VI Le noviciat du marquis de **, ou l’apprenti devenu maîtreDeux parties (titre rouge) ; à Citer (sic), en l’année 1747 ; avec approbation de Vénus. L’extrême rareté de cet ouvrage suffirait à faire douter de son existence, s’il ne se trouvait pas en ma possession. Ce n’est point un trésor d’ailleurs ; sans être complètement insignifiant, il a le tort plus grave d’être ennuyeux. Une bourgeoise de trente-cinq ans, une actrice et une femme du monde se chargent à tour de rôle de l’éducation du marquis de ***, qui n’en devient pas plus maître pour cela. Un certain mérite de pittoresque dans le portrait ne rachète point le manque absolu d’intérêt qui domine dans ces deux parties, lesquelles n’ont aucun dénouement et laisseraient croire à une troisième, si le mot fin n’était là pour détruire t