Chapitre 11 : Vivre, rire, aimer

1302 Words
Je suis allongée à plat ventre sur le grand lit double, mon corps frémit à la sensation des lèvres chaudes qui glissent sur sa peau. Je soupire, mon cœur s'emballe, j'essaie de ne pas bouger et de laisser Jean continuer ses jeux sensuels. Je sens mon vagin se contracter intérieurement. Nous avons fait cela tellement de fois, et pourtant ce n'est pas assez, et je veux plus. Ses mains caressent mon dos et sa bouche glisse sur mes fesses en suivant le chemin de ses mains. Je sens la chaleur de son b****r glisser le long de ma colonne vertébrale et le poids de son corps contre le mien. Sa bouche atteint mon cou et je soupire à nouveau, frissonnant de tous mes membres. — Ummmmm ! — Je gémis et referme mes mains sur les draps soyeux. — Oh, Nena ! — J'adore sa voix. J'ouvre les yeux et je suis surprise de sentir son sexe en érection. — Tu es à moi ! — Je murmure, remplie d'un sentiment de possessivité que je n'ai jamais ressenti auparavant. Mes doigts s'emmêlent dans ses cheveux et tirent fort tandis que je soulève mon bassin et le reçois passionnément. Je me sens différente, je n'ai jamais ressenti le besoin de posséder mon cuir avec autant de force et de passion, et encore moins d'y répondre d'une manière aussi naturelle et élémentaire. Jean tend le bras et s'appuie contre le mur, je glisse ma jambe par-dessus et soulève mon bassin un peu plus haut, agrippant le drap d'une main, ce qui me permet de m'ancrer, puis de bouger avec beaucoup plus de puissance. Jean embrasse mes seins, puis m'attrape le menton avec son autre main, me forçant à le fixer. — Je suis à toi, nena? — Je me mords les lèvres et acquiesce, tandis que sa bite s'enfonce à nouveau avec puissance. J'ouvre la bouche, gémis et hoche la tête en réponse à sa question. — Tu es à moi — murmure-je en tirant sur ses cheveux, et sa prochaine poussée me coupe le souffle : — Seulement à moi, pour toujours — je m'appuie sur le lit et me hisse un peu plus haut, faisant vibrer son bassin contre le mien. — Je suis tellement perdue en toi que je veux juste que tu me sentes quand je serai forcée de sortir de toi — je m'approche de ses lèvres et je le mords. — Tu me fascines. — Je lui dis, sentant la chaleur de ses lèvres près de ma joue. — Il t'a fallu du temps pour t'en rendre compte. — Il me murmure à l'oreille et je souris. — Il t'a fallu du temps pour venir me chercher — réponds-je en capturant ses lèvres et en me perdant dans un b****r passionné. Nous avons mangé l'apéritif dans la salle, trinquant au champagne, nous enivrant d'amour. Mes yeux glissent sur le corps spectaculaire de Jean, qui ne porte que son jean noir et se tient devant la fenêtre, apparemment en train de parler au téléphone. Je suis à nouveau allongée sur le ventre, c'est ma position préférée, car elle me permet de mieux contrôler les frisottis de mes cheveux et aussi, en cette occasion, de jeter un coup d'œil furtif à Jean. Il a quelques tatouages dans le dos, des fesses bien dessinées et des jambes musclées. Je suis en train de devenir accro à son corps, puisque même si je sens encore ses fluides en moi, j'ai envie de l'avoir à nouveau entre mes jambes, me pénétrant sans arrêt. — Alors, nous sommes en route. — J'ouvre les yeux que je venais de fermer quand je l'entends parler dans son téléphone portable. — Bébé, lève-toi. On sort — dit-il en passant à côté de moi et en retirant la couverture qu'il pressait contre mon corps. — Hé, j'ai froid — crie-je en le regardant traverser la pièce et s'habiller à la hâte. — Je te réchaufferai à notre retour — dit-il en s'approchant de moi et en déposant un b****r sur mon épaule nue. — Je ne peux pas sortir en robe de mariée et je n'ai pas de manteau — Je murmure — J'ai sommeil et je veux que tu me b****s toute la nuit — J'ai un déclic quand je vois Jean s'arrêter au milieu de sa marche et je réalise ce que je viens de dire — m***e ! Je porte mes mains à ma bouche et me redresse rapidement dans le lit. Le rire de Jean me sort de ma stupeur, comment ai-je pu lui dire ça ? — Ne ris pas — je murmure en pliant les jambes et en cachant mon visage entre mes genoux. Le rire de Jean s'amplifie et je sens mes joues devenir trop chaudes. — Si tu continues à rire, je vais te frapper — lui dis-je pleine de honte. — Je te laisse me frapper tant que tu as ma bite qui remplit complètement ta bouche — m***e ! Depuis quand on a ce genre de conversation ? — Je suis désolé, bébé. Je suis... Jean ne termine pas sa phrase et me fixe, ne sachant que dire. J'ouvre les yeux, choquée par ses désirs, et alors que nous nous regardons tous les deux, nous nous mettons à rire, ensemble. Comme hypnotisé, Jean s'approche du lit, prend mon visage dans ses mains, se penche et m'embrasse doucement. — Je te jure que j'aimerais remplir chaque partie de ton corps et m'en délecter toute la nuit, mais là, j'ai l'impérieux besoin de te tatouer sur ma peau — me dit-il en chuchotant à l'oreille. — On va se faire tatouer ? — Je saute du lit comme une petite fille le jour de Noël et j'enlace impulsivement Jean en enroulant mes pieds autour de sa taille. Il m'attrape les hanches avec ses mains, mais ne bouge pas de là, pas même de l'inattendu de mon assaut. Jean rit, et je me perds dans le son rauque et sensuel de son rire et dans le regard de ses dents blanches et parfaites. N'a-t-il pas une tache sur le visage, un bouton peut-être ? Je fronce les sourcils et approche mes lèvres des siennes, son sourire s'éteint et il m'embrasse en retour comme s'il était désespéré, comme s'il ne m'avait pas baisée jusqu'à l'épuisement en quelques heures. Je suis encore complètement nue, et la sensation du frottement des vêtements de Jean contre moi est très excitante. Sa bite a grossi en quelques secondes et je déglutis difficilement. Je suis impressionnée ! Jean se déplace avec moi sur ses genoux et vient m'appuyer contre la grande fenêtre, il me tient d'une main, j'entends le cliquetis de sa fermeture éclair, il me regarde dans les yeux et, avec l'intensité de son regard bleu, je ressens la première poussée qui fait frissonner mon corps immédiatement. — Mon Dieu ! — Je gémis en fermant les yeux et en me cognant la tête contre le mur. — Plus fort, mi amor — Le mouvement de Jean s'arrête une seconde et je le regarde un peu effrayée en réalisant comment je viens de l'appeler en espagnol. Je n'aurais jamais pu appeler Thym de cette façon, cela sonnait superficiel, vide, et avec Jean, c'est sorti tout seul et j'aime ça. Je me mords la lèvre inférieure en attendant la réponse de Jean qui passe sa main dans mes cheveux, la fait glisser sur mon visage et l'étend entre ma joue et mon menton. — Tellement belle ! — Il murmure avant de me pénétrer à nouveau et cette fois, sans s'arrêter, accélérant le rythme et me laissant à bout de souffle. — Je vais me le faire tatouer. — Il me répond et me pénètre à nouveau jusqu'à ce que je crie, perdue dans mon o*****e.
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