Orlovsky

Selena II

Je me fais installer sur un siège dans un jet privé, Cicatrice dont je ne connais toujours pas le nom me regarde de la tête au pied, il sourit puis tourne les talons. C'est quoi ce délire avec ce type ?! Il n'arrête pas de me reluquer depuis tout à l'heure, je range ma veste que je n'ai pas changer, il ne m'a même pas laisser emballer quelque affaires . Matvey vient se mettre assit en face de moi, ses jambes croisées l'une sur l'autre, il enleve sa veste, baisse son siege en arriere, croise ses bras sur son torse et ferme ses yeux.

" - Vous avez collé se sort a tout le monde ?! Le questionnai-je."

Il ouvre son œil droit me regarde à travers ses son œil mi-clos puis le referme.

" - Seulement à celle dont je suis sûre me rapportera de l'argent.

- Quand va s'arrêter ce travail ?

- Quand tu auras réuni à toi toute seule la sommes que ton père me doit.

- Qu'est-ce qui me prouve que vous me lâcherez vraiment ?! Et qui me dis que vous laissez mon père en vie ? Si jamais vous lui faites quelque chose, je vous jure..."

J'entends un long soupire passer la barrière de ses lèvres, il se redresse, passe sa main dans son visage de façon agacer, il fronce des sourcils et le retour de son regard noir, sa main se loge derrière son dos pour en sortir un revolver. Il se gratte la temple à l'aide du bout de l'arme, mon cœur s'agite et la peur prends place, il le pose sur le siège à côté de lui avant de sourire en voyant mon expression presque terrorisé que je ne veux pas laisser paraître.

" - Continue. Tu me jures que quoi ?"

Il essaie de m'intimider, je ne dois pas me laisser faire, si je lui montre que j'ai peur il va en profiter.

" - Je vais vous tuer.

- Intéressant."

Il reprend la pose qu'il avait et referme les yeux. Je n'ai pas confiance en lui, rien ne prouve que mon père soit en vie mais...Je me suis donner pour pour le sauver, je devais me sacrifier pour lui...

Nous arrivons en Russie, une lamborghini attend entre plusieurs 4×4 noir à vitres teintés, lorsque Matvey apparait, plusieurs hommes sortent des voiture excepté de la lamborghini, il tend sa main vers un homme qui s'approche pour lui tendre des clés après ça il se tourne dans ma direction.

"- Tu as le choix. Tu peux monter avec mes hommes ou monter avec moi. Sache que le choix est très cruciale.

- C'est à dire ?

- Choisi." M'ordonne-t-il d'un ton très ferme.

Je croise le regard de Cicatrice qui avance vers un 4×4, il m'adresse un sourire bien dégueu suivi d'un clin d'eil, même si que je déteste Matvey Orlovsky, je préfère cent fois monter avec lui pour des raisons de sécurité pour moi et pour Cicatrice.

"- Avec vous."

Il hoche la tête, d'un signe de doigts tout le monde monte en voiture, nous restons tout les deux en face de l'autre.

" - Allons-y printsessa"

Je le rejoins dans la lamborghini, il démarre et dépasse les 4×4 à toute vitesse, il ne respecte même pas la limitation de vitesse, je m'agrippe a mon siège par peur de mourir, il est complètent malade ! Il zigzag entre les voitures, il ne met aucun clignotant, je pose les yeux sur lui, son regard quitte la route avec un sourire qu'il m'adresse.

"- Je croyais que tu étais une dure à cuire printsessa.

- Vous roulez comme un taré ! Et arrêtez de m'appeler comme ça !"

Il fait un dérapage en plein centre ville, je l'entends rire derrière son volan, les voiture Klaxonne à chaque intersection, il a même griller un feu comme un malade. BORDEL ! J'aurai du monter avec l'un de ses hommes autre que Cicatrice. Il finit par ralentir après avoir tourner mon estomac dans tout les sens, il s'arrête devant une grande barrière qui cache une grande villa, il tape un code puis la barrière électrique s'ouvre. Il fait le tour d'une fontaine à eau pour s'arrêter devant les escaliers qui mène à une grande porte blanche. Matvey coupe le contacte, puis ouvre la portière, je comprends que je dois faire de même. La porte de la villa s'ouvre, une femme blonde sort, dévalise les escaliers et saute dans les bras de Orlovsky.

"- Chouchou !"

Chouchou ?! Il est avec elle ? Il me faisait du rentre dedans il y a quelque heure. Quel connard. La blonde au yeux bleu, vêtu d'une robe assez fine qui laisse voir toute ses courbes pose les yeux sur moi, elle fronce des sourcils, puis s'agrippe au bras de Matvey.

"- Qui est-ce ? Demande-t-elle.

- Dégage de mon chemin." Lui grogne Matvey.

Elle s'écarte sans dire un mot en me dévisageant, je peux sentir son regard noir. Je retire ce que j'ai dit, il n'est pas avec elle, elle s'imagine sûrement des choses, en même temps avec un homme pareil difficile de ne pas s'imaginer des...Merde. A quoi je pense ?! Tu es censé le détester Selena ! Pas imaginé des choses et bavé sur son visage. Matvey s'approche de moi, sa main vient se poser sur le bas de mon dos.

" - Allons-y, Printsessa."

Je le repousse afin qu'il retire sa main de moi.

"- Ne me touchez pas comme bon vous semble."

Il lève ses mains en l'air, je monte les marches, pousse la porte et reste devant le hall, le sol blanc on peut voir notre reflet, de grande fenêtre au fond avec un table et deux petits fauteuils et de chaque côté des escaliers qui se rejoignent en haut, l'odeur est agréable mais...Bizarre. Très bizarre. Il me fait signe de le suivre à l'étage, je monte avec lui en regardant les alentours, nous arrivons dans un grand couloir avec plusieurs tableau, il s'arrête devant une grande porte bleu, attrape les deux poignée de chaque mains et l'ouvre de toute sa grandeur.

Une chambre muni de grande fenêtres avec un grand lit trois place vu le nombre d'oreille; deux tables de nuit de chaque côté du lit, une grande coiffeuse avec des produits cosmétiques dessus; une grande buanderie, et une salle de bain relier à elle. Il va s'installe sur le petit fauteuil en cuir noir.

"- Ça te plaît ?

- C'est une vrai question ?

- Si tu veux savoir...Tu pourras appeler ton père. Il peut même venir habiter ici avec toi.

- Et ça vous amuse !?" lui demandé-je froidement.

Il se lève du fauteuil, ses mains se logent dans ses poches, il avance à pas féline de moi, j'essaie de garder mon sang froid mais cette aura dominante est presque écrasante, cela me déstabilise au point de faire mon dos rencontré un mur à une vitesse sans que je ne le remarque.

Sa main gauche tatoué m'attrape la mâchoire, son visage se rapproche du miens, mon cœur tambourine dans ma poitrine, mes jambes ne supporte presque plus mon corps...Je serre les jambes en sentant une tout autre sensation m'envahir, je ne sais pas ce que c'est mais mon dieu il me fait de l'effet. Je dois me reprendre, il a menacer de tuer mon père.

Un sourire se dessine sur ses lèvres comme s'il était satisfait de mon état, de ce que ses yeux vert mélanger au gris provoquait en moi. Qu'est-ce qui m'arrive ?

"- Tu devrais aller te doucher et changer de vêtements...Ensuite je te dirai en quoi consiste ton travail."

Il s'éloigne me privant de son eau de Cologne envoûtante, puis se dirige vers la porte, il sort en refermant derrière lui. Je glisse mon dos sur le mur chambouler par ce qui vient de se passer. OH non ! Je dois me ressaisir, il faut que je trouve un moyen de m'enfuir d'ici. Je dois tout faire pour retrouver mon père, et nous enfuir dans un autre pays...En France par exemple. Je veux simplement retrouver mon père...Bref pour l'instant je vais me changer.

Je le lève du sol, retire chaque vêtement que je laisse tomber au sol, je vais dans la salle de bain, entre dans la douche et laisse l'eau chaude me couler dans les cheveux et glisse sur tout mon corps. C'est agréable mais je ne dois pas m'y habitué et penser à une sorti...

Je fini par descendre un chemisier dans une jupe noir qui m'arrive au cuisse, et garde mes bottes noir, je refuse de porter les escarpin de cette armoires, bref à part ça tout va avec mes cheveux en cascade sur mon dos, j'ai fais un maquillage simple et utiliser le flacon de parfum qui était présent. Je déteste ça. J'ai l'impression d'avoir été forcer de m'habiller de cette façon, Nicolai me rejoint dans le hall...

"- Le patron aura un petit peu de retard.

- Où est-il ?

- Attendez dans le salon."

Il me pointe le salon de la main, je soupire, puis entre, je m'installe sur un canapé attendant, mes yeux parcours la pièce assez accueillante, à vrai dire rien n'est effrayant ici on peut se sentir très à l'aise mais...Mais ce n'est pas une maison de vacance mais un endroit assez dangereux proche de l'enfer. Cicatrice entre dans le salon, il se serre un verre dans le bar, se tourne et s'accoude.

" - J'ai hâte que tu sois dans mon lit." Déclare-t-il avec un sourire en coin.

Il boit une gorgée de son Whisky, j'essaie tant bien que mal de l'éviter mais ça me tracasse ce qu'il vient de dire.

"- A quatre pattes entre mes jambes."

Je ne peux pas supporter ça un minutes de plus. Je me lève d'un coup, me tourne dans sa direction en gardant les mètres de sécurité qui nous sépare.

"- Jamais je ne me mettrais à quatre pattes devant toi.

- Tu crois que tu es ici pour quoi ? Pour faire des tresses ? Tu es comme les autres putes de cette villa. Le patron emmène des nanas ici que pour ça."

Je...Je me suis vendu pour être la...C'est..J'ai envie de vomir, au même moment Matvey entre avec un marteau rempli de sang, sa chemise n'a pas échapper à ces tâche, tout comme son visage. Cicatrice s'éloigne pour laisser place à son patron de se servir à boire, les iris gris vert se balandent dans la pièce pour finir sur moi, des milliers de frissons me parcours le corps, un sourire mesquin lui apparaît sur le visage.

" - Selena." IL m'interpelle le regard remplie de mesquinerie.

J'avale ma salive.

" - Tu es déjà là." Continue-t-il en lèvant les bras en l'air.

Il a l'air défoncés.Mes yeux se posent sur le marteau qui continue à laisser tomber du sang au sol blanc, il a tuer quelqu'un ou il l'a torturer. Il pose son marteau rempli de sang sur le bar, attrape un chiffon qui traîne pour essuyer ses mains couverte de sang. C'est effrayant, le pire c'est qu'il apparaît comme ça, il est vraiment tordu. Il s'approche de moi, je n'ose même pas bouger, il me fait signe de reprendre place, quand je disais que ce type était l'enfer, je ne veux pas mourir alors je préfère l'écouter, je reprends place sur le canapé, lui il s'installe sur la table basse, mes jambes se retrouve entre les siennes, son regard m'analyser sur toute les coutures.

"- Vous pouvez arrêter de me regarder comme ça ?

- Comment ?

- Cette façon Perverse de me regarder."

Matvey est prit d'un fou rire qui raisonne dans toute la pièce, j'ai l'impression qu'on peut même l'entendre à l'extérieur. Ses mains viennent se poser sur le canapé de chaque côté de mes cuisses, il se penche à couvrir mon nez de toute son odeur masculine, son souffle chaud caresse mes lèvres, puis ma joue et enfin mon oreille, ma respiration se coupe, mon corps ne m'écoute pas. Il est couvert de sang et moi je suis là à être dans tout mes états.

"- Tu te fais des idées printsessa. Tu ne m'intéresses pas. Je te regarde comme je regarde toute les autres putes de cette maison."

Toute les autres quoi ? Je me lève brutalement en prenant bien le temps de le repousser, son regard me suit.

"- Je ne suis pas ce genre de personne alors si jamais vous me toucher...

- Quoi ? Tu vas me tuer ?

- Sans hésiter !" répliquais-je contrariée

En même temps à quoi je m'attendais ? Je suis une femme qui entre dans la mafia ou les hommes sont maître, c'était évident que j'aillais être comme la blonde de tout à l'heure. Je dois gagner du temps pour partir d'ici, je dois retrouver mon père et disparaître à nouveau avec lui. Sans oublier que pervers numéro un n'a pas quitter la pièce et il se languit de la situation, je pose les yeux sur lui, il attend qu'une chose c'est que je craque, Cicatrice me lève son verre puis boit une gorgée comme s'il était satisfait de ma réaction.

"- Je ne suis pas une chose qu'on peut manipuler comme on veut.

- Je serais te dresser.

- Vous les Orlovsky vous avez aucun respect pour personne !

- Egor !" Crit Matvey sans me quitter des yeux.

Cicatrice pose son verre pour s'approcher de lui.

"- Patron ?

- Sors d'ici et ferme la porte en sortant.

- Avec votre autorisation, j'aimerai rester."

Son regard me quitte enfin pour se poser sur ce Egor, le regard que lance Matvey fait celui-ci changer d'avis, il baisse la tête et quitte les lieu en fermant bien derrière lui. Je tente de reculer, mais sa main m'attrape pour me faire rester debout entre ses jambes. Son regard est très menaçant, je n'ai qu'un envie c'est de partir en courant.

"- Déshabille-toi."

Il est malade ! C'est un taré ! Ne te laisse pas faire Selena, tu as déjà vu des ordure plus ordure que lui.

"- Je ne me déshabillerai pas pour un type comme vous.

- Pardon ?

- Vous vous imaginez que je sois comme les femmes dans cette maison à me déshabiller pour vous et être la à crier votre nom. Je lâche un petit ricanement. Vous pouvez toujours attendre je ne me déshabillerai pas pour vous plutôt mourir."

Ses yeux parcourent la pièce, suivi d'un froncement de sourcils, il est bel homme donc je pense qu'il n'a pas l'habitude des "non", avec les femmes dans cette maison, il doit en déshabiller plusieurs je n'ai pas encore rencontré une seule et je ne veux pas. Elles sont assez idiote pour accepter ça, elles ne valent pas mon attention. Matvey attrape une cigarette la cale entre ses lèvres, remet le paquet dans sa poche et sort un briquet puis allume sa cigarette, il vient passer sa main dans ses cheveux brun.

"- Ça fait longtemps que je n'avais pas eu une si belle distraction...Donc tu ne te déshabilleras jamais pour moi tu dis ?

- Pour vous et aucun autre de cette villa.

- Hm...Donc c'est un défi?

- Quoi ? Non je ne vous défi en rien.

- Printsessa, c'est un défi."

Il se lève devant moi, je lève la tête pour ne pas le lâcher du regard, nos corps son presque coller l'un à l'autre, il se rapproche un peu plus mais je ne bouge pas, je ne dois pas le laisser gagner, je viens croiser mes bras sous ma poitrine qui devient une barrière entre lui et moi même si que ma poitrine touche son torse.

"- Si je le voulait, je t'aurai déjà prise sur cette table.

- Pas sans mon autorisation.

- Crois moi...Ton autorisation seras déjà faite des l'instant en je serais en toi. Tu seras déjà entrain de crier mon nom.

- J'aime la confiance que vous avez en vos charmes mais comme vous l'avez dit...Je ne vous intéresse pas et vous ne m'intéresser pas non plus."

Un sourire couvre son visage, il prend une bouffer dans sa cigarette, tourne sa tête pour souffler la fumé sur le côté, sa langue glisse entre ses lèvres.

"- Bien...J'ai menti.

- Pardon ?

- Tu m'intéresse un peu trop...Ta façon de me défier est plus excitant que les femmes qui cèdent rapidement. Faisons un jeu Princesse.

- Vous avez quel âges ?

- Peu importe...Tu dis vouloir me tuer hein ? Et moi je dis pourquoi te b****r comme je veux."

Quel genre de jeu tordu il a dans sa tête ? Sa tête s'incliner sur le côté suivi d'un sourire.

"- Tue moi. Annonce-t-il très fière.

- Pardon ?

- Tu veux partir d'ici et la seule façon de le faire est de me rendre mon argent ou de me tuer donc Tue moi. Je te laisserai tenter de me tuer tout les jours...

- Et je suppose que vous devez essayer de me b****r.

- Ne montre surtout aucune faiblesse parce que des l'instant ou tu seras intéressé...Tu auras perdu."

J'ai du mal à croire qu'il va me laisser tenter de le tuer de toute les façons possible, sans qu'il ne se défende en plus...C'est...C'est bizarre...

"- Quoi ? Tu ne me crois pas ?"

Il s'éloigne de moi, passe derrière le bar et attrape un ouvre bouteille à tire-bouchons, il s'installe sur le tabouret puis le tend vers moi. J'hésite à approcher mais je veux voir ce qu'il va faire. Je lui prends l'ouvre bouteille, il ouvre grand ses bras me laissant libre accès à son corps toujours tâché de sang, je pince mes lèvres l'une contre l'autre, je ferme mon poings sur l'ouvre bouteille, lève ma main, je lâche un cri en en l'affaissant sur lui, il m'attrape le poignet, fait passer mon bras derrière mon dos, je me retrouve le dos coller à son torse, son souffle me taquine le cou.

"- Tu n'es pas assez rapide...Rendons ce jeu plus excitant."

Sa main caresse mon cou, mon stupide corps réponds à ça. Je lui donne un coup de coude dans le flanc, il me lâche, je m'éloigne de lui, je croise son regard soif de désir ou soif de me faire toute ces pensées Perverse qui lui traverse l'esprit.

"- Comment ? Le questionnai-je

- Chaque fois que tu rateras ta tentative d'assassinat...J'aurai le droit de te toucher comme je veux pour montrer que c'est consentant je te laisserai choisir l'endroit où je toucherai.

- Vous êtes taré ?"

Il lâche un petit rire qui laisse à désirer, son rire est magnifique...

"- Tu l'es encore plus. Tu sais que tu vas perdre. Alors pourquoi tu t'obstines à jouer le jeu ?

- Qui vous dit que j'allais perdre ?

- Donc tu acceptes ?"

Je suis même pas sûre de moi, il a quand même dit qu'il allait me toucher l'endroit que je choisis.

"- Et si j'arrive à vous blessé ?"

Ma question le fait sourire, je ne vois que ce sourire depuis tout à l'heure, c'est troublant.

"- Si par chance tu arrives à blesser mon corps...Tu auras le droit de demander tout ce que tu veux sauf te relâcher."

C'est assez tentant comme proposition, je pourrais profiter de demander tous que je veux comme il l'a dit. Ne souris pas Selena ! Je dois juste le tuer pour retourner vivre une vie paisible...

"- Aller bébé. Rendons ce jeu excitant.

- Ce jeu sera qu'entre nous. Vos pervers d'homme n'en font pas parti donc ils gardent leur main dans leur poches.

- Je ne comptais pas laisser une personne t'avoir avant moi."

Matvey tend sa main tatouer dans ma direction, j'avale ma salive, me mord la lèvres puis m'approche de lui, se laisse ma main glisser dans la sienne. Je fais fait attirer sur lui, ses mains m'agrippe les hanches,je pose mes mains sur son torse pour m'éloigner mais sa poigne m'en empêche, mes seins son pressé contre son torse.

"- Q-Qu'est-ce que vous faites ?

- Ou est l'endroit que je dois toucher ?

- Main-Maintenant ?

- N'as-tu pas raté l'occasion de me blessé ?" me fait-il comprendre en laissant glisser ses mains sur mes fesses.

Il presse mes fesses avec une telle agressivité, son nez est loger dans le creux de mon cou, il inspire mon odeur, je frissonne, non pas de dégoût, de tout autre chose, mon corps réagit très différemment...Je me reprends et le repousse.

"- Je ne vous ai pas donner l'autorisation de me toucher ici.

- J'attends princesse...Donne moi mon dû."

Quelle partie du corps je peux le laisser toucher ? Je ne pensais même pas que je jeu commençais déjà, je sens son regard très très très persistant. La porte s'ouvre brusquement, un homme blond, assez grand et baraqué que je n'avais jamais vu apparaît, Matvey retrouve son regard noir.

"- Qui t'a donner l'autorisation de rentrer ?

- Désolé Patron mais...Il s'est réveillé." Répond le blond.

Matvey lâche un soupire, se lève, saisit son marteau, puis termine son verre d'un trait, mon regard est attirer sur sa pomme d'adam qui monte et descend à une vitesse. Il pose ensuite son verre puis s'approche de l'homme blond, il s'arrête à mi-chemin se tourne face à moi.

"- Nous terminerons notre jeu plus tard, je dois retourner travailler mais Léon..."

Il pose sa main sur l'épaule du blond.

"- ...Va te faire visiter. Toi fais en sorte qu'aucun d'eux ne la touche, elle est à moi."

Il m'adresse un dernier sourire avant de quitter la pièce, le dénommé Léon me regarde de la tête au pied, il s'approche et me sourit mais son sourire est très différent des autres, celui-là est plus doux et plus amical.

"- Je suis Léon.

- ...Selena.

- Suis-moi. "

Il ouvre la marche, je le suis mon regard rivé que son large dos, nous passons devant une porte entre-ouverte, j'entends des cris de souffrance, je m'arrête, Léon fait vite de venir fermer la porte qui a attiré ma curiosité.

"- Je ne vous conseil pas. Vous ne voudriez pas voir ça."