The Wolf love le combat Tome 2

Chapitre 3

Oui, la vie ici m'a changé, qui ne changerez pas à leur côté, dites-moi ? Personne, pas une personne ne resterait neutre, dans un monde aussi sadique, qu'est ce monde... Moi-même, je n'ai pas réussi à rester celle que j'étais, pourtant, j'ai lutté comme j'ai pus, pour rester la femme de Shone. Encore une fois, je n'ai pas réussi, j'ai complètement changé, je ne suis plus celle que j'étais hier.

Aujourd'hui, je ne suis plus que l'ombre de moi-même, ils vont comprendre l'erreur, qu'ils ont commis et je vous assure, qu'ils vont le regretter d'avoir été aussi cruelle, regretté d'avoir croisé mon chemin. Fier de lui, Lucius m'applaudit, il avait l'air surpris de ce que j'avais fait, pourtant s'il savait ce qui en est, les images qu'il venait de voir l'enjoué, tendis que Khitoka, me regardait avec un regard in-descriptive, je n'avais jamais ressenti un point aussi fort ce formé dans mon cœur, j'avais l'impression... En vrai, je m'en moque de ce qu'il pense de moi, enfin pas vraiment, je comprends que je suis seul, une chose est sûre, personne, je dis bien personne, ne pourra m'empêcher d'accomplir, ce pourquoi je suis ici. Plus vite je finirai, plus vite, je pourrai retrouver mon ancienne vie.

Une fois la scène finie, je m'en allais à l’extérieur, j'étais plongé dans mes pensées, repesant à mon crime, il peut vous sembler cruelle, mais c'était la seule solution, il allait leur faire beaucoup plus de mal. À peine avais-je posé un pied à l’extérieur, que Khitoka me sauta dessus, dans son regard, je pouvais y voir de la colère, il voulait me tuer, ça se voyait et je le comprends, au vu des images que je venais de voir. Je ne pourrais le blâmer, ça serait cruel, pour tous vous dire, si j'avais été a sa place, j'aurais été bien plus loin que lui, son regard était vide de toute émotion.

Il me regardait d'un regard mauvais, quoi ! C'était un prix fort à payer, mais il valait le coup, je dois dire, après m'avoir donné de v*****t coup, je m'agenouillais au sol, avant de pleurer à chaude larme, je n'en pouvais plus, ma famille me manquer. J'aurais tout donné pour pouvoir... Non ça suffit... Tu ne peux pas penser à ça... Non... Tu n'as pas le droit...

Kithoka était sur le point de me donné un v*****t coup, lorsqu'un loup ébène lui sauta dessus... Non, ce n'est pas ça... Je voulais dire, lorsqu'une bulle se forma autour de moi, j'avais comme cette impression, que l'on essayait de me protéger, moi qui ai fait temps de mal... Taylor, ressaisis-toi, tu ne peux pas perdre la tête.

C'était trop tard, mes yeux se fermèrent, avant que je ne sombre dans le néant, mais avant d'être englouti par les ténèbres, je pue décelé la voie, de celui que je pensais dans le camp adverse. À mon réveil, j'étais dans ma chambre, dans notre chambre, ma tête bourdonnée, j'arrivais à peine à ouvrir les yeux, mais, lorsque j'y parviens, Khitoka me sauta dans les bras, comprenant sa peine, je répondis à son étreinte, avant de me souvenir, de ce qu'il m'avait fait. Sky, grogna férocement, tandis que je le bousculais, voulant l'éloigner de moi, je n'avais pas peur de lui, j'étais perdu, voulait-il encore me faire mal ? Rapidement, j’eus la réponse à ma question, lorsqu'il s'excusa mille fois. Il avait tenté comme son père, de se débarrasser de ma louve et moi, je lui en voulais terriblement, et Sky, elle n'avait plus confiance en lui, elle avait été blesser de le voir levé la main sur nous. Le pire, c'est que je m'étais laissé faire, j'avais été faible face à lui! Avais-je d'autre option ? Non, je ne pouvais pas lui en vouloir, il pensait… J'avais tué des enfants.

Je l'avais laissé agir volontairement, j'avais accepté mon sort, je n'ai pas accepté par pure faiblesse, je les fais, pensant que je culpabiliserai moins. Vous savez, quand vous pensez que le monde et contre vous, que les seuls à pouvoir vous rendre le sourire, sont à des kilomètres, vous lâchez simplement prise, vous prenez des risques, même si ça peut vous couter votre vie, vous endurez, subissez, espérant qu'ainsi, la situation soit plus vivable, mais ce n'est qu'un mirage. Plus les jours passes, plus vous sombrez dans ce néant, qui n'attend que votre arrivée.

Khitoka me voyant dans mes pensées se posa à mes côtés, lorsqu'il tenta à nouveau un rapprochement.

- Ne me touche pas, m'emportais-je contre lui avant de le stoppé net dans son élan.

- Je... Pardonne-moi, j'ai perdu la tête... J'ai eu tellement peur que tu deviennes comme... comme mon père... J'étais en colère, contre moi, mais aussi contre toi et contre lui... M'avoua-t-il en baisant la tête.

- Pourquoi ?

- Je t'ai entrainé ici, si tu as changé, c'est ma faute ! Pas le tienne ! Depuis le début, il s'agit de mon plan, je t'ai convaincu de te joindre à moi, j'ai peur d'avoir faillis à ma promesse, celle de te protéger de mon père. M'expliqua-t-il d'une traite.

- Ça n'explique pas ton geste ! Pourquoi avoir voulu me blesser, m'emportais-je contre lui.

- Je pensais que te mettre en colère, te ferais reprendre tes esprits, je pensais qu'ainsi, je retrouverais la Taylor que j'adore ! Je ne voulais pas réellement te faire du mal, j'ai perdu le contrôle ! Je m'en veux si tu savais. M'avoua-t-il.

- Je n'ai pas changé ! Me penses-tu réellement capable de faire du mal à des enfants, de tués de sang froid, sans aucun remord ?

- Je ne sais plus, hier, je t'aurais dit, non, aujourd'hui, j'ai peur, peur que mon père est réussi, ce qu'il a réussi avec sa maitresse ! Elle était si pure, si tu voyais ce qu'elle est devenue, si Jordan n'étais pas arrivé, je ne sais pas ce qui se serait passé.

Jordan était celui qui m'avait provoqué pendant l'affrontement, celui qui avait osé amener sa sœur aux champs de bataille, oui, ce n'étais pas son idée, c'était celle... Oui, toujours le même, on ne le présente plus, notre fameux Lucius, il ne l'avait même pas consulter. C'est cette même personne, qui m'a sauvé aujourd'hui, il était puissant, bizarrement, un lien nous unissait, lequel, ça reste à voir, je dois découvrir ce qui nous unit. Vous me connaissez aujourd'hui, lorsque je m'attache à une personne, j'ai l'impression de faire de l'ombre à... Non, jamais, je suis sûr qu'il comprendra ma décision, qu'il ne m'en voudra pas, mais si… Non, non, Stop.

- De toi à moi, on sait que, jamais, tu te serais pardonné de l'avoir tué, de plus, je t'aurais tué après t'avoir torturé évidemment, intervenu une voix masculine au seuil de la porte.

Sans perdre de temps, il vint se réfugier dans mes bras, il s'assura que j'allais bien, vérifiant, dans le moindre détail que je n'avais aucune plait, inquiet. Amusé, je le regardais faire, avant de lui dire ironiquement.

- Aie ! Fis-je mine de faire.

- Fait attention, grogna Khitoka

- Dis, celui qui lui a affligé ses blessures, cracha-t-il avant de s'adresser à moi : Mince, je t'ai fait mal ?

- Rassurer moi ! Vous vous souvenez que je suis une louve, mais aussi une sorcière, ce qui veut dire... Débutais-je avant de les laisser réfléchir.

- Que tu cicatrises plus vite que nous deux réunis, je sais, mais c'est toujours bon de s'en assuré, et je te signale, que tu as fait un malaise, répondit Jordan au tac-o-tac.

- Oui, par pure faiblesse, voilà tous !

N'allais pas me demander comment, mais depuis notre combat, enfin, surtout depuis notre retour, je m'étais rapproché de beaucoup de personne sur ce territoire, en particulier de Jordan. Depuis notre première rencontre, j'avais cette impression de le connaitre, mais aussi de l'aimer, c'était une drôle de sensation, en plus d'avoir ce lien qui nous unissez. Je dois découvrir, ce qui nous unit, mais avant tout, je dois me remettre au travail, je ne dois pas oublier, mon objectif premier, devenir plus forte et retourner aux côtés des miens. Je dois tous mettre en œuvre, pour y parvenir, je le dois à ma famille, mais pas seulement, je le dois surtout à ceux qui m'aiment, mais qui n’ont plus aucun souvenir de moi, je crois que lorsque j'y retournerai, je ne serai pas seul.

J'ai tellement de chose a élucidé, mais tous d'abord, je dois le battre, le mettre au sol, l'affaiblir et découvrir qu'elle est la raison de sa colère, celle qu'il a contre moi. Je sais que je suis puissante, qu'il veut que je sois à ses côtés, qu'il veut faire de moi son pantin, mais qu'elle est ses réelles motivations ?

Tout combattant à des points fort, mais aussi des point faibles, une fois ses faiblesses détecter, il peut devenir la cause de sa mort, et une fois toucher, il ne pourra se relever, à terre et sans repère, il se fera bouffé par son prédateur.

La force à ses limites, que même le plus brave des combattants ne peut contrer, lorsqu'un combattant et au sol, il ne peut se relever, sauf, si on lui laisse le temps de respirer. Or, je n'ai pas cette chance, blesser ou non, je dois me remettre sur pied avant que l'on ne m'écrase, telle une mouche sans défense, faiblir, serait signe de défaite. Je dois me préparer pour ce combat, celui qui se prépare, je ne peux plus me reposer sur les autres. Je vais devoir apprendre à me connaitre, mais aussi connaitre mon adversaire, point fort, ainsi que points faibles. Je ne sais combien de temps ça me prendra, mais j'y parviendrais.

- Qui est sa maitresse ? Les questionnais-je, en me souvenant des propos de Khitoka.

- Une femme unique, qu'il y a fort longtemps, était d'une douceur à faire fondre les cœurs, elle était puissante et pure, jusqu'à la mort de son âme-sœur, la tristesse l'emporta, laissant libre cours à sa puissance, aujourd'hui, elle est devenue ce qu'elle redoutait, m'expliqua Jordan qui avait l'air de tous connaitre de cette femme.

- Mais c'est affreux, Khitoka, ton père n'a pas... De... Commençais-je a paniqué en imaginant qu'il pourrait utiliser cette même technique avec moi.

- Ce n'est pas dans ses projets, tu m'as dit que tu avais jeté un sort puissant, pour les protéger !

- Évidemment, j'ai pris mes précautions, mais tous est possible.

Sans suivis d'un long et pénible silence, je dois à tous prit lui faire croire que je suis de son côté, d'une manière ou d'une autre, je ne peux pas prendre de risque. Je vais échapper à ses radars, lui faisant croire, que j'ai basculé du côté obscure. Rapidement, je lançais un sort de dissimulation, afin de cacher mon empathie. Titubante, je sortis de cette chambre, où je suffoquais, mes amis à mes côtés, ils avaient essayé de m'arrêter. Je dois accélérer les choses, jamais, je n'accepterais que ma famille soit la cible de Lucius.

J'arrivais à l'extérieur, je me transformais en louve, avant d'essayer de lancer des sorts, je dois me renforcer, que je sois en humaine, ou sous ma forme Lupin, ma puissance ne doit pas changer d'un poile. À cet instant, je ressentis le manque de mon jumeau, son absence ce fait sentir, que ce soit dans mes pouvoirs, mais aussi dans ma forme. Ma grand-mère m'avait prévenu de ce qui pouvait bien de produire, s'il n'était pas à mes côtés, le simple fait de me souvenir de ce jour, ou je l'ai crue mort, me ronge de l’intérieur.

Flash back....

J'étais dans ma chambre, au côté de Shone, nous étions en train de parler de notre avenir, lorsque je m'effondrais au sol. Rapidement, je compris ce qui se passait, sans attendre, je me redressais, malgré la douleur que je ressentais, j'avais l'impression que l'on me volait quelque chose. Une fois sur mes deux pieds, je me mis à courir hors de ma chambre, je n'eus même pas le temps de franchir le seuil de la porte, que tout devient flou, affaiblis, je fermais les yeux, me concentrant pour reprendre mes esprits, lorsque, je rouvris les yeux, j'étais dans sa chambre, les couleurs avaient repris leur norme.

Devant mo, se tenait Tara, au-dessus du corps de mon frère, un couteau à la main, non une dague en argent ! Non ? Ce n'est pas possible, pas elle, non, elle ne peut pas… Sans contrôler ma force, je la propulsai contre le mur, avant de m'effondrais devant mon frère, comment avait-elle pu faire ça ?

- Je ... Taylor ? Commença Tara comme choqué.

- Ne parle surtout pas, sinon, je ne sais ce que je vais te faire, je pourrais t'arracher la gorge, tu entends, je ne veux plus jamais t'entendre. Là, stoppais-je net dans son élan, rongé par la colère.

Je ne voulais plus l'entendre, elle avait osé, elle s'était allié à eux, elle nous avait trahis, elle avait trahi mon frère, la rage prenait le contrôle de mes pensées, je ne voulais plus l'entendre. À l'entente de ma phrase, elle s'effondra en pleurs, tendis que je posais ma tête, sur le torse de mon frère. J'étais dévasté par cette scène, il n'avait pas le droit de m'abandonner, en larme, une idée me passa par la tête, ça devrais marcher, je ne veux pas le perdre. Voilà ce qui me donnait la force...

Sans réfléchir, je me mordis le bras, avant d'administrer mon sang dans la bouche de mon frère. Un jour ma grand-mère m'avait dit, que mon sang avait une propriété guérissante pour mon jumeau uniquement, admis avec la bonne formule.

Je suivis donc les instructions qu'elle m'avait données, lorsque je sentis cette douleur au cœur, un cri incontrôlable sortie de ma bouche, je crus un instant m’évanouir, avant de me ressaisir, c'était insupportable, je ne supporterais jamais de le perdre. Depuis que je le connais, j'essaie, enfin, nous essayons un maximum de rattrapé le temps perdu que nous avons perdu. Je sais que le lien qui nous unit est unique, que personne ne pourra le remplacer, ni le comprendre. Les larmes aux yeux, je me décidais enfin a récité la formule, que j'avais apprise...

Après avoir prononcé la formule, d'avoir ajouté mes pensées, une lumière blanche apparue sur mes mains, un symbole se dessina avec mon sang, tous s'enchaina et ce fut le troue noir...

Fin du flash back...

Me rappeler qu'il avait manipulé ma meilleure amie, qu'il avait pris possession de son corps et de ses pensées pour m'atteindre, augmenta ma force de frappe. Un cri strident sorti de mon âme, avant même de comprendre ce qu'il venait de se passer, j'avais repris forme humaine, les images de mon frère baignant dans son sang défilèrent...

- NONNNNNNN ! Hurlais-je comme pour couper court à ses images qui brisé toutes mes barrières.

Mon cœur battait plus vite que la normale, j'avais l'impression que du feu circulé dans mes veines, je ne parvenais plus à reprendre mes esprits, je n'avais plus le contrôle, je sentis mes pieds quitter le sol, puis plus rien ! À mon réveil, j'étais au sol, Khitoka et Jordan, se tenaient au-dessus de moi, je voyais de l'inquiétude dans leur regard. Je ne sais pas ce qui venait de se passer, j'étais perdu, autour de moi, certaine personne me regardait d'un air... Impressionné, mais je n'y prêtais pas plus attention, ce que je me demandais, c'est ce qui avait bien pu se produire, j'avais tellement de question, mais je n'avais pas le temps de les poser, sans attendre, je me redressais, avant de demander à Khitoka de se battre contre moi.

D'un air grave, il refusa, avant que Jordan ne m'attrape, qu'il ne me jéte sur son épaule, tel un sac à patate, j'hurlais de mécontentement, lui demandant de me lâcher, mais Khitoka, confirma, qu'il devait m'emener chez lui et qu'on aurait une grande discution. Comprenant que j'allais revoir ma petite Lizzie, je me calmais, le laissant m'emporter, sans me débattre. C'est vrai que ça devait faire un petit moment, que je n'avais pas vue cette chipie, je dois dire qu'elle me manque, j'aimerais pouvoir l'emporté avec moi, la mettre en sécurité, mais elle ne sera jamais plus en sécurité qu'au côté de son frère, ça serait cruel de ma part de l'en éloigner.

Ce territoire est un lieu, ou une guerre va bientôt éclater, aucun enfant ne devrait connaitre ce genre de chose, vous savez, on dit : Quand la mort nous attrape, elle ne nous lâche plus.

Je devrais dire, quand un monstre existe, la mort le suit, vivre à ses côtés, serait entrainer, sa propre mort. Alors, pourquoi vouloir vivre à ses côtés ? S'il nous inspire la terreur. On pense, peut-être, pouvoir lui échapper, mais j'ai entendu dire, qu'un homme avait tenté de s'enfuir, mais qu'il avait mal finis... Je crois en mon retour, mais rien est certains et dans quel état serais-je ?

- Taylor, tu m'écoute ? Ce fit entendre Jordan.

- Heu ... Je... Tu... M'est... Je ... tu ... bafouillais-je avant qu'il ne me coupe en ricanant.

- Désolé, j'avais oublié que ton cerveau avait un trop-plein de sang ! Tu me répondras plus tard.

Ah sa remarque, je ne pue m'empêcher de rire, c'est vrai que, mes bafouillages m'arrivaient de plus en plus souvent, j'aime bien me perdre dans mes pensées, elle m'apaise. Une fois arrivé chez lui, il m'autorisa à poser les pieds au sol, après avoir ouvert la porte, une petite bouille lui sauta dessus. Mais, en me voyant, elle ouvrit en grand les bras, avant de se penchait vers moi, elle faillit tomber des bras de son frère, lorsque je la pris dans mes bras le sourire aux lèvres.

- Coucou Taylor, tu m'as beaucoup manqué, tu sais ? Me questionna-t-elle le sourire aux lèvres.

- Salut princesse, je suis désolé, tu sais que, je n'ai pas le droit à beaucoup de liberté ! Me justifiais-je en rougissant face à son air de chien battue.

- C'est pour notre liberté ! Hurla-t-elle comme une hystérie de sa voix enfantine.

- Lili ! S'écria Jordan rouge de colère.

- Mais grand frère !

- Jordan ! M'emportais-je contre celui-ci.

- Mais quoi ? Tu m'es ta vie en danger pour nous, nous devons nous faire discrets ! chuchota-t-il en s'approchant de mon oreille.

À l'entente de cette réponse Lizzie, se couvrit la bouche, avant d'ouvrir, les yeux en grand, puis elle chuchota si bas, que j'aurais pu ne pas l'entendre.

- Je chavais pas que c'était un secret pardon ! s'excusa-t-elle.

- Hein ! s'empressa de dire Jordan qui n'avait pas entendu.

- Chute, c'est un secrettttt !

- Arrêté tous les deux ça suffis ! Répondis-je en souriant.

Rapidement, nous préparons un souper, Lizzie, c'était endormi rapidement, au vu de l'heure actuel 22h30, c'est normal qu'elle s'endorme, nous avons même exagéré.

Après avoir nettoyé un peu, je m'installais devant un film, lorsque Khitoka frappa à la porte, je reconnus assez facilement son odeur, j'adore quand mes sens s’aiguisent !

Khitoka arriva accompagné de mon ami, un air grave au visage.

Sérieusement, je n'aime pas, quand je ne comprends pas ce qu'il se passe, c'est assez effrayant, on aimerait tous savoir, mais les choses, se complique, on voit les gens grandir. Nous sommes, comme un champ de fleur, nous fleurissons puis un jour, n'importe quel jour, nous fanons, par la suite, nous laissons la place à d'autre fleur, pour qu'elles fleurissent à leur tour.

J'observais mes amis, attendant patiemment, qu'ils me disent, ce qui n'allait pas, je ne suis pas le genre à forcer les chose, je préfère, quand les choses viennent naturellement.

- Taylors ! Débuta Jordan

- Enfin, je pensais que vous n'alliez jamais me dire ce qui se passe !

- Tout à l'heure, qu'est-ce qui s'est passé ?

- Heu, j'ai voulu m'entrainer à jetée des sorts, sous forme lupins, mais en repensant à ce qui... à ce que ton père a tenté de faire, j'ai perdu contrôle, tu comprends !

- Qu'a-t-il fait ? Me questionna Jordan intrigué...