Chapitre 10 : Laissez tomber vos peurs II

1260 Words
Il se concentre à nouveau sur mon centre, sa bouche et sa langue continuent d'attaquer mon c******s et mes lèvres, tandis que ses doigts me pénètrent sans pitié. — Jean, j'ai besoin... je... — Je ne sais pas ce qui m'arrive, j'ai besoin de plus de force, mais ensuite, je sens que c'est trop et que je ne pourrai pas supporter l'intensité des sensations. — Tu quoi ? Précieuse — Sa voix rauque fait vibrer mon vagin, il enfonce ses doigts un peu plus fort et aspire puissamment, puis fait glisser sa langue sur mon clito. — Oh, m***e ! — Je hurle, il remue les doigts et je sens mon corps chauffer comme s'il implosait, je hurle, il remue et je tire sur les beaux cheveux de mon mari et je hurle encore comme une folle, comme je ne l'ai jamais fait auparavant, comme je n'aurais jamais cru pouvoir le faire. — Précieuse ? — La voix douce et interrogative de Jean me ramène sur terre. — Est-il toujours comme ça ? — Murmure-je. Je ne peux pas croire ce qui vient de m'arriver. — À toi de me le dire — Le corps de Jean glisse sur le mien et ses lèvres déposent un doux b****r — C'est toujours comme ça, Jade ? — Me demande-t-il en me regardant dans les yeux. — Je ne sais pas, c'est la première fois que je le ressens — Ses yeux pétillent et sa bouche prend la mienne. Jean s'assoit sur le tapis, prend mon corps dans ses mains et me pose sur ses genoux. — Prends-moi, mon trésor. — Sa déclaration me bouleverse. Je sais qu'il l'est, il me l'a prouvé il y a quelques heures et malgré tout ce que j'aurai à affronter lors de notre retour dans le monde réel, je suis à lui aussi ! Il m'aide un peu à me relever, il est assis, les pieds tendus, je le regarde dans les yeux et m'accroche à son cou, glissant tranquillement contre sa grosse bite puissante. — Tu veux qu'on se protège ? — Il me demande une seconde avant que je ne finisse de le prendre en moi, il gémit et je gémis en le sentant entièrement en moi. — Je suis clean. — Il me regarde étrangement. — J'ai toujours utilisé des préservatifs avec ton... — Il m'embrasse, avant que je puisse continuer ma phrase. — J'ai un implant et je te fais confiance. — Mes derniers mots le font frémir, au milieu de notre étreinte, je peux sentir chaque réaction de son corps. — Tu es incroyable ! — Me dit Jean, avant d'approcher ses mains de mes hanches et de me faire lever et glisser à nouveau sur lui, la première sensation de son pénis éclatant fort en moi, me coupant le souffle. — Jean ! — Je dis son nom et commence à bouger à la vitesse qu'il désire. Mes seins sont pressés contre son torse, je plie les genoux et m'accroche à son cou, je monte et descends avec puissance, j'ai besoin de plus de friction, de le sentir, plus fort, plus profond. Mes mouvements sont incontrôlés, j'ai toujours été prudente au lit, mais à cet instant, j'oublie toutes mes peurs et je laisse l'instinct prendre le dessus pour répondre à Jean en me donnant à fond. Jean déplace ses mains dans mon dos et se penche un peu, abaissant mon corps presque jusqu'à ses jambes. Mes cheveux crépus s'éparpillent sur le lit, alors que je sens une de ses mains me toucher et descendre le long de mon ventre jusqu'à mon épaule, où il attire mon corps contre le sien et continue à me pénétrer, me montrant le rythme. Je le sens bouger et se mettre à genoux devant moi, mes jambes pliées créent un angle dans mon dos, Jean soulève mon corps et me pénètre à nouveau. — m***e, Jean — je le sens dur. C'est comme si j'étais une poupée qu'il pouvait manipuler à sa guise, il bouge avec précision et intensité et je soulève mon bassin en posant ma tête sur la moquette et en m'accrochant aux draps. L'angle de mon corps lui permet de nous voir face à face. Je lève les yeux et mon souffle se bloque. Je pousse fort, je me laisse aller. Je pousse encore, le rejoignant à mi-chemin et tout s'emballe. On entend le bruit de nos bassins qui s'entrechoquent. Son pénis pénètre avec de plus en plus de puissance. Je tends les bras pour essayer de le toucher. Jean prend mes mains et tire mon corps vers lui. Instinctivement, je glisse mes jambes sur ses hanches et presse mon corps contre le sien. Malgré notre étreinte, nous continuons d'avancer, Jean reprend sa position initiale, me tenant le corps alors qu'il s'assoit sur le lit et écarte les jambes. Je me remets à bouger avec puissance et rapidité. Je gémis à chaque poussée qui me laisse à bout de souffle, je m'accroche à son cou et l'embrasse, ma tête presque au niveau de la sienne, ses cheveux blonds et lisses contrastant avec les miens sombres et crépus. Ma main glisse le long de sa nuque et j'approfondis le b****r, mon corps commence à se tendre alors que mes parois vaginales se contractent et que le besoin d'aller plus vite est inévitable. C'est ce que je fais, je gémis, cherchant désespérément quelque chose qui me manque. Je m'enfonce plus fort contre sa bite et je crie. Je l'embrasse à nouveau, je mords ses lèvres et je me presse contre son corps, tout en sentant la force de ses mains sur mes hanches, ses mains exercent une forte pression et je bouge en fonction de ses demandes et des miennes. — Jean, j'ai l'impression que je vais me briser en mille morceaux — dis-je de façon incohérente alors que je sens un déclic à l'intérieur de moi et que l'humidité descend. Mes parois vaginales se serrent, je recroqueville mes doigts et le feu m'envahit. — Jean ! — Je crie son nom. Cette fois, en désespoir de cause, j'arrête de l'embrasser en levant la tête et en la basculant en arrière, regardant les couleurs de l'automne et le ciel rougeâtre. Les dents de Jean glissent sur mon cou, je me soulève et retombe contre sa queue. Son grognement rauque et la sensation d'un liquide chaud envahissant mes entrailles pour la première fois me font comprendre qu'il a joui. — As-tu joui, as-tu éjaculé ? — Je regrette ma question à l'instant même où je la pose. — Précieuse, c'est normal dans ces situations — me répond Jean en essayant de contrôler sa respiration. — C'est tellement étrange, je... C'est ma première fois — Jean me soulève le menton et me laisse un petit b****r. — C'est la première fois pour beaucoup de choses. Ma femme. Viens ! Tu dois être gelée. — Il me pousse et j'entends le bruit que fait son membre en sortant de ma cavité et je sens un liquide chaud glisser le long de mes jambes. Oh mon Dieu ! — Allez, prenons un bain ! Prenons un bain. — Il me tire dans ses bras et je crie. Sentant mon corps en l'air, il entre avec moi dans la maison et m'installe dans la baignoire, qui est prête et chaude. Quand a-t-il fait ça ? — Ne me regardez pas comme ça. Apparemment, ils laissent tout prêt lorsque les couples se retirent dans la suite — il m'embrasse à nouveau et sans prévenir, il me met dans la baignoire.
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