IV
– Mon amour, il faut que je vous quitte un instant.
Ainsi parla le notaire à sa bien-aimée, entre deux baisers. Celle-ci ne le retint pas, d’autant qu’une mâle colique, comme disait Panurge, lui battait aux flancs, à elle-même, pour avoir trop mangé de purée de haricots dont Tafoireau aussi avait immodérément usé. Son amant put donc s’isoler dans les bosquets du parc sans qu’elle songeât à le poursuivre ni à voir où il était allé.
Pendant ce temps-là, M. Thomas et le plombier étaient à leur manœuvre.
– Crac !
Voilà le robinet du grand jet tourné, de ce jet dont vous avez l’instrument sous les yeux. On entend l’ascension furieuse et la lourde chute de l’eau.
– Ça va à merveille. Passons à un autre.
Et voilà nos animaux qui s’en vont sans fermer le robinet, tant ils étaient grisés
