce matin. Si c'est le cas, on va lui demander demain matin au campus.
Iless : nous devons être très prudents.
Eugénie : oui c'est ça.
Eugénie avait fait quelques minutes chez Iless et elle était partie. Elle avait décidé d'aller chez son amie avant de rentrer chez elle.
Mathilde : c'est vrai que mon ennemi pauvre étudiant a été kidnappé ?
Eugénie : tu as écouté ça où ?
Mathilde : toi-même, tu sais que je ne rate pas les journaux non.
Eugénie : oui c'est vrai et c'est à cause de ça là même que je suis venue ici.
Mathilde : est-ce que je ressemble les kidnappeurs ?
Eugénie : non ma chérie, il faut faire doucement. J'ai l'impression que ton petit ami Martin sache quelque chose sur l'e********t de König.
Mathilde : s'il te plaît Eugénie, sors de chez moi !
Eugénie : tu me chasses ?
Mathilde : comment tu peux dire ça sur mon petit ami ? Est-ce qu'il ressemble un bandit pour toi ?
Eugénie : tu sais pourquoi je te dis ça ?
Mathilde : non pourquoi ? Hein pourquoi ?...
Eugénie : ma sœur, il faut me parler doucement non. Ce que tu as oublié, est que l'apparence est trompeuse. Bonne journée à toi !
Eugénie avait faussé la compagnie de son amie. Mathilde était seule en pensant de tout ce que son amie lui avait dit et elle avait décidé d'aller chez son amant. Une fois qu'elle était arrivée chez Martin, elle n'avait même pas pris place et commençait à parler.
Mathilde : Martin, je suis très en colère, donc je veux que tu me dises la vérité.
Martin : mais chérie, qu'est-ce qu'il se passe ?
Mathilde : où est König ?
Lorsque Mathilde avait dit cela, Martin était très effrayant et n'arrivait plus à répondre à sa bien-aimée.
Mathilde : Martin, je dis bien, où est König ?
Martin : mais chérie, pourquoi tu me poses cette question ?
Mathilde : j'ai suivi un journal aujourd'hui et le journaliste dit qu'on a enlevé König.
Martin : mais chérie, est-ce que je ressemble un kidnappeur pour toi ?
Mathilde : je sais que tu ne peux pas faire ça, mais si jamais il arrive que c'est toi qui es à la base de tout ça, hummmm moi je n'aurai rien à te dire.
Martin : chéri, crois-moi !
Mathilde : ok je te crois et je suis désolée pour tout à l'heure.
Martin : ne t'inquiètes pas ma chérie.
De l'autre côté, Antoinette aussi avait suivi le journal qu'on avait enlevé König et elle était très contente. Le même jour, elle était allée chez son féticheur.
Azéto : c'est quoi ton problème encore ?
Antoinette : je suis venue pour faire une consultation.
Azéto : ok prends ceci et parles là-dessus !
Azéto avait donné une poudre à Antoinette et elle avait parlé là-dessus. Après avoir parlé, elle avait remis la poudre au féticheur.
Azéto : ok tu voulais savoir si König est toujours en vie ou il est mort, n'est-ce pas ?
Antoinette : effectivement, mais comment tu le sais ?
Azéto : jusqu'à maintenant, tu ne sais pas pourquoi on m'appelle Azéto ?
Antoinette : franchement toi, tu dépasses un sorcier même.
Azéto : pour répondre à ta question, il faut savoir que König est toujours en vie. Par la grâce de sa maman, il sera libéré dans quelques jours.
Antoinette : oooh mais pourquoi encore ? S'il te plaît, aide-moi pour qu'il meure de là où il est actuellement.
Azéto : je ne peux jamais combattre l'âme de sa maman. Ces derniers temps, sa maman est très en colère et si je tente de faire ça, je risque de perdre ma vie.
Antoinette : hummmm ok j'ai compris. Bonne journée alors !
Azéto : tu as oublié mon argent ?
Antoinette : toi, tu as déjà dépensé tes deux millions ?
Azéto : si j'ai dépensé ça ou pas, ça ne te regarde pas. Maintenant, donne-moi mon argent.
Antoinette avait donné de l'argent au féticheur et elle était partie. Elle était arrivée à la maison et quelques minutes après, son mari aussi était de retour.
Antoinette : bon arrivé mon prince !
Gildas : si tu es contente, c'est en ce moment que tu me m'appelles avec ces noms bizarres. Dis-moi pourquoi tu es contente !
Antoinette : les kidnappeurs ont enlevé König hier.
Gildas : s'il te plaît Antoinette, il ne faut plus appeler le nom de ce bandit chez moi encore.
Antoinette : je suis désolée mon amour.
Gildas : ne t'inquiètes pas ma princesse !
Antoinette : allons dans la chambre, j'ai une surprise pour toi.
Malgré tout, Gildas ne pensait plus à König et c'était ça la joie d'Antoinette.
Le lendemain matin, Abou et ses frères étaient allés chez König.
Abou : fiston, actuellement je suis en forme, donc lève-toi pour prendre tes conseils.
König : il y a des travaux partout et pourquoi vous ne voulez pas travailler pour gagner de l'argent. Si moi j'étais à...
König voulait parler encore et dans un instant, Ibrahim lui avait donné deux bonnes gifles. Il avait le vertige et n'arrivait plus à voir clairement. Mohamed était allé chez lui et disait
Mohamed : ton sauveur Martin, n'est plus ici, donc c'est nous les capitaines dans ce bateau. Pour la bêtise que tu viennes de nous dire, je te promets que tu vas mourir ici.
Abou : grand frère, laisse-le, je vais lui donner mes conseils en même temps.
Mohamed : mon petit, vas-y !
Abou : s'il vous plaît, venez tenir ses membres.
Ibrahim avait pris les deux mains de König et Mohamed avait pris ses pieds. Abou avait enlevé sa ceinture et frappait König comme un bœuf. König pleurait et criait, mais ils s'en foutaient de lui. Abou lui avait frappé plus de dix minutes et disait.
Abou : merci beaucoup mes grands frères ! Maintenant, vous pouvez lui laisser. Hé toi pauvre étudiant, viens t'agenouiller devant moi.
König n'arrivait plus à se mettre debout et disait
König : (pleur) s'il vous plaît, je ne peux pas me mettre en genou.
Dans un instant, Abou lui avait donné un coup de sa ceinture encore et König était tombé par terre. Il était très fatigué et avait mal partout.
Abou : je dis bien, viens te mettre en genou devant moi. Ibro, envoi-moi la cigarette.
König : s'il vous plaît mes chers amis, ayez pitié pour moi !
Abou : qui est ton cher ami ? Je ne vais plus répéter la même chose, viens te mettre en genou.
Malgré que König souffrait, mais il s'était mis en genou devant Abou.
Abou : si on te libère d'ici, qu'est-ce que tu vas nous faire après ?
König : rien du tout, car vous êtes toujours des immatures et vous ne savez pas ce que vous faites.
Mohamed : merci à toi pour ta parole ! Il faut savoir qu'aujourd'hui, tu ne vas pas manger.
König : hummm je vais prier pour que Dieu vous pardonne.
Ibrahim : merci beaucoup monsieur le pasteur !
Les trois musulmans étaient partis et König restait seul dans la chambre en pleurant.
De l'autre côté, Eugénie et Iless s'étaient rencontrés et discutaient
Eugénie : chéri, qu'est-ce qu'on va dire à Martin ?
Iless : ne t'inquiètes pas, moi-même je sais ce que je vais lui demander.
Eugénie : d'accord ! Allons-y en même temps !
Martin et Mathilde s'étaient assis sous un arbre et discutaient
Martin : mais pourquoi ton amie et son amant arrivent chez nous ?
Mathilde : ne t'inquiètes pas !
Quelques minutes après, Iless et Eugénie étaient venus chez eux.
Iless : salut Mathilde ! Salut Martin !
Mathilde : c'est toi qui as remplacé ton frère ?
Iless : s'il te plaît Mathilde, ne m'énerve pas ! Martin, je veux te parler.
Martin : ok je suis à l'écoute.
Iless : je dis bien je veux te parler et non vous.
Martin : humm on dirait que vous êtes des jumeaux hein, sinon c'est comme ça ton frère aussi parle. Bon, mon frère Iless si tu as quelque chose à dire, nous sommes à l'écoute, car moi je ne peux pas me déplacer ici.
Iless : ok pas de soucis ! Mais où tu as mis mon frère König ?
Martin : est-ce que tu sais que tu peux aller en prison à cause de ce que tu viennes de me dire ?
Iless : pourquoi tu dis ça ?
Martin : est-ce que tu as les preuves de ce que tu dis ?
Iless : ok j'ai compris, bonne journée à vous !
Mathilde : Eugénie, tu rentres déjà ?
Eugénie : non
Eugénie et Iless étaient partis. Mathilde et son petit ami aussi avaient continué leur discussion.
Martin : la manière dont ton amie se comporte, ne me plaît pas hein.
Mathilde : hummm chéri, ne t'inquiètes pas pour elle. Elle est toujours comme ça.
Quelques minutes après, Martin était allé à la maison et une fois arrivé, il avait appelé ses amis.
Abou : boss, nous sommes déjà là.
Martin : merci beaucoup pour votre gentillesse ! Est-ce que vous avez donné la nourriture à ce bandit aujourd'hui ?
Ibrahim : non boss, il nous a embêté aujourd'hui et on a décidé de ne pas lui donner de la nourriture.
Martin : non ayons pitié pour lui !
Mohamed : moi-même, je savais que tu allais dire ça.
Abou : bon, il n'y a pas de soucis.
Ibrahim : allons-y en même temps !
Ils étaient allés chez König.
Martin : fiston, tu vois comment je suis gentil ?
König : merci pour ta gentillesse pauvre idiot.
Abou s'était approché vers König encore pour lui donner des coups et du coup, König avait une force surnaturelle et il avait donné un coup très, très et très v*****t à Abou. Ce dernier était tombé et ne respirait plus. Les deux frères d'Abou étaient très fâchés et avaient frappé König jusqu'à ce que lui aussi ne respirait plus. Ils croyaient que König était mort et ils étaient très effrayants.
Martin : il est mort hein
Ibrahim : (pleur) je m'en fous, tu ne vois pas que notre petit frère aussi est mort ?
Mohamed : mon frère Abou, nous sommes très désolés. Qu'Allah pardonne tes péchés !
Martin : c'est vrai qu'il est mort ?
Mohamed : s'il te plaît boss, ne m'énerve pas. Les deux sont morts. Pour Abou, on peut gérer son cas, mais König on va aller déposer son corps devant sa porte dans la nuit.
Martin : humm ok pas de soucis.
Ils étaient partis et à minuit, ils avaient pris le corps de König et avaient déposé devant sa porte.
À suivre...