XVII Les caprices de Louis. – Obéliscale. – Le cabinet de toilette de Piérik. – La fête. – Je collectionne. Je ne puis plus te dire que je m’amuse à Saint-Pierre. Les caprices de Louis et de sa mère troublent la paix de notre paradis terrestre. Tout est bousculé, les devoirs comme les jeux. Ce qui s’arrange est dérangé, ce qui se commence est enrayé : c’est à la fois comique et dépitant. Aujourd’hui on devait passer la journée sur la grève du sémaphore, dont, à notre grande joie, nous allions reprendre les travaux. Les tentes, les pliants, les costumes de bain, les paniers de provisions, sont chargés sur Krack ; Neptune et Piérik portent les outils ; nous marchons pendant dix minutes. On crie : halte ! ma tante avait vu un nuage noir du côté de Larmor, et Louis avait mal au pied. Sitôt q