Violence conjugale !

1810 Words
ÉPISODE 17 AMEN   - Elle n'est pas ma maman. Elle est très méchante papa. Si tu commences par prier tu vas voir.   - Assez ! Il ne s'agit pas d'un débat. Maintenant montez dans votre chambre et allez dormir même si vous n'avez pas sommeil. Hors de ma vue.   - Je veux voir ma mère papa. Amène-moi la voir s'il te plaît.   - Est-ce qu'elle va suivre sa grande sœur avant que je n'ouvre les yeux ? Kendra n'arrête pas de me fatiguer avec ses caprices de petites filles depuis que sa mère s'est retrouvée à l'hôpital. Je n'ai pas que ça à faire si elle ne le sait pas. Elles refusent toutes deux de manger et c'est tant mieux pour elles. Quand elles auront bien faim, elles viendront chercher leur repas et le manger toutes seules.   J'ai décidé de passer mes journées à la maison depuis un bout de temps pour m'occuper de ma femme et l'aider dans les travaux de la maison et éviter qu'elle travaille. Ma mère est venue passer quelques jours avec nous, donc elle nous aide depuis qu'elle est là dans les travaux domestiques. Je suis assis dans le canapé devant la télé lorsque Hermès est venue se coucher auprès de moi en posant sa tête sur mes cuisses :   - Chérie ça va ?   - Oui je vais très bien sauf que je veux te parler de quelque chose.   - De quoi il s'agit ?   - Ta femme Rolande. Je ne veux plus voir ses pieds ici lorsqu'elle sera de retour. Tu dois faire un choix, sinon je retourne chez ma mère moi. Il faudra également que tu parles aux enfants, surtout la plus petite. Elles ont intérêt à se montrer gentil avec moi, sinon je vais être dure avec elles dans les jours à venir.   - Tu n'as pas à t'inquiéter. Je vais m'occuper de les redresser. Considère que c'est déjà fait d'ailleurs. Je viens juste de discuter avec elles à ce sujet et j'espère qu'elles m'ont compris.   - Merci beaucoup. Je suis vraiment heureuse d'être enfin avec toi. Je sais que je peux compter sur toi.   Nous passons un bon moment à discuter entre amoureux.   QUELQUES JOURS PLUS TARD   Depuis le soir où j'ai amené Rolande à l'hôpital, je n'ai plus mis les pieds à l'hôpital pour voir quoi que ce soit. C'est le week-end et nous sommes tous à la maison. Je suis au salon avec Hermès qui est couchée sur moi. La porte du salon s'ouvre sur nous puis Rolande fait son entrée dans le salon accompagnée de sa mère à ma grande surprise :   - Non mais qu'est-ce que ça veut dire ? Pendant tout ce temps où ta femme était couchée à l'hôpital, toi tu n'as plus mis pieds là-bas pour prendre de ses nouvelles, mais tu es ici dans les bras d'une autre femme. Qu'est-ce que ça veut dire ? C'est qui cette femme Amen ?   Je ne sais vraiment pas quoi répondre à sa mère pour ne pas mal lui parler. Par respect pour elle, je me tais sans rien dire. Au même moment, ma mère ressort de la cuisine pour lui répondre : - La remplaçante de cette chose que tu appelles ta fille et qui n'arrête pas de pondre que des filles à mon fils. Comme ça tu n'étais au courant de rien ? Je vois que ta chère fille n'a pas voulu t'en parler. Qu'est-ce que tu viens faire ici ?   - Je crois bien que c'est chez ma fille ici donc je suis la bienvenue. Et comme tu peux le voir, je viens de quitter l'hôpital avec ma fille. Je ne sais pas si tu es au courant de ce qui lui est arrivé. Si tu le sais et que tu encourages ton fils, sache que vous allez tous le payer un jour. Comment tu as pu garder le silence face à tout ceci Rolande ? Il est évident que tu maigrisses ! Il faut que tu quittes cette maison avant qu'ils ne te tuent pour moi.   - Non maman. Je n'irai nulle part. Je vais rester ici et me battre pour récupérer mon foyer, car mon mari a dû être envoûté ! Je ne vais pas abandonner mon foyer et laisser mes enfants souffrir. Je resterai ici. Maman ne t'en fais pas. Tout finira par rentrer dans l'ordre bientôt, car les jours de cette briseuse de couple sont comptés.   - Ta mère a raison. Tu devrais écouter ses conseils et partir d'ici. Les enfants je peux m'occuper d'eux avec ma mère.   - Je ne partirai pas d'ici. Maman merci pour tout. Ne t'en fais pas.   - Amen ! Ma fille n'était pas comme ça au moment où tu l'as épousé, alors tu as intérêt à bien t'occuper d'elle, sinon, la prochaine fois que je vais débarquer ici, vous allez me méconnaître ta mère et toi et l'autre arriviste.   - Tu ne peux rien faire à personne. Tu es là quand ta fille a refusé de quitter mon fils alors que lui, il ne la veut plus. D'ailleurs, moi je vous laisse. J'ai mieux à faire que de faire des débats inutiles.   Au même moment, Kendra et Arlette sortent de leur chambre, en entendant la voix de leur mère :   - Maman ! Tu nous as laissé seules. Papa a refusé de nous amener te voir.   - Je suis désolée mes chéries. Maman avait un souci de santé et était à l'hôpital. Là-bas on pique les gens, voilà pourquoi votre père ne pouvait pas vous amener me voir. Allez ! Venez avec moi. Maman viens s'il te plaît.   - Bonjour mémé ! disent les filles.   - Bonjour mes chéries. Allons-y.   Je ne sais vraiment plus quoi faire pour que Rolande comprenne qu'entre elle et moi que c'est fini. Juste à leur arrivée, Hermès s'était levée pour aller dans la chambre. J'ai tellement apprécié son geste, car cela nous a éviter des disputes. Au moment où je me suis dit que tout est rentré dans l'ordre, elle réapparaît pour détruire ma joie. Tant qu'elle sera dans cette maison, elle sera toujours traitée comme la boniche.   Après le départ de la mère de Rolande, je suis restée à attendre de voir Rolande sortir de la chambre, mais je n'aperçois même pas son ombre ni celle des enfants. J'ai envie de discuter avec elle en douce pour faire passer ma demande, mais si elle essaie de faire la maline, c'est là qu'elle va me sentir. Ça fait un moment que Hermès est enceinte et depuis lors, j'évite de faire trop souvent l'amour avec elle à cause de l'enfant qu'elle porte et aussi, du fait qu'elle n'est plus trop disponible pour me recevoir. Je vais donc voir avec Rolande.   Le soir venu, je suis donc allé retrouver Rolande dans la chambre d'ami où elle séjourne désormais. Elle est en séjour car d'un moment à l'autre, elle finira par vider les lieux. Une fois dans la chambre, je me rends compte qu'elle est avec les filles :   - Vous deux-là allez dans votre chambre et laissez-moi parler avec votre mère.   - Papa je peux te parler s'il te plaît ? (Joignant les deux mains)   - De quoi tu veux me parler Kendra ?   - Pourquoi tu es devenu méchant avec nous ? Tu n'aimes plus maman ? Tu n'es même pas allé rendre visite à maman à l'hôpital. Et pourquoi tu dors dans la même chambre que tata Hermès aussi ? Tu m'avais dit que c'est une amie qui veut passer quelque temps ici et partir non ? Depuis qu'elle est là, tu as beaucoup beaucoup changé. Tu frappes même maman souvent et elle pleure. Pourquoi tu fais ça ?   - Tu es encore très petite pour comprendre certaines choses ma chérie. Après on va en parler toi et moi. Maintenant rejoins ta grande sœur et laisse-moi discuter avec ta mère. Allez !   Elle fixe sa mère et sans rien dire, elle sort de la chambre puis je mets le verrou.   - Qu'est-ce que tu me veux encore Amen ? Tu veux encore me frapper ? Allez vas-y frappe-moi comme si j'étais ton enfant ou ta domestique, mais ne compte pas sur moi pour quitter cette maison si c'est ce que tu veux.   - Je n'ai jamais voulu lever la main sur toi. C'est toi qui m’as emmené à le faire. Toutefois, je ne suis pas là pour ça ! J'ai envie de toi Rolande !   - Tu n'es qu'un diable Amen ! Après ce qui m'est arrivé, tu as le culot de venir me parler d'envie. C'est normal, puisque tu m'as jeté dans la main des médecins sans te soucier de ce qui m'est arrivé pour aller retrouver cette briseuse de foyer. Vous allez me le payer crois-moi.   - Je suis désolé. Tu es ma femme et tu ne peux pas te refuser à moi !   - Tu me prends pour une ignorante c'est ça ? Tu crois que je ne suis pas au courant de tout ce que vous manigancez ta mère et toi ? N'est-ce pas que vous faites le programme d'aller doter cette idiote à cause de qui tu me maltraites ? J'ai tout entendu et je vois tout. Alors tu ferais mieux d'aller dire à cette dernière de quoi tu as ''envie''. Maintenant laisse-moi me reposer.   - Écoute-moi une dernière fois. Ma patience a des limites. Si tu ne me laisses pas te f***********r, je serai obligé d'user de la force avec toi.   - Laisse-moi rire Amen. C'est ce que nous allons voir. Si tu ne veux pas des problèmes, sors de la chambre. Je ne veux pas et tu ne peux pas me forcer ; sauf si tu es désormais un violeur.   - Pardon ? Moi violeur ? Eh bien je vais te montrer de quoi je suis capable.   Tant qu'elle est sous mon toit, c'est que j'ai encore de droit sur son corps, alors même s'il faut que je la brutalise pour qu'elle me laisse lui f***********r, je le ferai. C'est ainsi que je me jette sur elle après avoir ôté mon pantalon. Je l'immobilise sur le lit avec une main pour l'empêcher de se débattre puis avec l'autre, je lui retire son pagne. Je retire son dessous à moitié puis j'introduis mon membre en elle. Elle n'arrête pas de crier pour se défendre mais ma force physique dépasse la sienne. Elle aurait pu se montrer plutôt gentille pour éviter que j'utilise de la force pour lui f***********r.   Je finis par me vider en elle au bout d'un moment et elle n'arrête pas de pleurer au lieu de se réjouir que j'aie pitié d'elle pour lui f***********r. Je remets mon pantalon puis je vais ouvrir la porte pour sortir lorsque je tombe sur Kendra qui dormait les poings fermés au seuil de la porte...
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