LXVII Suite du chapitre LXVI– En admettant les chances les plus favorables, dit Maurice ; à savoir : que mon père ne me déshérite pas, et qu’il consente à ajouter à mon patrimoine de quoi payer intégralement mes dettes, je me trouverai ne pas posséder un pfennig au-delà de ma pension de mille florins, laquelle, si elle n’est pas supprimée auparavant par une mauvaise humeur de mon père, Ou par une étourderie de ma part, Ou par un accident, Ou, ce qui est plus proche encore, par mon mariage avec Hélène, Ne durera qu’autant que vivra mon père. Rien – ne suffit pas pour un garçon, encore moins pour un homme qui prend femme. – Sans compter les petits, ajouta Richard. – Ne me parle pas ainsi, Richard, tu me ferais renoncer à mes projets les plus fermement arrêtés : je déteste les enfants,