XIIIJe fus fort affligée de me trouver ainsi tout à fait séparée de ma petite princesse et je me creusai l’esprit plus que jamais pour trouver la cause de son dédain. Un matin, elle vint me surprendre à l’heure de la leçon. Jamais je ne l’avais trouvée si enjouée et si vive. La journée se passa en ébats, en escapades folles, mate le soir venant, la tristesse reparut sur son front. Quand sa mère vint la voir dans la soirée elle s’efforça en vain de paraître joyeuse. Dès que la princesse fut partie elle se prit à pleurer. La princesse, inquiète de ces brusques changements, nous fit surveiller attentivement par Mme Léotard, mais j’étais seule à comprendre ce qui se passait en Katia. C’était le dénouement de notre roman. C’était, je l’espérais, une réconciliation. Je voyais tout cela à