When you visit our website, if you give your consent, we will use cookies to allow us to collect data for aggregated statistics to improve our service and remember your choice for future visits. Cookie Policy & Privacy Policy
Dear Reader, we use the permissions associated with cookies to keep our website running smoothly and to provide you with personalized content that better meets your needs and ensure the best reading experience. At any time, you can change your permissions for the cookie settings below.
If you would like to learn more about our Cookie, you can click on Privacy Policy.
– Vous vous trompez, Prudence ; ce qu’il y a en moi, ce n’est pas du tout ce que vous croyez, c’est un manque d’aptitudes. – D’ap… quoi ? (Il paraît que ce n’était pas un mot de chez elle.) – D’aptitudes ; cela veut dire que je n’ai pas de dispositions pour ce qu’on exige de moi. – Laissez donc ! Pas d’envie de vous donner du mal, c’est comme ça qu’on dit chez nous. Écoutez, monsieur Natole, ce n’est pas à moi à vous faire la leçon, puisque je ne suis pas de votre étage ; mais, voyez-vous, nous étions sept à la maison, bon pied, bon œil, et mangeant ferme ! Le père travaillait dans les champs ; moi, j’étais l’aînée, fallait aider au ménage et se trémousser, j’en réponds. Ça ne m’allait pas, j’avais une tête ; je me buttais à ne rien faire de ce que la mère commandait, à barguigner de dr