XII
L’imbécileUn paysan avait un fils qui était fort bête. Le jeune homme eut envie de coucher avec une femme ; il se mit à importuner son père : « Marie-moi, papa ! – Attends un peu, mon fils, lui dit le père, il est encore trop tôt pour te marier : ton v.t ne va pas encore jusqu’au c*l ; quand il l’aura atteint, alors je te marierai. » Voilà le fils qui prend son v.t dans ses mains et le tire le plus fort qu’il peut, ensuite il regarde et constate la justesse de l’observation faite par son père. « En effet, dit-il, il est trop tôt pour que je me marie, mon v.t n’est pas encore assez grand, il ne va pas jusqu’à mon c*l ! Il faut attendre un an ou deux. » Le temps se passe, l’imbécile ne s’occupe qu’à allonger son v.t ; voilà qu’il est parvenu à ses fins ; son v.t non seulement arrive jusqu’au c*l, mais le dépasse ! « À présent, dit le jeune homme, je puis me marier sans déshonneur, j’ai de quoi satisfaire ma femme, et elle n’aura pas besoin d’aller avec d’autres ! » Quel jugement attendre d’un imbécile ? pense à part soi le père, et il répond au jeune homme : « Eh bien, mon fils, puisque ton v.t a tellement grandi qu’il atteint ton c*l, tu n’as que faire de te marier ; reste garçon, continue à demeurer ici et f. . s-toi avec ton v.t… » Ainsi finit l’histoire.