Chapitre 2

3322 Words
Qu'est-ce qui se passe encore ? Comme ci que ma question avait été entendue, Khithoka me murmura que c'était... Que c'était... Non ce n'est pas possible, il voulait me prouver sa puissance, mon ami, me répondit qu'il s'agissait d'une exécution, exécution, vous comprenez... NON ! Ce n'est pas possible, non, je ne veux pas assister à ça, il m'a tant parlé de la barbarie de son père, il sait très bien qu'il n'est pas tendre avec ses victimes, alors pourquoi ? Pourquoi fait-il ça ? Pense-t-il que je vais le craindre après ça ? Il souhaite me soumettre... Mais, jamais, ils ne m'auront, je ne suis pas faible, encore moins du genre à me défilé... - Personne ne nous soumettrons, c'est CLAIR ! S'emporta Jay qui bouillonné de colère. - Je n'ai jamais dit qu'il nous soumettra, j'ai dit qu'ainsi, il pense pouvoir nous soumettre, pour ainsi nous contrôler, il veut avoir du pouvoir tout simplement, car il sait qu'il n'en a pas, expliquais-je calmement à ma louve. - Mais nous pouvons tenter de le sauver ? On devra la jouer très finement, nous pouvons y arriver, proposa Jay qui avait l'air d'avoir un plan. - Mais... Comment veux-tu t'y prendre pour la jouée finement ? La questionnais-je intrigué par son idée. - Faire une grande illusion, ou tout le monde n'y viraient que du feu. Cependant, au lieu de le laisser mourir, nous le mettrons à l'abri, regarde-le, il est innocent, on ne peut pas le laisser mourir, m'expliqua-t-elle. - Je sais bien qu'il est innocent, je sais ce qu'il ressent en ce moment, je te signale. Je suis partante et je sais qu'elle est le sort idéal. » Après avoir mis notre plan au point, je m'approchais lentement de l'homme, sans attirer l'attention, sans prévenir, je m'infiltrais dans sa tête, avant de lui venir en aide, je devais m’assurer, que je ne me trompais pas sur sa personne, en quelques secondes, je fus assagi d'images, elles passèrent en boucle dans ma tête, ce qui me prouva que je prenais la bonne décision. Je le voyais avec sa famille, ses enfants, sa femme et tous ceux qu'il aime, c'est un homme bon, il est honnête et doux avec ceux qu'il aime, mais aussi avec ceux qui l'entour. Rapidement, je le regardais droit dans les yeux, ma décision était prise, je crée un lien entre nous, lui expliquant que je n'allais pas le laisser mourir, c'était or de question, qu'il meurt, il est innocent, mais surtout, il a une famille qui compte sur lui. Ses trois enfants m'héritent d'avoir un père, et sa femme, ne peux pas le perdre maintenant, oui parce qu'il attende leur 4eme, pourquoi Lucius veut-il le tuer ? Vous savez quand je suis entré dans sa tête, j'ai vu... C'est à ce moment que Lucius s'approcha, il ouvrit sa gueule de chien, le sourire aux lèvres, puis sans perdre de temps, il déclara d'une voix hypocrite et avec un faux semblant : - Vous aurez compris ce qui nous réunit aujourd'hui ! Je vais vous expliquer, tam, tam, tam, tam, nous allons exécuter ce traitre, qui entre nous a voulus me défier, il pensait pouvoir s'en sortir indemne, pouvoir me voler, sans aucun risque ! Aujourd'hui, pour mon bon plaisir, mais surtout pour exemple, je vais vous montrer que me défié n'est pas s'en risque. Ricana-t-il en me regardant droit dans les yeux, puis il fit un signe de la main avant d'ajouter : Que le spectacle commence. Il me narguait clairement, que croyait-il obtenir ? C'est à ce moment, qu'un homme amena de force une femme, elle était couverte de bleu, non, le mot est faible croyait moi, il la fit s’agenouiller à nos pieds tel un chien sans valeur, au côté de son époux. Elle avait les larmes aux yeux, mon cœur se serra de dégout. Que faisait-elle ici ? Elle n'avait rien fait, pour m'hériter un tel sort, malheureusement, je ne pouvais pas agir aux yeux de tous, je devais me taire, même si la vue me révolter. Sans attendre, ni même donné d'explication, il déversa sur les deux personnes un liquide transparent, assez forte en odeur, non ça ne peut pas être ça ! Personne, je dis bien personne, ne m'hérite une tel fin. Concentre-toi Taylor, concentre-toi sur ton objectif, concentre-toi, tu ne peux pas faiblir, tu dois te concentrer, il compte sur toi, tu ne peux pas t'atteindre. Il n'allait pas faire ça ... La femme regarda son mari, avant de lui chuchotait un léger « Je t'aime » Qui avait une si grande signification, l'homme lui répondit, la voix remplie de tristesse, qu'il l'aimait et qu'il lui demandait pardon. Ils savaient qu'ils allaient mourir, pourtant, ils ne bougeaient pas d'un poile, ils n'essayaient pas d'utilisé leur pouvoir et je savais pourquoi, Lucius les tenaient avec leurs enfants. C'était le moment opportun, j'étais à deux doigts de jetée mon sort, lorsque l'homme tourna son regard vers moi, quand d'un coup, il blêmit ! Ne comprenant pas, je suivis discrètement son regard, quand j'aperçus un petit garçon de 14 ans, il se cachait tant bien que mal, derrière un arbre, c'était... Oui, bien-sûr, c'était leur fils, pourquoi était-il ici ? Non, il ne pouvait pas voir ça, Lucius avait tout prévu, il voulait le changer, s'il assistait à cette scène, il en deviendrait un monstre. En panique, j'essayais de faire un signe au jeune homme, je voulais qu'il s'en aille, lorsque je tournais la tête, Lucius avait allumé son briquet, oui, il était si perfide, qu'il n'allait pas utiliser sa magie sur eux. En une minute, je pénétrais dans l'esprit de l'enfant, l'obligeant à revoir des images, ceux qu'ils avaient vécus en famille, son frère et sa sœur. J'étais à la fois connecté au monde réel, mais aussi à ses souvenirs, je faiblissais, mais en aucun cas le petit devait voir ce qu'il se passait sous mes yeux. Tendis que j'observais impuissante au spectacle, les crient du couple me déchirèrent le cœur, tendis que le rire de Lucius, résonner dans mes oreilles, quand je tournais le regard vers le couple... Les flammes, oui les flammes s’emparèrent en un instant d'eux, non... non... non, je devais les sauvaient, ils couraient dans tous les sens, essayant de les éteindre, en vain, ça ne fit que les amplifiés. Mon cœur se serra, au moment où la jeune mère poussa son dernier souffle, les larmes aux yeux, j'observais l'homme qui lutter pour sa vie, ce n'est qu'après quelques minutes, qu'il s'effondra au sol, même à cet instant, il pensa à son épouse, dans ses derniers instants, il prit la main de son épouse, comme pour qu'ils soient unis et me glissa un petit " Merci". Écœuré, je tournais le regard, je ne voulais pas l'entendre poussais son dernier souffle, bordel, j'avais promis, j'avais promis, de sauvés ce couple. Je les ai tués, je les ai laissé mourir ! Je lui ai menti, pourquoi lui avoir dit qu'il allait s'en sortir, j'ai trompé ce couple, je leur ai promis des choses que je n'ai pas sue tenir, je leur ai donné de faux espoirs. Je n'ai pas su, je n'ai pas réussi, pourtant, je lui avais promis, il avait confiance en moi, qu'elle Luna, je ferai, dîtes moi, je n'ai même pas réussis à sauvés, ils sont morts sous mes yeux. Le couple avait fini en sandre, ils ne ressemblaient plus à rien, le cœur détruit, je les regardais, un instant, la culpabilité me rongeait, qu'avais-je fait ? J'attendis que l'assemblée se disperse, pour m'avancer vers le jeune garçon, que j'éloignais au plus vite. Je me rendis très rapidement chez lui, j'assemblais quelques affaires, sous le regard des enfants, avant de les emmener avec moi. J'étais accompagnée d'un jeune homme de 16 ans, le garçon de toutes à l'heure et une petite fille de six ans à peine, je devais les mettre en sécurité, avant que Lucius n'essaie de les changer. Oui, je commençais à connaitre Lucius, il souhaitait soit leur faire du mal, soit les transformer en monstre. J'ai déjà laissé leurs parents mourir, je ne peux les laisser souffrir, vous comprenez. Arrivé à leur niveau, je les pris dans mes bras, avant de prononcer un mot, unique, mais remplis de tristesse. - Pardonnez-moi, je vous en pris quand vous comprendrez, pardonnez-moi ! Les suppliais-je. Sans attendre de réponse de leur part, je les téléportais dans un endroit inconnu... Je suis de retour dans ma chambre, une chambre, qui me parait désormais sombre et sans vie, mon cœur est sombre et meurtris. Les larmes aux yeux, je courus m’enfermer dans ma salle de bain, j'avais mal, je ne voulais plus les voir, je voulais être seul face à ma douleur. « haaaaaaaaaaaaa ! » Le cri de ce jeune couple raisonné dans ma tête sans cesse. Encore et encore, ils persistaient, ils seront sans fin, aujourd'hui et demain, j'ai été lâche... En larme, je fermais la porte de ma nouvelle entre, avant de me laissé tomber, le long de la porte. Je pouvais voir le soleil ce coucher, la lune s'éveillait, tandis que mes larmes redoublées, ma vie s'assombrir, mon cœur se noyais dans un océan de tristesse. Plus de rire pour moi, un monde de misère, voilà ce qui me resté, je n'étais plus rien, juste l'ombre de moi-même. Ils ont fait de moi, une sombre personne, il y est finalement parvenu. - Taylor ! Ouvre-moi la porte, se fit entendre la voix de Khithoka. - NON ! Je veux être seul, je ne veux pas te voir, laisse-moi, le suppliais-je la voix brisée par la douleur. Rapidement, j'entendis la porte ce refermé, signe qu'il avait quitté la pièce, le silence qui s'installa dans la pièce, fut une source de réconfort, il m'avait écouté, il m'avait laissé seul, enfin, c'est ce que je pensais, je pensais avoir enfin le calme que je désirais, lorsque j'entendis un son, enfin, je devrais dire, la vitre de la salle de bain se brisa. Surprise, je me repliais sur moi-même, rassemblant mes genoux contre ma poitrine, lorsque deux bras m'entourèrent. Il me caressa le dos, essayant de me réconforté, en vain, j'étais inconsolable, je me sentais faible et sans vie. Il continua ses caresses, avant de se décaler de moi, puis il me regarda droit dans les yeux, avant de me reprendre dans ses bras, d'une manière plus possessifs. Doucement, il me prit dans ses bras, en mode princesse, je devrais dire, avant de m’emmener sur mon lit, il m'ôta mes chaussures, puis il m'installa convenablement, avant de me couvrir. Je pris un cousin, que je plaquais contre ma poitrine, espérant ainsi me réconforté, en vain. Je fermais les yeux, espérant trouver le sommeil, mais ce fut le contraire qui se produisit. " - Je vous promets de vous sortir de là, je vais vous sauver, affirmais-je en le regardant droit dans les yeux. - Pourquoi feriez-vous ça ? Me questionna-t-il paniqué. - Parce que vous êtes innocent, affirmais-je. Je tournais le regard à droite, c'est a ce moment que j’aperçus deux torches humaines, un cri strident provenir d'eux, qui courait dans tous les sens, essayant d'éteindre les flammes qui prenaient possession de leur corps, elle avait déjà mangé tout leur vêtement. » Je me réveillais d'un coup, en sueur, mes mains saignées, signe que je venais d'y enfoncer mes ongles, enfin mes griffes. Je ne ressentais pas la douleur, je revivais la scène en boucle. En me redressant, j’eus comme le réflexe de me téléporter, ou est-ce que je suis ? Ce n'est lorsque je rouvris les yeux, que je compris, j'étais dans les bras d'un homme puissant... Le lendemain, je me réveillais le cœur moins lourd, vous savez la vie et dure, la rage peut être un poison, bien plus puissant que n'importe quel plan bien programmer, je vais leur faire payer, lui faire payer à lui précisément. Je me dirigeais vers la salle de bain, m'admirant un instant, dans la vitre en face de moi, j'étais dans un piteux état, rapidement, je pris une douche avant d'afficher une mine sadique, je changeais en un claquement de doigt la couleur de mes yeux. J'ai tout prévu, ils ne vont plus jamais connaître la Taylor, gentille, aujourd'hui, je me prénomme « La redoutable ». Je ne faiblirai plus devant quiconque, mais pour cela, je vais devoir amplifier mes pouvoirs, je vais devenir plus forte, plus jamais mon erreur ne se reproduira. Je ne suis ni faible, ni soumise, ils le comprendront bien assez vite. Afin de cacher mon état, je me maquillais plus que d'habitude, j'allais leur prouver, leur faire regretter mon changement, j'enfilais ensuite un gilet noir. Je vais avoir l'honneur de prendre mon petit déjeuner avec mon "beau père", je vais pouvoir m'entretenir avec. Sans prendre le temps de réveillé Khitoka, qui avait l'air de dormir profondément, je me dirigeais vers la salle à manger. D'une démarche diabolique, j'ouvris les portes d'un mouvement brusque et rapide, sans même attendre leur autorisation, je m'avançais vers mon siège, avant de m'y installé, encore une fois sans avoir eu l'autorisation. Le regard de Lucius, en disait long, il avait l'air intrigué, sans pour autant être surpris, c'est tout le contraire, même, un sourire s'afficha sur son visage. Ark, je vais l'é*****r, lui ouvrir le thorax, pour lui arrachait le cœur, le faire bouillir, avant de le donné à manger à un chien, je lui enlèverais sa peau, pour en faire un manteau, ses os me servirons de portes manteaux, tendis qu'avec ses mains, j'en ferai des frottoirs ou des grattoirs pour chien... Cet homme m'exaspère, je n'ai qu'une envie, lui faire payer ce qu'il a fait, il n'est rien, mais se prend pour un roi ! Un jour, je l'aurais, maintenant que mes pensées, son sécurisé, croyais moi que j'aurais le champ libre. Sans faire attention à ce qui m'entourait, je dégustais mon petit déjeuner, après avoir remercié mon serveur ! Oui mauvaise idée, cependant, à partir d'aujourd'hui, je ferai ce que bon me semblera, plus de filtre, il n'y aura aucun compromis. - Alors là, je ne pensais pas me réveiller sans ma déesse à mes côtés, se fit entendre Khitoka qui venait à peine d'arriver. Sans répondre, je pus l'entendre s’approcher, il posa ses mains sur mes épaules avant de déposer un b****r sur mon front, c'est à ce moment que je répondis. - Hahaha déesse, tu ne te souviens pas, de ce que je t'ai fait hier, tu as déjà oublié ma petite leçon ? Avouais-je avec un sourire sadique. - Comment l'oublié ! Oui, j'avoue, on rentre toujours dans le délire de l'autre, même-ci, on raconte des bêtises phénoménales. À l'évocation de la nuit dernière, un sourire s'afficha sur mon visage, je veux bien vous dire ce qui s'est passé, mais c'est absolument privé. Je ne vais pas vous faire des dessins, vous comprenez, la vie n'est pas facile, mais lorsqu'on est entouré par les bonnes personnes, alors elle devient... Merveilleuse ! Oui, elle était juste incroyable. Après cet amusant échange, il repartit, m'avouant qu'il ne tarderait pas à revenir. Je continuais donc à manger mon déjeuner, c'est là que Lucius revient à la charge, ok, il ne va pas me lâcher celui-là. Là tout de suite, j'ai une super idée, oui, je vais lui couper la langue ça lui évitera de parlé, non, je ne rigole pas. - Je vois que le spectacle d'hier vous à changer, j'en suis ravi ! S'enthousiasma-t-il. - Changez ! Jamais, vous ne pourrez pas comprendre, ce que ce mot signifie, je n'ai jamais changé, j'ai juste grandi. Appris une chose primordiale. J'ai aussi compris que vous ne serviez à rien. Répondis-je sans mâcher mes mots d'une voix sadique. Ma remarque n'a pas dû lui plaire, puisqu'en deux minutes, je fus plaqué contre le mur, encore une fois une pression se fis sentir contre mon cou, cette fois, je ne me laissais pas faire, je voulais qu'il appuie plus, je voulais avoir mal, comprendre de quoi il était capable, c'est aussi simple que ça. Le trouvant ridicule, je me moquais de lui, avant d'entendre une voix hurler mon nom, mais ce fus trop tard, je finis par m'évanouir... À mon réveil, j'étais dans ma chambre, un mal de tête se fis sentir, si vous saviez, je crus que ma tête, allez exploser. C'est là que Khitoka se redressa, visiblement très en colère, il me fixa un long moment avant de commencer à faire les cents pas. J'essayais de me souvenir, que venait-il de se passer ? Puis, un flash me revient, mais pas celui que j'espérais. « hahahah !!! » Non sa suffis, j'en peux plus ! Pourquoi je n'ai pas était capable de tenir ma promesse? « Pour qui te prend tu ? Penses-tu pouvoir m’impressionner, maintenant que tu as changé ? » « Lâchez là, père ! » Puis ce fut le trou noir à nouveau, et me revoilà dans ce lit, Khitoka était à mes cotées, il n'avait pas l'air content, il s'était calmé, enfin, c'est ce que je croyais bêtement. « - Qu'est-ce qui t'a pris, tu es folle, à moins que tu souhaites vraiment mourir, qu'à-tu fais ? Tu m'expliques, tu aurais pu y laisser ta peau, provoquer ainsi, mon père, tu connais pourtant les risques, alors pourquoi ? S'emporta-t-il. - Il les a tuées et je ne les ai pas sauvés, je pensais y arriver, mais j'ai été déconcentré, je suis aussi coupable que ton père ! Avouais-je tristement. - Qu'est-ce que tu racontes, tu as sauvés leur enfant, tu as préservé ce qu'il a vue, tu ne penses pas que ses parents aurait préféré ça, à la vision que leur enfant aurait pu avoir ? Mais, tu crois que défier mon père les feras revenir ? Je comprend ce qu'il veut dire, j'ai mis ma vie en danger, sans penser aux conséquences, j'ai été égoïste. Je n'y avais pas pensé, je confirme, il m'avait tellement m'y en colère, que je n'y avais pas fait attention, je sais que j'aurai dû être plus prudente, mais voilà, vous pouvez essayer de comprendre ? Après des minutes à me sermonner, il me prit, enfin, dans ses bras et me fait promettre de ne plus jamais recommencer, il m'a aussi fait promettre que je m'excuserai, j'étais si en colère, que je n'arrivais pas à croire qu'il puisse me faire cette demande, j'aurais aimé lui mettre une gifle, mais il m'expliqua en détail le comment du pourquoi. J'étais dans le salon, les mains derrière le dos, la tête baissés, je m'approchais doucement du sorcier, avant de m'excuser à voix basse, il n'en fut pas satisfait, je dus vraiment me contrôler, pour ne pas lui sauter au cou. Si je n'avais pas eu Khitoka à mes côtés, je vous avouerais, je n'aurais pas eu la même patience. - Je veux savoir où sont les enfants, à ce moment, je vous pardonnerai, m'ordonna-t-il méchamment. - Je les ai tués ! Répondis-je froidement. Mon aveu n'était pas assez convaincant, alors sans attendre, je lui prouvais mes dires. « - Où somme nous ? M'interrogea la petite fille. - Null part ! - Je veux ma maman ! Pleurnicha le petit garçon. » C'est après quelques minutes, que j'arrachais la trachée du petit garçon, celui même qui pleurer, je coupais ensuite la tête de la petite fille, le plus âgé, avait été le plus coriace, il avait voulu me défier, et c'est sous mes crocs qu'il perdit la vie. J'avais exécuté ses enfants sans aucune pitié, une noirceur avait pris procession de moi, je n'avais eu à cet instant, qu'une envie, leur faire plus mal et c'est ce que je fis, sans aucun remord, si vous m'auriez vue... Je leur montrai chaque détaille, sans en louper un ! Maintenant, ses enfants étaient en sécurité, plus personne n'allait les mettre en danger, c'était ma mission, je l'ai accomplis sans état d'âme...
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