VIII LA BARONNE, en descendant l’escalier, s’adresse aux valets de pied en leur montrant Geneviève. – Voilà, maintenant, la maîtresse de la maison. Puis en passant devant le pavillon de la concierge. Madame Mayer, rendez la liberté à vos enfants, et pardonnez-moi ; je crois bien que j’ai été jalouse. Je vous permets d’être mère, maintenant que je le suis. Nuit d’amour Drame historique en quatre tableaux ENVOI À Madame la Princesse St… de St… Princesse, Vous m’avez demandé une histoire édifiante, en harmonie avec le temps de carême et de giboulées que nous traversons ; je prends la respectueuse liberté de placer l’Idylle ci-jointe sous votre patronage. Vous avez su, j’ignore par quel miracle, échapper presque seule aux travers de notre époque, soyez donc le bienfaisant apôtre qui pla