Pour avoir vu chier en plein airUn grand plaisir que j’eus, ce fut de voirSe soulager en plein air une Dame, dans un parc ;Elle faisait une magnifique omelette,Avec un derrière qui méritait cent cas.Lorsque je vois chier ces gros fessiers,Je les baiserais comme une médaille ;Prétende qui n’est pas de ma confrérieQue ce sont là goûts de cochons, de viédazes,Je ne sais que répondre : voir un derrière grassouillet,Ses deux moitiés bien découvertes, en train de pondreUn bel é***n, et un peu plus bas la moniche,C’est un beau coup d’œil qui rend amoureux ;Par Dieu ! je vous le jure, j’ai eu tant de plaisirQue j’y serais toujours, si elle chiait encore.