I Courtisanes Grecques Il est piquant de constater que Solon le premier favorisa la p**********n légale, sans doute pour arracher les jeunes gens aux passions pédérastiques, et aussi pour protéger la vertu des épouses athéniennes contre les entreprises d’amoureux irassasiés. Le philosophe législateur institua les dictérions, maisons publiques dont chacune portait comme enseigne parlante un priape sur la porte, et dont les pensionnaires étaient désignées sous le nom de dictériades ou vulgivagues. « Il y a dans les temples de l’amour assez de grâces que les jeunes gens peuvent contempler, soit lorsque ces jeunes filles vont prendre l’air, le sein artistement couvert, soit lorsqu’elles se rangent en file dans ces temples, sous le simple voile de la nature. Il en est de taille svelte, épais