Orlovsky

Selena I

Je tripote ma paille dans mon verre de limonade, le citron dépasse, je regarde par la vitre du café. Les voiture circulent dans plusieurs périmètre de la ville, les piétons marchent vite, pressé d'aller travailler...Tandis que moi, je suis juste pressé de partir d'ici, mon petit ami avec qui je partage 1 ans de ma vie viens de m'annoncer qu'il allait se marier. Avec qui ? Et comment ça ? Nous avons toujours eu l'air heureux, il n'a même pas eux l'audace de me quitter pour frequenter cette femme. A quelle point je suis une idiote pour ne pas remarquer que ce type me trompait ?!Je voudrais poser tout ces questions mais je n'ai pas la force de me battre, j'ai assez de problème dans ma vie, mon père, nos dettes, je n'ai vraiment pas le temps pour ça

"- Selena ?"

Je sors de mes pensées pour croiser ses yeux vert, ses cheveux blond brille dans la lumière, sa peau est blanche assez pour fasciné n'importe quel artiste. C'est comme ça que j'ai été charmé par lui, je voulais peindre sa beauté sur du papier, je voulais montrer que c'était l'homme le plus beau que j'ai rencontré...Mais au delà de l'art, j'avais des sentiments pour lui, j'étais imprégné de son odeur, de sa voix, de tout son être,...Je rêvais que ce soit avec lui que je me marie. Je prends ma tête entre mes mains fatigué de toute les emmerde de ma vie, fatigué de n'être qu'un pantin dans cette histoire. Je ne voulais pas parler, je voulais sortir d'ici, je sors le trousseau de mes clés pour en sortir la clé de son appartement, je plaque la clé sur la table, la glisse lentement vers ce crétin.

"- Je n'ai pas la force de me battre pour un couple qui n'existe plus." dis-je en me levant de table.

Je mets la lance de mon sac sur mon épaule.

" - Selena, je suis désolé. "

- Tu es désolé ? Tu étais la seule chose stable dans ma vie mais on dirai que je me suis trompée sur tout la ligne. Tu es une ordure.

- Ne le prends pas comme ça...Je t'aime vraiment mais je l'aime un peu plus que ça."

Qu'est-ce qu'il me raconte ?! Qu'est-ce que je fous encore la moi ?! J'emprunte la sortie, le vent vient me taper dans la face, j'avance sans me retourner...Je ne suis pas quelqu'un qui m'accroche à ce que j'ai déjà perdu. A quoi bon pleurer ? Je me laisse abandonner à marcher dans New-York jusqu'à la tombée de la nuit à réfléchir à je ne sais quoi. Je ne suis pas sûre de ce que je réfléchit en faite, je m'arrête sur le pont au dessus du fleuve. Je n'ai personne à appeler, mon père et moi avons emménager au États-Unis après un problème en Russie, notre vrai vie est là-bas mais nos dettes sont tellement grande que je crois qu'il s'est frotter au mauvaise personne.

Je n'ai même pas cherché à savoir ce qu'il a fait je l'ai suivie aveuglement à quitter mes amis et ma vie là-bas, je ferais n'importe quoi pour mon père, il a tellement fait pour moi. Je sors mon téléphone de la poche arrière de mon jean, je le déverrouille avec ce stupide mot de passe à chiffre qui se trouve être la date d'anniversaire de mon ex maintenant, je rentre dans mes contacte qui n'a que deux personnes, mon père et mon ex...

J'appuie sur son numéro puis le colle à mon oreille, ça sonne...Encore...Et encore...Ça m'inquiète, mon père n'est pas quelqu'un qui laisse à désirer ses appels. Il ne s'attarde pas et réponds dès la deuxième sonnerie, je tends ma main vers un taxi qui s'arrête, je grimpe à l'arrière du taxi et donne l'adresse de mon père. Je continue à l'appeler espérant qu'il décroche, même endormie il répond. Comment il peut ne pas répondre ? Mon cœur tambourine dans ma poitrine, ma main tremble tellement, la peur m'envahi...Quelque chose lui est arriver, j'en suis sûre ! Ma jambe gauche tremble, marquant mon angoisse, ma peur, je suis à deux doigts de faire une crise d'angoisse.

Après plusieurs minutes de route, le taxi arrive enfin devant la petite maison de ville de mon père, je paie le chauffeur puis descends, mon regard survole chaque détail de la maison, le journal n'a pas été pris, les marches n'ont pas été balayer ce matin, les fenêtres sont fermées alors qu'elles ne le sont pas habituellement, la porte d'entrée est mi-ouverte. Mon père m'a fait jurer de m'enfuir si jamais je voyais quelque chose de suspect, ça serait mentir de dire que je n'ai rien vu alors que j'avance la tête la première, mes jambes tremblent, j'entends rien, le calme totale, un silence qui me glace le sang sans perdre de temps je me précipite à l'intérieur oubliant la promesse que je lui ai faite, je pousse la porte avec tellement de violence qu'elle claque contre le mur.

"- PAPA ! Crié-je"

Je regarde les pièce en bas avant de grimper les marches à tout vitesse, je pousse la porte de ma chambre pour voir mon père attacher à une chaise, la tête avec du sang qui lui coule sur la temple, il semblait avoir été torturer, mon sac tombe au sol, je place mes mains devant mes lèvres alors que les larmes me monte au yeux. Je cours vers lui.

"- Papa ! Papa ! Tu m'entends !?"

Je prends sa tête entre mes mains, il ouvre les yeux et les gardes mi-clos. Ses mains poignet sont rouges à cause des liens qui sont trop serrés, sa chemise est ouverte, plusieurs zone de sang se trouve le long de son torse.

"- Je-Je vais t'aider papa."

Mes mains ne cessent de trembler, je ne sais pas qui lui a fait ça, mais c'est vraiment une ordure. J'arrive à enlever le liens autour de son poignet droit, puis m'attaque à l'autre, la main de mon père se pose sur la mienne ce qui m'arrête dans mon geste.

"- Va t'en ! m'ordonne-t-il.

- Je ne peux pas te laisser la.

- Va t'en c'est un ordre Selena !" il hausse le ton.

J'entends des bruit de pas derrière mon dos. Je me lève rapidement du sol regardant la porte que j'ai laisser ouverte, mon père me pousse pour que je m'éloigne.

"- Cache toi ! "

J'ouvre le placard, entre à l'intérieur et referme la porte, les pas sont maintenant dans la chambre, je m'approche de la petite ouverture, deux hommes se trouvent dans la chambre face à mon père, pendant qu'un l'un regarde les alentours, l'autre attend debout devant lui.

"- Où est ta fille ?" demande celui debout en face de lui.

Mon père ne répond pas, je ne vois pas quelle expression il fait, l'homme devant lui m'empêche de le voir en plus...J'ai remarquer l'accent Russe. C'est sont des Russes ! Je mets ma main devant ma bouche pour essayer de respirer moins fort, mon cœur bat tellement vite et fort que j'ai peur qu'ils entendent, j'essaie de me calmer dans la zone sombre, eclairer par la faible lumiere de l'ouverture.

"- Seeeleeenaaa!"

L'homme devant mon père fair signe à l'autre vers la porte, celui-ci se dirige vers celle-ci.

"- Selena ! Viens sauvé papa; dit-il en se marrant. Si tu viens chercher papa on ne le tuera pas !

- Non Selena...

- Ta gueule !"

Il donne un v*****t coup de poing à mon père, je sursaute, je me retiens de sangloter mes deux mains sur ma bouche.

"- Tu vas encore rester cacher pendant qu'on tabasse papa ?"

Son rire est vraiment désagréable à entendre, à croire que je suis une sous merde en ce qui concerne protéger mon père. Je ferme les yeux pour me calmer, je ne dois pas agir sans réfléchir. Qu'est-ce que je dois faire ? Je ne dois pas agir sans réfléchir, si je sors d'un coup, il risque de me tuer et faire de même avec mon père. J'ai appris des techniques de combat donc...Je n'ai pas le temps de réfléchir à un plan que je me retrouve au sol au pied de la chaise ou est ligoter mon père.

Les deux types se tiennent debout devant moi, ils savaient que j'étais là en même temps je n'ai pas été discrète en ce qui concerne mon entrer. Les deux sont vêtu d'un costard noir, des chaussure verni noir, des cravates noires et une chemise en dessous blanche, l'un à une cicatrice en dessous de son œil gauche et l'autre porte un masque noir. Ils sont 100% Russe mais...Leur façon de s'habiller...Cicatrice sous l'œil gauche se baisse à ma hauteur un bâton en bois entre ces lèvres.

"- Tu es plus jolie que dans mon souvenir."

Il tend sa main ganté dans ma direction.

"- Bas les pattes gros pervers ! "

Ses yeux me déshabillent du regard, sa langue sort entre ses lèvres avec un sourire en coin, il me dégoute !

"- Répugnant. dis-je avec une voix remplie de dégoût.

- C'est le patron qui va être content. dit le masqué.

- C'est plutôt moi qui suis content. Tu ressemble beaucoup à ta mère."

Cicatrice se tourne vers masqué.

"- Préviens le.

- Quoi ? demande masqué"

Je profite que Cicatrice parle avec masqué pour attrapé un bout de verre au sol causer par la lampe qui est briser. Je serre le verre dans ma main, Cicatrice se tourne vers moi toujours avec son sourire de gros pervers, il m'attrape le bras avec une telle force qu'il serait près à me briser le bras. Il me rapproche de lui, son nez se plonge dans mes cheveux brun et il commence à renifler, je sens le bout de son nez sur la peau de mon cou puis sa langue, je ne perds pas de temps pour agir mes frissons de dégoût me fait le planter le verre dans l'épaule droit, il lâche un cri de douleur avant de me gifler avec violence, je tombe au sol la joue endolorie.

"- Sa-s****e !"

Je me lève puis pars en courant, masqué me poursuit, je l'entends courir, j'arrive en haut des escaliers, masqué m'attrape le bras, je saisis son poignet fait passer son bras sur mon épaule, passe mal pied derrière son tendon avant de le reverser, il roule dans les escaliers et se cogne violement la tête contre le mur au tournant, j'entends Cicatrice qui arrive à grand pas, je ne perds pas de temps pour dévalisé les escaliers, je passe à côté de masqué qui semble sonner, lorsque j'arrive en bas Cicatrice atterie devant moi...Il vient de sauté ? Il sort un couteau, je recule piégée .

"- Je suis à deux doigts de te planter.

- Va te faire foutre ! répliqué-je

- C'est qu'elle a la langue bien pendu la s****e. "

Je tente de m'échapper à nouveau, il saisit ma nuque, rapproche mon visage du siens.

"- Qu'est-ce qu'elle doit donner autour de ma queue ?

- Rien ! Sale pervers."

Je lui donne un coup de genoux bien placé, le pousse et cours jusqu'à la porte d'entré à cette instant j'ai le cœur qui est à deux doigt de lâcher tellement que j'ai peur, je l'entends derrière mon dos, lorsque j'arrive à la porte, j'attrape la poignée, l'ouvre, fais un pas à l'extérieur, un bras m'entoure la taille, me soulève du sol avec facilité, un mouchoir se pose sur ma bouche et mon nez, je me débat sans succès, le produit dans le mouchoir me fait fermer les yeux...

Lorsque j'ouvre les yeux, ma tete me fait tellement mal, la pièce tourne pendant un moment, une douleur dans mes poignets me ramène à la réalité, je secoue mes poignets qui reste bloqué, je panique et commence à m'agiter, mes pieds sont dans la même galère.

"- Tu as donner du file à retordre à mes hommes."

La voix masculinement très virile résonne dans la pièce qui dans le noir totale, j'essaie de trouver la personne qui parle.

"- Montrez vous ! Sale lâche !

- C'est moi le lâche ?

- Vous vous cachez dans le noir pour me faire peur ?! Mais vous ne me faites pas peur."

Il commence à lâcher un petite rire qui résonne dans mon oreille, je trouve son rire très agréable...Mais de quoi je parle moi ! Agréable ? Le bruit de métal qui frôle l'un contre l'autre me donne maintenant l'idée qu'il est derrière mon dos.

"- Tu n'as vraiment pas peur ?

- Non ! J'ai connu pire !

- Venant d'une jolie femme comme toi entendre ça est presque..."

Il lâche un long soupire qui sonne presque comme un gémissement.

"- Triste.

- Je suis plus forte qu'on peut le croire.

- Tu crois ça ?"

Je l'entends s'approcher, j'avale ma salive, je veux garder mon calme mais c'est frustrant de ne rien voir, en plus...Sa voix me donne d'horrible sensation...

"- Voyons voir si ce que tu dis est vrai."

Je le sens derrière mon dos, je sens son aura écrasante, il se penche, l'une de ses mains se pose sur mon poignet droit, son souffle me caresse l'oreille, l'odeur de son parfum est très virile c'est musqué et très fruité comme odeur, je sens cette chose métal sur ma gorge, je suis sûre que c'est un couteau, je sens cette surface tranchante. Il veut me tranché la gorge ?

J'ai bien vécu, je savais que j'allais mourir d'une façon horrible, je ferme les yeux prête à accepter mon destin quand je sens que la chose métalliques s'éloigne. Je l'entends sourires puis il me chuchote à l'oreille.

"- Printsessa si je dois te tuer...Ça sera en te regardant dans les yeux."

Ses pas s'éloigne puis la lumière fut, mes yeux papillonne pour m'habituer à la lumière, on était dans le salon, cette personne vient se m'être debout devant moi, une de ses mains dans sa poche l'autre avec le couteau, je remarque son tatouage sur sa main, la tête d'un serpent le haut de sa bouche dessiner sur le côté de son index et le bas sur le côté de son pouce ça faisait comme si que sa bouche était animé par ses mouvement, s'il prend quelqu'un a la gorge la geule du serpent tatouer sur sa main se retrouvera fermer sur sa cible, c'est effrayant.

Mes yeux remontent pour savoir qui se tient devant moi, il doit faire un mètre quatre-vingt à peu près, ses cheveux sont noir quelque mèche retombe sur ses yeux qui eux sont vert mélanger avec du gris, une barbe naissante bien taillé et une peau bronzée, il porte lui aussi un costume mais moins serieux que les autres, le bas du costume noir, sa chemise bleu avec les bouton du haut ouvert, sans la veste, ses manche retroussé jusqu'à son avant bras qui laisse voir la suite de son tatouage sur son bras gauche. Il tend son couteau, des pas derrière moi se rapproche, masqué lui prends l'armes blanche des mains, le mystérieux " Patron" attrape une chaise pour le mettre face à moi et s'y installe. Je regarde les alentour...

"- Où est mon père ?

- Il es toujours en haut...Alors."

Il tend sa main à Cicatrice qui approche avec une tablette en main, il la pose sur la main de l'inconnu dont je ne connais toujours pas le nom...Ses yeux vont de gauche à droite sur l'appareil.

"- Selena Bachkirov, 26 ans, artiste...

s'informe-t-il tout en levant les yeux dans ma direction...Tu donnes des cours particulier en art, tu n'as que ton père comme famille ta mère est morte...

- Super puisque vous savez des chose sur moi. Donnez moi votre nom !

- Pardon, je ne me suis pas présenter...Matvey Orlovsky."

Mes yeux double de volume en entendant son nom, c'est LE Orlovsky ? Mon père a emprunter de l'argent au Orlovsky ? C'est vraiment une mauvaise idée. Mon père doit vraiment être fou parce que les Orlovsky c'est les hommes les plus dangereux de Russie, il le sait alors comme il a pu emprunter à la mafia Russe ? J'aime mon père mais il a perdu la tête ce n'est pas possible !

"- Où est mon père ? Je dois lui parler.

- Ça ne fonctionne pas comme ça Printsessa. Je veux mon fric.

- Comment vous allez l'avoir en nous tuant ?

- Vous l'avez tuer ? "

Il marque une pose pour réfléchir.

" Je ne peux pas tuer cet homme, il doit beaucoup d'argent à ma famille. Cela serait du gâchis tu ne crois pas ?"

Il redonne la tablette Cicatrice,il qui s'éloigne avec elle, il sort un paquet de cigarette, attrape une qu'il pose entre ses lèvres, ses iris se lève vers moi, il dégage quelque chose de pas très sain...Cicatrice apparaît a nouveau pour allumer la cigarette de celui-ci.

"- Tu ne me facilite pas la tâche, Printsessa...

- Je vais vous la faciliter. Laissez moi et mon père nous en aller !

- Pourquoi je ferais ça ? Questionne-t-il en relâchant sa fumé... Donne moi une raison de vous laisser partir... Tu as l'argent ?

- Je- Je n'ai pas cette argent.

- C'est pour ça que vous vous êtes enfuis c'est ça ?"

Il se gratte la tête, remet sa cigarette dans sa bouche, il laisse tomber son dos sur le dossier, son regard me détail de la tête au pied, il coince la cigarette entre ses deux doigts, lève la tête qui montre sa pomme d'adam puis relâche la fumé. Si on était pas dans une situation pareil j'aurai déjà sorti mes outils de peintures pour le peindre parce qu'il est vraiment une œuvre d'art à lui seul. Son pouce se passe sur ses lèvres.

"- Bon...Je peux aussi tuer ton père et te faire payer à sa place.

- NON ! criais-je terrifier de perdre mon père... Tout mais pas ça !

- Alors aide moi à trouver une solution parce que je suis dans une impasse."

Déjà qu'emprunter de l'argent à la mafia c'est du suicide mais le rembourser c'est sûre que c'est la mort.

"- Laisser moi trouver comment vous payer.

- Ton père me doit plus de 20 000 000 roubles. Comment comptes-tu me payer ?"

20 000 000 rouble ? En dollars américain ça fait plus de 220 000, 00! Pourquoi papa en a pris autant ? Déjà je ne suis même pas sûre que Papa est utiliser toute cette argent et avec mon salaire de prof d'art ce n'est pas possible, et mes tableaux ne se vendent pas très chère non plus.

"- Vendre l'un de ses reins pourrait faire l'affaire. "

Il hoche la tête pour la personne derrière mon dos. Je commence à paniqué, ils vont lui enlever son rein ? Masqué se dirige vers les escaliers.

"- NON ! E-Ecoutez, je ferais tous que vous voulez mais...Mon père est malade il a besoin de son rein. S'il vous plaît."

Je le supplie du regard, Matvey me toise comme si que j'étais une bête de foire.

"- Nicolai, reviens."

Masqué revient dans le salon, Matvey écrase sa cigarette sur l'un des livres qui traîne. Aucun respect !

"- Tous que je veux. C'est ce que tu as dis hum ?

- Je- Oui mais laissez mon père.

- Si je te demande de rentrer en Russie avec moi et de me laisser t'utilise de la façons que je veux tu le ferais ?

-...Je ferais tous que vous voulez tant que mon père reste en vie.

- Donc..."

Il se penche dans ma direction, les mains jointe, son regard lever sur moi.

"- Si je te demande d'écarter les cuisses pour moi tu le ferais ?

- Qu-Quoi ?

- Tu me laisserai te b****r quand je veux ? Ou je veux ? A n'importe quelle heure sans que tu ais ton mot à dire ?

- Je- Ce n'est pas ce que je prévoyais.

- Mais si c'est ce que je veux moi...Ça te dis ?"

Matvey me défie du regard comme si que c'était normal de sortir de telle chose sans compter que son regard me défie, il croit que je vais fondre en larme et le demander de partir, le supplier ? Je suis loin d'être ce genre de femme...Connard !

Je soutiens son regard qui en dis long, il voulait vraiment m'utiliser comme une objet sexuel ? Quel pervers ! En même temps quand on voit avec quoi il travail...

"- Ou j'ai mieux. J'ai boites de nuit en Russie qui est tenue par plusieurs des femmes qui habite avec moi. Tu pourrais travailler avec elle et me rendre mon argent."

Ça semble plus simple de faire comme ça parce qu'il est hors de question que je couche avec lui pour des dettes sauf que...Qu'est-ce que ça veut dire tenue par des femmes ?

"- Tenue pas plusieurs femmes ? C'est une boîte de Strip ?"

Il me regarde sans rien dire comme si que j'avais toucher juste. Je ne vais pas me prostitué pour...

"-...Si tu sais danser ça feras l'affaire."

Si je sais danser ? Les toux de mon père me fait regarder en direction des escaliers.

" - Et pour mon père ?

- Il va rester ici, je le ferais prendre en charge par des médecins...Alors ? Je peux te rassurant en te disant que tu auras du succès."

Ses yeux glissent sur ma poitrine, il me met de plus en plus mal à l'aise. C'est une mauvaise idée de marchander avec ce type.! Tout les Orlovsky sont taré à quoi je m'attends ?

"- Si tu ne veux pas OK...Mais je m'occuperai de foutre le corps de ton père dans un lac très profond.

- Je...J'accepte mais lâchez mon père.

- En acceptant je peux t'utiliser comme je veux donc si je te demande aussi d'écarter les cuisse...Tu vas devoir le faire à chaque fois que tu ne m'obeira pas, je te ferais comprendre à qui tu as à faire donc réfléchit bien Printsessa."

J'entends mon père toussé à nouveau.

"- Vous essayez encore de me faire peur ? Je n'ai pas peur de vous Orlovsky. Laissez mon père partir et je suis à vous."

Ses iris jongle entre les miens pendant un long moment avant qu'un sourire apparaît sur son visage...

"- Laissez le partir...Et toi. Tu viens avec nous.

- Laissez moi du temps avec mon père avant tout.

- Tu me prends pour un con ? Tu m'appartiens maintenant. J'en ai rien à foutre de ton père.

- Laissez- moi lui parler...S'il vous plaît." Le supplié-je du regard.

Il me fixe, se lève de sa chaise, il parle avec son regard à Cicatrice qui monte à l'étage, Nicolai vient me couper mes liens, je masse mes poignets qui ont beaucoup souffert. Je me suis vendu à ce type. ..je sens son regard sur moi, Cicatrice revient avec père, il le jette au sol comme un sac à merde, je cours l'aider a se redresser avant de lancer un regard noir à Cicatrice qui nous regarde de haut.

"- Tu ne peux pas être plus doux connard !

- Fais attention à ce que tu dis." Me menace Cicatrice.

Je prends mon père dans mes bras.

"- Je suis désolé papa.

- Tu ne peux pas faire ça Selena. Tousse. C-C'est du suicide !

- Je sais mais c'est la seule façon de régler nos dettes et..."

Il recommence à toussé, je suis vraiment inquiète, ces toux avait cessé pourquoi ça a recommencer ?

"- Hé ! Selena.."

Je me tourne vers Matvey qui enfile sa veste de costume, ses mains glisse dans ses poches.

"- Je n'ai pas tout mon temps.

- Mon père est malade !

- Et j'en ai rien à foutre."

Il fait un signe de tête vers moi, Cicatrice m'enlève mon père.

"- A-Attendez !"

Je me lève pour essayer de l'arrêter, on m'attrape par la taille.

"- Papa ! Laissez moi !...Papa !" Crié-je presque en sanglot.

Cicatrice l'emmène avec lui à l'extérieur, je me débat pour sortir dans les bras de celui que je vois pas le visage, j'entends mon père crier mon nom. Les larmes me montent au yeux, je voulais pas lui dire au revoir comme ça. Lorsqu'il voit que j'arrête de me débattre, il me lâche enfin, je me tourne pour coller mon poing dans la gueule de Nikolai, il tient son nez, je m'approche de Orlovsky, je tiens zson col.

" - Vous êtes un connard ! Comment osez vous le maltraité comme ça ? C'est mon père ! "

Le regard de Matvey change et devient tout d'un coup sombre, sa main tatouer m'attrape avec violence la mâchoire, il marche me faisant reculer, mon dos rencontre le mur brusquement.

"- En quel droit tu me crie dessus ? Je suis ton patron maintenant donc tu gardes ton caractère de merde pour toi."

Il serre ma mâchoire tellement fort que ça fait mal, mes mains sont entoure son bras.

" - La prochaine fois, je te colle une balle dans la tête. Compris."

Je hoche la tête avec du mal, sa main desserre son emprise, son regard s'adoucit.

"- Je n'ai pas entendu Printsessa.

- J'ai-J'ai compris.

- Bien. On y va."