Orlovsky

Selena III

Léon me fait visité la villa qui est vraiment très grande et très chaleureuse, la visite dure toute la journée a cause de la geandeur de cette villa, nous entrons dans la cuisine où une femme rousse se tient présente, elle a l'air d'avoir la vingtaine, elle se lève de la chaise ou elle est assise pour nous faire face. Un sourire très chaleureuse couvre son visage.

" - De la viande fraîche. dit-elle en s'approchant.

- Irina, elle n'est pas ce que tu crois. lui répond Léon. Voici Selena, elle va rester ici à partir de maintenant.

- Oh !"

Irina s'approche et me tourne autour, je remarque qu'elle porte exactement les même vêtement que moi, elle s'arrête devant moi, les bras croiser sous ses énorme baloches, les boutons de sa chemise sont presque près à exploser.

"- Tu m'aides à préparer le dîner ?

- Le- Le Dîner ?

- Oui. Elle peut m'aider Léon ? Demande Irina à Léon.

- Je ne me mêle pas de ça. Veille à ce qu'aucun des hommes ne s'approchent d'elle.

- Je peux très bien repousser les hommes moi même !" Répliquais-je.

Irina échange un regard avec Léon, celui-ci se tourne face à moi.

"- Vous avez le droit de vous promener dans toute la villa sauf dans le sous-sol...Compris ?"

Je hoche la tête, Léon regarde son téléphone en s'en allant me laissant avec Irina, elle me sourit en levant des épaules,ses yeux vert se balande dans la pièce.

"- Suis moi."

Je la suis dans la cuisine, elle sort un livre de recette qu'elle pose bien en évidence devant nous, elle attrape un élastique et se fait une couette à la va vite sur la tête. Elle sort des ustensiles en lisant chaque ligne du livre de recette, je reste à l'écart sachant mes talents pas très efficace pour la cuisine, je dirai même que je suis une nouille en cuisine, c'était mon ex qui préparait les repas et encore je commandais la plupart du temps, la dernière fois que j'ai cuisiner j'ai failli faire exploser la cuisine de mon père. Irina, pose les yeux sur moi avec un sourire amuser.

"- Ça vas ?

- Je suis pas très doué en cuisine.

- Oh ! Ce n'est pas grave, tu peux simplement me porter compagnie."

Elle se tourne à nouveau vers le livre, je regard les alentours pour remarquer la grandeur de la cuisine avec le plan de travail en marbre blanc, mon regard s'arrête par la fenêtre, cette blonde de tout à l'heure est allonger sur un transat devant la piscine en maillot de bain.

"- Euh...Dis Irina.

- Oui ?

- Qui est cette blonde ?"

Elle arrête de faire ce qu'elle fait pour venir près de moi devant la fenêtre, son regard devient irrité suivi d'un claquement de sa langue.

"- Elle c'est Vera. La Chouchou des hommes de cette maison, elle vit comme une princesse juste parce que le patron la préfère à nous tous elle se sent tout permis. Elle nous traite comme des moins que rien alors qu'elle est ici pour la même raison que nous toutes.

- Quelle est cette raison ?

- On devait de l'argent à la mafia, ça peut être nos proche ou nous même.

- Pour toi c'était qui ?

- Mon petit frère leur achetait de la came et à fini par leur voler...Et toi ?

- Mon père."

Irina pose ses yeux vert rempli de compassion sur moi.

"- Ne t'inquiète pas tu vas t'habituer à cette vie.

- Je ne crois pas. Ma vie est à l'extérieur...Je veux tuer ce type et vite partir.

- Tuer qui ? Orlovsky ?

- Oui, lui. Je n'aurai pas la paix s'il ne meurt pas.

- Écoute Selena. Tu dois vraiment avoir des rêve lmpossible à réaliser. On a toutes essayer de fuir et ce n'était pas du gâteau et tu crois que le tuer sera facile ?

- Je m'en fiche. Je veux simplement retrouver mon père et si je dois tout faire pour tuer Orlovsky, je le ferais."

Cette dernière me regarde comme si que j'étais folle, mais de mon côté c'était quelque chose que je devrais faire. Il faut que je l'observe pour l'attaquer au bon moment, c'est comme papa m'a apprit, observer l'adversaire. Bon, OK je dois avoir un petit grain tout le monde me disait que je devrais aller voir un psy si je l'avais fait je ne pense pas que je serais là a vouloir essayer de tuer un chef de la mafia Russe sur une coup de tête. Irina se met à rire.

"- Je crois que tu vas être ma préféré dans cette maison.

- Ne me dis pas que tu n'as jamais voulu retrouver ta famille.

- Je ne rêve que de ça.

- Et... Je pointe Vera. Elle aussi travail dans la boîtes ?"

Elle arrête ce qu'elle fait, se tourne vers moi avec un regard inquiet.

" - De quoi tu parles ?

- Le patron m'a dit que je travaillerai dans la boîte de nuit.

- Quoi ? se moque-t-elle."

J'ai dit une bêtise ? Irina rigole mais je sens une petite pointe de gêne dans son rire. Il y a quelque chose qui ne vas pas.

"- Dis moi le problème. Lui demandé-je

- C'est juste que les femmes qui travaillent dans cette boîtes ont leurs propre appartement. Ici c'est enfin...Nous sommes les femmes de LA maison pas de la boîte."

Je ne comprends rien, Matvey m'a fait venir ici pour travailler là-bas et rembourser les dettes, je voulais en finir avec ça alors qu'est-ce que je fais ici ?

Il avait déjà prévu depuis tout le début ?

"- Ou va Orlovsky quand il a finit de faire ce qu'il a à faire ?

- Dans sa chambre.

- Montre la moi."

Irina hésite mais elle me laisse se laisse convaincre, elle m'emmène devant une porte blanche au fond du couloir juste à côté de ma chambre. Ce connard ! Attends que je te vois.

"- Euh...Oui ?"

La voix féminine me fait sortir de mes pensées, je croise les yeux bleu de la blonde de ce matin à ce que j'ai compris son prénom c'est Vera, elle me regarde de la tête au pied d'un air très hautain, elle s'approche ses bras croiser alors qu'elle se balade en maillot de bain rouge à deux pièces et des talons au. Elle tient ses lunettes de soleil dans ses mains.

"- Je peux faire quelque chose pour toi la nouvelle ?" m'interroge-t-elle.

C'est ce qu'elle voulait dire ? Elle se croit au dessus des autres ? Elle claque des doigts devant moi comme si que j'étais une de ses bonnes, elle a L'arrogance d'une femme milliardaire mais sauf qu'elle n'en n'est pas une.

"- Je t'ai poser une question, la moindre des choses est de répondre.

- C'est ta chambre ?

- Justement la mienne est juste à côté... me répond-t-elle tout en me pointant sa chambre du pouce...Tu n'as rien n'a faire là."

Donc ma chambre est à côté de celle de Matvey et en face de sa p**e numéro un, fantastique. J'ai gagner le gros lot non mais sérieux...Et comme je suis la pour chercher les embrouilles, je me tourne face à la porte de Matvey, attrape la poignée puis entre, cette chambre est très grande, le lit doit être à trois place, la chambre pu le parfum qu'il porte et elle est assez sombre comme lui, un petit canapé en cuir je ne vois pas la couleur puisque je suis dans le noir. Je me fais attraper le bras et me fais pivoter vers elle.

"- Qu'est-ce que tu crois faire ?

- J'ai à parler avec Orlovsky, ça ne te regarde pas.

- Matvey n'est pas là et tu n'es pas autorisé à rentrer dans sa chambre.

- Bein voyons...

- Personne ne rentre dans sa chambre sauf si on y est invité...C'est le lit ou nous nous envoyons en l'air tout les soirs."

Je suis son regard sur le lit bien rangé, je suis à deux doigts de vomir, mais je ne suis pas là pour lui voler ce type que je ne veux même pas. Je retire sa main de mon bras.

" - Je ne veux pas de ton mec ou de je ne sais quoi. Ce type ne m'intéresse pas."

Elle me toise lorsque je vois cette silhouette avec son aura sombre et opposante, la lumière derrière lui l'éclaire assez pour nous laisser voir sa chemise remplie de sang, ses cheveux noir cache ses yeux mais je peux presque voir le vert dans ses iris qui brille de malice. Il n'est clairement pas net ce type, il appuie sur l'interrupteur pour éclairer la chambre qui était sombre. Vera regarde dans sa direction, son regard s'adoucit, elle s'approche de Orlovsky.

"- Je l'ai surprise entrain de rentrer dans ta chambre" informe-t-elle avec une pointe mépris qu'elle m'accorde.

Matvey me regarde de la tête au pied, je soutiens son regard pour ne pas le laisser paraître que son regard me dérange, un sourire en coin se forme, je n'aime vraiment pas ça.

"- Tu es venu de toi même dans ma chambre. prononce-t-il en souriant

- Je suis venu vous demander quelque chose.

- Ça pouvais attendre un autre endroit que dans la chambre. me crache Vera."

Matvey va s'installer sur le petit fauteuil en cuir, que la petite table à côté, il attrape le paquet de cigarette ainsi que son briquet, sa langue passe entre ses lèvres, puis loge la barre de nicotine entre celle-ci tout ça sans me quitter une seule seconde du regard, je pourrais dire que ça me gêne mais...Je ressens des frissons dans tout le corps, c'est vraiment mauvais.