III Dès qu’il fut seul, le comte de Sassenage devint, rêveur. Des formes vaporeuses, insaisissables, se mirent à valser dans : son cerveau. Dans des flots de gaze se prélassaient des épaules belles jusqu’à l’impossibilité. Au milieu d’avalanches de cheveux apparaissaient, pour disparaître, presque aussitôt, des visages aux grands yeux provocants, aux lèvres sensuelles. Puis des bras, ronds et blancs, des mains mignonnes : se tendaient vers lui ; des pieds bien cambrés, des jambes de Diane, tournoyaient jusqu’à donner le vertige ; et tout cela avec des bruits lointains de baisers. – C’est dommage, se dit-il. J’eusse été bien curieux de savoir si leurs sept merveilles : sont aussi belles qu’ils, le prétendent. Le comte arriva va dans ces dispositions d’esprit chez sa tante, la baronne de