– Comme vous venez tard ! dit celle-ci. M. Legrand ne répondit point ; deux hommes places devant lui, lui dérobaient entièrement la vue du bal. – Il était furieux ; il se sentait si petit, si tristement perdu dans la foule ! – Vous arrivez ? poursuivit la mère en turban ; vous n’avez pas encore vu le phénix dont chacun s’entretient ici ? Puis, s’établissant dans cette plaisanterie, elle ajouta : – Nous avions la compagnie du Phénix, maintenant voici le phénix de la compagnie. M. Legrand ne goûta point ce jeu de mots. – Je ne sais de quel phénix vous voulez parler, madame, répondit-il froidement. – De l’Apollon, du Céladon, de l’Adonis, de la coqueluche de toutes ces dames. – Je ne sais ce que vous voulez dire avec votre Apollon, votre Céladon, votre Adonis et votre coqueluche, mada