Selena IV

2034 Words
Je vais poser ma question et partir plus je parlerai peu avec lui et mieux je m'en sortirai. "- Je croyais que j'allais travailler dans la boîte." Orlovsky tourne son regard sur Vera puis la porte; celle-ci tourne les talons pour sortir et ferme la porte derrière elle, elle a comprit l'ordre de Matvey sans qu'il ouvre la bouche. Depuis quand elle est là déjà , je sors de mes pensées quand il se décide à prendre la parole. "- J'ai dis ça oui. - Expliquez moi. - Il n'y a rien d'expliquer, je me vois mal de laisser une femme que je n'ai jamais toucher au milieux de fauve exciter. Sans oublier que tu dois essayer de me tuer. - Et donc ? Je dois vous rembourser comment si je ne travail pas ?" Ses sourcils se fronçant, il me toise en souflant la fumé de sa bouche, se penche en avant ses coude poser sur ses genoux.. "- Quoi ? Tu voulais tant te faire tripoter par des inconnu ?" me questionne Matvey avec son ton presque écrasante. Il avoue que cette endroit est horrible alors pourquoi faire travailler des personnes ? "- Ou tu as juste peur de ne pas réussir à me tuer ? - Si je n'ai pas autre chose à faire que vous tuer... - Ne t'inquiète pas...me coupe-t-il la parole... J'ai un travail plus amusant pour toi." Un travail plus amusant ? Qu'il y a t-il de plus amusant que d'être dans cette maison de fou ? "- Je vous écoute. - Tu vas aider Léon dans son travail ce qui veut dire que tu seras avec moi 24 heure sur 24 sept jours sur sept. - P-Pardon ?" Bégayé-je. Il est sérieux ? Je ne supporte pas sa tête ni son stupide sourire de merde ! Je n'aime pas être avec lui plus de dix seconde dans une pièce comme la maintenant, j'ai qu'une envie c'est...Le tuer. "- Tu pourras essayer de me tuer où tu veux tu veux et à n'importe qu'elle heures. - Vous êtes malades ?" Il se lève de son siège, s'avance dans ma direction, inconsciemment je me vois reculer, son regard est comme un animal sauvage river sur sa proie, je sens des frisons me parcourir la colonne vertébrale, ma tête lève pour ne pas le lâcher du regard, j'ai peur que des l'instant ou j'aurai regarder ailleurs il profitera de ça. "- "Malade" tu dis ?" Sa main se pose sur mon épaule, me pousse, je perds mon équilibre et tombe assise sur le lit qui n'étais pas très loin, il vient attraper mon menton pour me faire lever la tête de façon à ce que nos lèvres soit aligné d'un à l'autre, j'avale difficilement ma salives, son parfum est mélanger avec l'odeur de la sueur et du sang, je ne l'avais pas remarquer mais il a une tâche de sang dans le cou en plus de toute celle sur sa chemise qu'il ne cache même pas. J'empoigne le drap de chaque main lorsque je remarque que je commence à être fébrile. "- C'est toi qui est malade de me laisser m'approcher de toi aussi près." Sa main tatouer vient m'attraper la mâchoire avec une telle fermeté, ses lèvres se rapproche de mon oreille. "- Si tu savais ce que j'ai envie de te faire." Sa voix qui chuchote est tout aussi magnifique, son souffle chaud dans mon oreille me fait trembler. Putain reprends toi Selena ! Je pose ma main sur son cou trop large pour ma seule et unique main mais je ne laisse pas m'atteindre, je le renverse sur le lit, je sens sa pomme d'adam bouger sous ma paume, elle me chatouille presque. "- Vous ai-je pas demander de ne pas me toucher comme bon vous semble ?" Encore ce sourire ? Sa grande main vient s'entourer autour de mon poignet, et m'incite à forcer sur l'appuie que j'ai autour de son cou. "- Sers un peu plus." Quoi ? Il est taré ? Je serre mon emprise, il passe sa langue sur sa lippe, laisse échapper un son de satisfaction. "- Comme ça oui." Je prends conscience de ce qui se passe, je retire ma main de son cou, sa main autour de mon poignet m'empêche de le faire. "- Continue. - Espèce de gros pervers, Lâche moi !" Ses iris ne me lâche pas une seconde, sa main me fait continuer à forcer, je pourrais le tuer mais...Il prend du plaisir dans tout ça, une chaleur m'envahit le corps, mon coeur s'accelère, j'en ai presque le souffle coupé, il ne baisse pas le regard un seconde au point de m'hypnotiser. Après tant d'effort j'arrive à enlever ma main de son cou, puis m'éloigne, il commence à rigoler, ses rires remplissent la pièce. Je suis hors de moi, ça l'amuse. Il se redresse, mes sa cigarette dans sa bouche. "- Autre chose Selena ?" Il s'amuse, c'est genre de psychopathe est ce gars au juste. Je me précipite à pas rapide vers la porte quand il m'interpelle. Je ne me retourne pas pour ne pas encore voir ce regard satisfait sur sa face. "- Peux-tu demander à Vera de revenir...Dis lui bien que je suis excité en ce moment." J'ouvre la porte sans chercher à comprendre pourquoi il me dit ça. Quoi quand il frôle la mort ça l'excite c'est ça ? C'est quel genre de pervers lui ? Je tombe nez à nez avec cette Vera qui me fusille carrément du regard, adosser au mur, les bras croiser sous sa poitrine. Elle est amoureuse de lui c'est ça ? Elle est encore plus tordu parce que personne devrais tombée amoureuse d'un monstre pareil. "- Tu devrais entrer." lui informé-je avant de partir le plus vite possible. Je zappe cette chambre un peu trop près de la siennes, descends les escalier, mon coeur tambourine dans ma poitrine rapidement un peu trop pour je ne sais quelle raison, je me dirige vers le jardin, dès que j'ouvre la porte qui mène à l'extérieur des frissons de froid pousse sur mes bras et mes jambes, malgré ça j'ai chaud. Je ne réfléchit pas et saute dans la piscine tout habillé, je me laisse couler au fond de l'eau en boule, je veux enlever ces pensées ignoble qui a pu me traverser l'esprit. Tous ce que je dois penser est de sois le tuer ou le payer et j'ai plus envie de le tuer qu'autre chose, mon regard se tourne sur la lune qui se reflète dans l'eau. C'est apaisant, j'ai toujours remplis ma baignoire d'eau et me laissais couler au fond de l'eau pour laisser échapper les mauvaises pensées que j'avais ou pour pleurer et en ressortir comme si de rien était. J'aime le calme de l'eau qui me laisse être un simple poissons dans l'eau, avant que je ne réalise je me fais tirer hors de l'eau, je reprends mon souffle, lève les yeux en colère vers celui qui a oser m'interrompre sans mon moment de solitude. "- Toi !..." grogné-je Je me lève du sol, je tremble de froid parce que le vent souffle sur ma peau humide. "- Personne ne t'avais demandé de me sortir de l'eau ! - Si tu veux mourir fait le dans ta chambre alors. - Alors parce que je ne remonte pas à la surface en une minute je me suicide ? J'ai l'air d'une suicidaire ? - Je suis désolé." Son regard est sincère donc je suppose que ses excuses le sont aussi. Je frottes mes bras afin de les réchauffer, il enlève sa veste puis me la pose sur les épaules, je reste abasourdi et dire que la première fois que je l'ai vu c'était un crétin fini. "- Merci Nicolai. - De rien." J'écarte mes cheveux humide de mon visage, je le détaille la tete au pied. Je ne l'avais jamais vu sans masque, il a vraiment l'air jeune. "- Vous avez l'air...Différent des autres." Nicolai pose ses yeux marrons sur moi. " - Ça ne se voit peut-être pas mais...Je suis ici parce que ma famille avait énormément de dette envers la famille Orlovsky. - Donc tu es comme nous ? - Pratiquement, tu crois que ça me fais plaisir de tuer ? Ça ne me fais pas plaisir de ôter la vie à d'autre personne mais...Je n'ai pas le choix pour ma famille et pour moi." Alors Nicolai aussi a des problemes avec la famille Orlovsky. Je me demande combien de personne on des problème avec cette famille, j'aurai pu penser à faire en sorte d'avoir un clan pour le tuer mais quelque chose chez Matvey fait peur à tout le monde même moi il me terrifie, ce type n'a pas l'air net...Mais bon, j'ai comme défie de le tuer... "- Rassure moi tu n'allais vraiment pas te suicider. Je sais que ce n'est pas ce que tu espérais mais en finir rapidement et de cette façon c'est." Son air d'innocent me fait rire, il a l'air d'avoir le même âge que moi mais ça serais pas très discret de lui demander son âges. -... Quoi donc ? - Je n'allais pas me suicider. - Tu-Tu es sûre hein ? - Ça m'aide à me détendre." Je lui confie Il lâche un soupire soulager, mon regard tombe sur le couteau qu'il porte sur sa ceinture. Oh ! Un couteau. Ça pourrais beaucoup m'aider... " - Je pourrais te demander un service ? - Quelle genre de service ? - Peux-tu me passer ton couteau ?" Il me questionne du regard. -C'est un jeu avec le Patron, je dois essayer de le tuer pour... - Ah !Ça ne m'étonne pas qu'il est eu cette idée." Il s'approche de moi fouille dans sa poche pour me tendre un couteau suisse. Il me tend ça sans se poser de question ? Ça le surprend même pas le jeu que j'ai avec son patron tordu. Je prends le couteau suisse, il ne lâche pas tout de suite. "- Un conseil, ne fais confiance à personne dans cette maison pas même à Matvey, il est vraiment tordu." Donc je ne suis pas la seule à le remarquer ? Je croyais que tout le monde était taré au point de trouver que c'était normal son comportement. "- Vraiment ? - Tous que je peux te dire c'est qu'il y a quelque chose de pas net chez lui, il est capable de rire avec toi et te poignarder en même temps tout en faisant des blagues. Crois-moi te trouver ici est comme avoir rencontrer le diable en personne...Et quand il s'intéresse à toi c'est pire." Il lâche le couteau me laissant libre accès à toute sa longueur dans ma main. Nicolai, tourne les talons, je touche la veste sur mes épaules, je sors du transats, l'attrape le bras avant qu'il n'aille trop loin, je retire la veste sur mes épaules et lui tends. "- Merci beaucoup Nicolai." Ses yeux se posent sur ma main, puis sa veste, il la saisit. "- Je suis vraiment désolé de tous que je vous ai fait. - C'est à moi de dire ça, ça va votre tête ?" Je touche sa tête ou il a reçu le coup. "- Ça va. Je l'ai mérité. - Pas autant que Egor." Il rigole, ce qui lui donne un certain charme, je ne l'avais jamais vu sourire et la c'est...Il est vraiment beau. Il s'arrête de rire, retrouve sa tête sérieuse. " - Passez une bonne nuit Selena et ne vous suicider pas dans la piscine." Il fais demi-tour, je le regarde s'éloigner. "- A vous aussi Nicolai" Il s'arrête en tenant la porte dans sa main, m'adresse un sourire et disparaît derrière celle ci. Je regarde le couteau suisse dans ma main. Ça va être vraiment avantageux de... Je sens un frisson étrange, je suis sûre que quelqu'un me regarde. Je lève les yeux pour croiser les prunelles vert/gris qui brillent presque dans une nuit noir le balcon, le bout de la cigarette qui fume est ce qui est plus visible, tout comme la fumée qui s'évapore dans le vent. Il me donne froid dans le dos...
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