XX Suite de la journée orageuseUne espèce d’office où, au milieu du tracas ménager de Brigitte, avait commencé la situation qui suit son cours, n’était pas un lieu convenable pour l’entretien demandé par la Peyrade : on passa donc au salon en attendant Céleste ; aussitôt qu’elle parut, pour se conformer au programme qui venait d’être arrêté : – Mon enfant, lui dit Thuillier, ta mère nous apprend des choses qui m’étonnent : serait-il vrai, quand ton contrat aurait dû être signé hier, que tu ne sois pas encore décidée au mariage que nous avons arrangé pour toi ? – Mon parrain, répondit Céleste, un peu surprise de la brusquerie de l’interpellation, il ne me semble pas que j’aie dit cela à maman. – Est-ce que tantôt, dit Flavie, vous ne me faisiez pas l’éloge le plus exalté de M. Félix Phe