VM. Merton fut très navré du second ajournement du mariage et lady Julia, qui avait déjà commandé sa robe de noce, fit tout ce qu’elle put pour amener Sybil à une rupture. Si tendrement cependant que Sybil aimât sa mère, elle avait fait don de toute sa vie en accordant sa main à lord Arthur et rien de ce que put lui dire lady Julia ne la fit chanceler dans sa foi. Quant à lord Arthur, il lui fallut bien des jours pour se remettre de sa cruelle déception et, quelque temps, ses nerfs furent complètement détraqués. Pourtant, son excellent bon sens se ressaisit bientôt et son esprit sain et pratique ne lui permit pas d’hésiter longtemps sur la conduite à tenir. Puisque le poison avait fait une faillite si complète, la chose qu’il convenait d’employer était la dynamite ou tout autre genre d